On se fiche de savoir si le petit blanc d'à côté n'a pas de pouvoir, ce n'est pas lui qui est en cause quand on parle de pouvoir dominant.

C'est ce que dit l'article ?

Qu'on se fiche du petit blanc qui se fait agresser parce qu'il est blanc ?

Parce que quand on lui met des coups de poing ou qu'on l'insulte, ce n'est pas lui qu'on insulte ? Ce n'est pas dans sa gueule à lui que vont les coups ? On insulte seulement le pouvoir dominant ?

Mais il a quel rapport avec le pouvoir dominant, lui ?

Qu'il est blanc.

Donc c'est du racisme.

Si ce monsieur veut seulement dire qu'il n'y a pas de système raciste organisé contre les Blancs en France, c'est sans contredit, évidemment. S'il veut dire que le FN, ou Soral, etc. mentent en suggérant une chose pareille, sans contredit non plus.

Mais est-ce cela qu'il dit ?

On se fiche de savoir si le petit blanc d'à côté n'a pas de pouvoir, ce n'est pas lui qui est en cause quand on parle de pouvoir dominant.

C'est ce que dit l'article ?

Qu'on se fiche du petit blanc qui se fait agresser parce qu'il est blanc ?

Parce que quand on lui met des coups de poing ou qu'on l'insulte, ce n'est pas lui qu'on insulte ? Ce n'est pas dans sa gueule à lui que vont les coups ? On insulte seulement le pouvoir dominant ?

Mais il a quel rapport avec le pouvoir dominant, lui ?

Qu'il est blanc.

Donc c'est du racisme.

Si ce monsieur veut seulement dire qu'il n'y a pas de système raciste organisé contre les Blancs en France, c'est sans contredit, évidemment. S'il veut dire que le FN, ou Soral, etc. mentent en suggérant une chose pareille, sans contredit non plus.

Mais est-ce cela qu'il dit ?

Eh bien lis-le bon sang :)

Non il ne dit pas ça.

Non non, je ne fais pas dans la pleurniche. C'est plutôt l'inverse vu les réactions outrées ou d'auto-défense que j'ai pu lire jusqu'à maintenant. Détendez vous, personne ne vous attaque.

Vous prenez un peu tout au sens littéral du terme et n'avez pas peur de vos contradictions (relisez votre bouillie sur le racisme).

Un racisme institutionnalisé ne veut pas dire un racisme s'appuyant sur des lois ou des institutions le reconnaissant, c'est idiot.

Il s'agit d'un racisme non déclaré mais s'appuyant sur des pratiques généralisées, et tellement integrées qu'il est difficile d'en faire remonter les ressorts. C'est par exemple l'étude que j'ai posté sur l'accès au travail (épargnez moi votre baratin sur le réseau qui n'a que peu de pertinence dans ce sujet, je parle de racisme systémique et non individuel).

Rassurez vous, je ne me sens pas attaqué (mais vraiment pas du tout).

Le racisme institutionnel s'appuie forcément sur des lois. Peut être faite vous allusion au racisme culturel qui est encore autre chose. Le racisme culturel est ni systémique, ni systématique. Il change en fonction de la situation, de l'humeur et de l'expérience d'un individu. C'est sur que chialer parce que Mouloud ne trouve pas du boulot et qualifier de raciste Robert parce qu'il grogne pour avoir a perdu le sien il y a 20 ans au profit du père de Mouloud beaucoup moins cher ben ça ne fait pas avancer le schmilblick. En même temps le nombrilisme est assez naturel quand on vient du pays de la danse du ventre...

Pour ce qui est de mon baratin sur les réseaux, vous fantasmez parce que je n'ai fait qu'évoquer le sujet sans l'avoir réellement abordé. De toute façon vous ne comprendriez pas parce que vous êtes plus ou moins dans le business de la pleurniche.

Non non, je ne fais pas dans la pleurniche. C'est plutôt l'inverse vu les réactions outrées ou d'auto-défense que j'ai pu lire jusqu'à maintenant. Détendez vous, personne ne vous attaque.

Vous prenez un peu tout au sens littéral du terme et n'avez pas peur de vos contradictions (relisez votre bouillie sur le racisme).

Un racisme institutionnalisé ne veut pas dire un racisme s'appuyant sur des lois ou des institutions le reconnaissant, c'est idiot.

Il s'agit d'un racisme non déclaré mais s'appuyant sur des pratiques généralisées, et tellement integrées qu'il est difficile d'en faire remonter les ressorts. C'est par exemple l'étude que j'ai posté sur l'accès au travail (épargnez moi votre baratin sur le réseau qui n'a que peu de pertinence dans ce sujet, je parle de racisme systémique et non individuel).

Rassurez vous, je ne me sens pas attaqué (mais vraiment pas du tout).

Le racisme institutionnel s'appuie forcément sur des lois. Peut être faite vous allusion au racisme culturel qui est encore autre chose. Le racisme culturel est ni systémique, ni systématique. Il change en fonction de la situation, de l'humeur et de l'expérience d'un individu. C'est sur que chialer parce que Mouloud ne trouve pas du boulot et qualifier de raciste Robert parce qu'il grogne pour avoir a perdu le sien il y a 20 ans au profit du père de Mouloud beaucoup moins cher ben ça ne fait pas avancer le schmilblick. En même temps le nombrilisme est assez naturel quand on vient du pays de la danse du ventre...

Pour ce qui est de mon baratin sur les réseaux, vous fantasmez parce que je n'ai fait qu'évoquer le sujet sans l'avoir réellement abordé. De toute façon vous ne comprendriez pas parce que vous êtes plus ou moins dans le business de la pleurniche.

Ne vous formalisez pas, développez un peu votre idée des réseaux. Je sais très bien de quoi vous parlez mais n'utilisez pas l'argument misérable de dire que je ne comprendrais pas pour justifier une crainte de vous faire contredire sur ce point.

Car depuis le début vous êtes à côté de la plaque.

J'avoue que j'ai pas pipé mot du but de ce texte. Pour moi, c'est un peu de la masturbation cérébrale.

Quand au pamphlet final, je le trouve un peu "facile" et je ne pense pas que c'est en culpabilisant les gens (les "blancs" en l’occurrence) qu'on arrangera le problème.

Désolé Jabar, j'adhère pas

No prob citoyen :)

Je le vois pas comme une grande culpabilisation, au contraire. Mais c'est mon avis.

Ne vous formalisez pas, développez un peu votre idée des réseaux. Je sais très bien de quoi vous parlez mais n'utilisez pas l'argument misérable de dire que je ne comprendrais pas pour justifier une crainte de vous faire contredire sur ce point.

Car depuis le début vous êtes à côté de la plaque.

Vous qualifiez de baratin une chose que je n'ai pas expliquée. Ça ne m'encourage pas à aller plus en avant.

La logique de réseau c'est la logique de relation qu'on les individus entre eux. Les individus d'une même réseaux forment un groupe objectif contrairement au concept de race qui lui est un concept subjectif. Ainsi vous faire employer par un patron en France, cela signifie pénétrer son réseau. Vous devez vous montrer digne de confiance et se présenter comme musulman comme vous le faites c'est se présenter comme faisant partie d'un autre réseau : que l'existence de ce réseaux soit fondée ou non. C'est toujours cette logique de réseau qui peut faire que vous soyez préférez a un blanc inconnu au bataillon si vous avez fait preuve de votre fiabilité au près de différent membre de ce réseau. Le fait qu'un diplôme suffise à pénétrer un réseau est une approche très libérale, ce que la France n'est pas.

La logique de réseau c'est comprendre que c'est moins le fait de faire de bonne étude qui compte que le fait d'avoir user votre fond de culotte sur les mêmes bancs que les rejetons des grands de ce monde. Non la logique de réseau ce n'est pas seulement la juiverie ou la franc maçonnerie.

Mais c'est la de la vraie sociologie à la différence du billet d'humeur rédigé par un fumiste.

Pas le temps de développé, je suis attendu. Je continuerai peut être plus tard.

Eh bien lis-le bon sang

Non il ne dit pas ça.

Je ne sais rien te refuser.

Je l'ai parcouru.

Il veut déracialiser le racisme. Cela ne pulvérise pas seulement le racisme anti-Blanc, cela élimine aussi le racisme anti-Noir.

Le racisme n'est plus pensé qu'à travers la catégorie de la domination. La référence à la race n'est plus qu'un supplément d'âme : c'est la seule transcendance qui nous reste, aurait dit Lévi-Strauss, ou plutôt aurait dit une auteure qui dit que Lévi-Strauss l'a dit. Donc, je traduis : supplément d'âme, donner à la verticalité un peu d'habillage mystique. (On met un petit peu de peinture, pour faire joli, sur les colonnes qui tiennent le chapiteau).

Bon, pourquoi pas. J'entends bien ce que nos amis trouvent un tantinet branlatoire dans la démarche : ce qui nous intéresse ici, ce sont bien les manifestations quotidiennes racistes, ou les propos politiques proprement racistes, c'est-à-dire ce qu'il écarte d'emblée comme des leurres.

Donc article pas approprié ici.

Donnons nous rendez-vous sur socio.fr ou philo.com, mais pas ici.

Par exemple, je dis qu'il détruit aussi le racisme anti-noir. Mais ce qui intéresse ici, ce n'est pas de faire disparaître le racisme anti-noir. C'est de justifier son racisme anti-noir en disant qu'il y a du racisme anti-blanc. Pas de dire que le racisme n'existe pas (ce que dit en gros ce monsieur), mais qu'au contraire qu'il est partout, qu'il est normal (on l'est tous un peu, etc...).

La dimension de l'oppression n'intervient pas (ou alors sous des formes tellement dégénérées ou, plus souvent encore, grotesques), mais est remplacée par la catégorie de la victime.

Et la question qu'on se pose n'est pas : comment puis-je être à la fois raciste et opprimé, mais comment je peux justifier mon racisme en me présentant en même temps comme une victime ?

Et la question qu'on se pose n'est pas : comment puis-je être à la fois raciste et opprimé, mais comment je peux justifier mon racisme en me présentant en même temps comme une victime?

Tient bien vu! Mais le sophisme de l'auteur auquel se réfère jabar va encore beaucoup plus haut résumons la pensée de «sociologue» en quelques points!

1. Si l'on est victime et/ou dominé on ne peut pas être réellement raciste!

2. Si l'on appartient à un groupe ethnique statistiquement dominé alors on est un dominé!

3. Donc si l'on appartient à un groupe ethnique statistiquement dominé on ne peut pas être réellement raciste!

C'est totalement grotesque mais c'est bel et bien ce que soutient ce «sociologue»! Or c'est grotesque car le fait par exemple, que les maghrébins soient statistiquement en situation d'infériorité sur le marchée de l'emploi en raison de discriminations, ne signifie pas qu'individuellement un maghrébin subisse cette discrimination, ni que dans un contexte social particulier il ne puisse pas être un dominant! Déjà là même en partant du prémisse totalament fallacieux du sociologue voulant que seul un dominant puisse être réellement raciste, cela n'invalide donc pas l'existence du racisme anti-blanc en tant que vrai racisme! Et donc le seul moyen fallacieux mais également profondément malhonnête qu'a le sociologue, ainsi que Jabar, pour exclure le racisme anti-blanc de la catégorie «vrai racisme», est d'affirmer que quelque soit la position de l'invidu maghrébin dans la société il est forcément dominé parce que maghrébin et le blanc et forcément dominant parce que blanc, bref une généralisation et racialisation total, l'individu n'est considéré qu'à l'aune de la moyenne statistique de son groupe ethnique! Bref ce «sociologue» est au mieux un con au pire un malhonnête dissimulant sa malhonnêté derrière d'ineptes pirouettes rhétoriques, dans tous les cas le prémisse de base est déjà faux! Mais le pire étant que pour arriver à la conclusion souhaité à savoir que «racisme anti-blanc ≠ vrai racisme» ce sociologue utilise exactement le même sophisme que celui des racistes!

et tes affirmations (justice favorables aux non blancs ? Ah bon ?), il faudrait les appuyer un peu.

Dixit le mec qui balance du "racisme institutionnel" dans les grandes écoles, comme ça, au pifomètre.

La logique de Jabar est connue, c'est une inversion des responsabilités.

Si les africains ne sont pas présents dans les grandes écoles, ce n'est absolument pas parce que leur niveau d'éducation est plus faible, que chaque lycée où ils sont majoritaires deviennent des ZEP bordéliques et au taux d'échec scolaire record, non non, c'est simplement parce que les méchants blancs discriminent.

C'est la posture de la victimisation, de la non remise en question. Une façon bien pratique de rejeter la faute sur autrui.

D'ailleurs voyez la proposition de Jabar. Il n'est même pas dans le combat, il est dans la supplication, la corruption morale.

Au lieu d'appeler les arabes à monter des entreprises, s'entre aider, retourner au bled pour aider leur pays, il supplie sa petite place au soleil sans rien branler au côté des blancs, grâce à des quotas.

En soit, la mentalité introduite par les anti racistes est splendide. S'ils avaient voulu réduire les africains au rang de peuple ouvrier sans faire de lois raciales, ils n'auraient pas fait autrement.

Les dominés rejettent souvent la faute sur autrui. La nouveauté, c'est surtout l'ambiguïté du régime qui soutient cette version alors même qu'il se présente comme étant du groupe majoritaire, ce qui est donc vu comme un aveu "officiel" de celui ci.

Sauf que la classe dirigeante n'appartient qu'à la classe dirigeante, avec ses objectifs propres, sa culture propre.

D'habitude les régimes préfèrent allumer une minorité ou plus généralement, un pays étranger afin de donner un semblant de cohésion nationale. Là ils jouent sur l'inverse, une destructuration de la société, donc ils s'attaquent au groupe majoritaire.

Enfin, soutien à Greensov pour ses réseaux.

et tes affirmations (justice favorables aux non blancs ? Ah bon ?), il faudrait les appuyer un peu.

Dixit le mec qui balance du "racisme institutionnel" dans les grandes écoles, comme ça, au pifomètre.

La logique de Jabar est connue, c'est une inversion des responsabilités.

Si les africains ne sont pas présents dans les grandes écoles, ce n'est absolument pas parce que leur niveau d'éducation est plus faible, que chaque lycée où ils sont majoritaires deviennent des ZEP bordéliques et au taux d'échec scolaire record, non non, c'est simplement parce que les méchants blancs discriminent.

C'est la posture de la victimisation, de la non remise en question. Une façon bien pratique de rejeter la faute sur autrui.

D'ailleurs voyez la proposition de Jabar. Il n'est même pas dans le combat, il est dans la supplication, la corruption morale.

Au lieu d'appeler les arabes à monter des entreprises, s'entre aider, retourner au bled pour aider leur pays, il supplie sa petite place au soleil sans rien branler au côté des blancs, grâce à des quotas.

En soit, la mentalité introduite par les anti racistes est splendide. S'ils avaient voulu réduire les africains au rang de peuple ouvrier sans faire de lois raciales, ils n'auraient pas fait autrement.

Les dominés rejettent souvent la faute sur autrui. La nouveauté, c'est surtout l'ambiguïté du régime qui soutient cette version alors même qu'il se présente comme étant du groupe majoritaire, ce qui est donc vu comme un aveu "officiel" de celui ci.

Sauf que la classe dirigeante n'appartient qu'à la classe dirigeante, avec ses objectifs propres, sa culture propre.

D'habitude les régimes préfèrent allumer une minorité ou plus généralement, un pays étranger afin de donner un semblant de cohésion nationale. Là ils jouent sur l'inverse, une destructuration de la société, donc ils s'attaquent au groupe majoritaire.

Enfin, soutien à Greensov pour ses réseaux.

Mais …. Que racontes tu ? Le propos de Greensov est intéressant mais un peu à côté du sujet. Parler d’un état de fait n’est pas un constat de pessimisme ou une demande quelconque. Parler de la météo ne veut pas dire réclamer le soleil. Cette logique de réseaux est une évidence, moi-même travaillant depuis plusieurs années dans la finance je sais ce que c’est.

Je suis conscient qu’on ne partage pas du tout l’avis de cet article, c’est même plutôt rassurant, mais présenter les mécanismes sociaux sous un angle particulier, visant à rendre visible ses rouages est une manière de créer de la vigilance et combattre le défaitisme de certaines minorités.

Et, le bled c’est ici pour moi, ce n’est pas le Qatar ou que sais-je. Donc c’est ici que les progrès faits m’intéressent, d’ailleurs tu sais comme je l’ai dit dans d’autres fils que je suis plutôt optimiste sue le sujet.

Je suis conscient qu’on ne partage pas du tout l’avis de cet article, c’est même plutôt rassurant, mais présenter les mécanismes sociaux sous un angle particulier, visant à rendre visible ses rouages est une manière de créer de la vigilance et combattre le défaitisme de certaines minorités.

Et, le bled c’est ici pour moi, ce n’est pas le Qatar ou que sais-je. Donc c’est ici que les progrès faits m’intéressent, d’ailleurs tu sais comme je l’ai dit dans d’autres fils que je suis plutôt optimiste sue le sujet.

Le défaitisme de certaines minorités est compréhensible. Il s'agit de communautés détachées du substrat social de leurs pays d'origine et ne faisant pas pleinement parti du réseau du pays d'accueil. Moralement c'est a ceux qui les ont fait venir de les prendre en charge mais, je vous le donne dans le mille, ceux qui les ont fait venir n'ont aucune envie de les intégrer à leur réseau. Ils sont utilisés pour casser les réseaux de solidarités en place, rendre la majorité aussi défaitiste que la minorité et rendre tout le monde malléable et corvéable à souhait.

Les solutions naturelles pour les minorités sont :

- de reconstruire leur propre réseau et ils ont beaucoup de chance, la France n’empêche pas les minorités de posséder un commerce, une industrie ou de gérer une exploitation agricole.

- d'intégrer le réseau du "peuples de France", ce qui demande pas mal de concession ce qui peut comprendre le fait raser la barbe et troquer contre une chemise et surtout ne pas traiter tout le monde de raciste. (ce n'est pas la solution la plus facile)

- de devenir une extension de leur réseau d'origine mais cela passe par un gros travail d'investissement et de restructuration dans le pays d'origine.

Le jeu consistant à mordre la main en espérant qu'elle vous donne quelque chose est idiot. Tu mords la main si elle te frappe et non si tu attends quelque chose d'elle. Pour intégrer un réseau il faut lui apporter quelque chose et celui qui se plaint de racisme est dans l'attente. Il n'arrivera à rien et finira dans une cage d'escalier à fumer des pets...

  • [supprimé]

Haaa !!!, en l’occurrence l’auteur de dit absolument pas cela. En découpant les phrases à la machette, on peut faire passer n’importe quel texte pour débile.

J'avais commencé à rédiger une longue réponse, mais tout est dit dans ma réponse courte.

Concision, efficacité, gain de temps.

Il ne dénie pas le racisme anti-blanc (c’est-à-dire par la manifestation d’hostilité envers un groupe donné) mais pour distinguer sa nature ensuite.

Il le dénie.

Si vous vouliez replacer ma citation dans son contexte, c'est son intro qu'il fallait citer.

Les sociologues affirment souvent que le "racisme anti-blanc" n'existe pas : une idée mal comprise, parce que souvent appréhendée avec ce qu'il faut de mauvaise foi pour se lancer dans la fausse indignation contre la "bien-pensance". Derrière cette idée, ce qu'il y a en jeu, c'est la compréhension de ce qu'est le racisme. Le plus souvent, celui-ci est perçu comme un sentiment individuel - en grande partie parce que les mouvements et politiques anti-racistes contribuent largement à le cadrer ainsi. Pourtant, du point de vue sociologique, ce n'est pas cela le racisme. Le racisme, c'est un système. Explications.

Traduction: le racisme anti-blanc n'existe pas si on se place dans le "bon" contexte, puisque si on réfute l'affirmation , c'est que l'on fait preuve de "mauvaise foi" pour ne pas "comprendre ce qu'est le racisme".

C'est à dire le vrai racisme, en opposition avec la définition courante.

Désolé, mais moi je ne parle pas le sociologue, mais le francais.

Je passe sur les deux paragraphes suivant qui sont d'une indicible vacuité, mais qui se résume par ce que je viens d'écrire au-dessus.

Là dessus, vient se coller la citation de Colette Guillaumin, attention, ca décoiffe:

Qui pense que le blanc est une couleur ? Que les chrétiens sont une race ? Qui pense que l'homme se définisse par un sexe ? Les caractères physiques du majoritaire n'ont pas le statut de marque, en effet ils ne sont pas destinés à être des limites ni des spécifications. Par contre quel nègre, quel juif, quelle femme ne sait pas qu'il est tel ? S'il ne le savait pas (et au départ il ne le savait pas plus que le majoritaire ne sait qu'il l'est) la société le lui a appris rapidement, quelque qu'ait été son opinion personnelle sur la question de sa propre définition. Ce qui prend rang de marque est réservé au minoritaire et ne prend son sens que dans son rapport à ce qui n'est pas marqué ; la race prend son sens de ce qui n'est pas racisé (p.108-109).

Vous m'excuserez, mais quel blanc, catholique ou homme ne sait pas qu'il est tel? Et? Qu'est-ce que démontre ce laïus? Aligner des questions constituent-ils un argumentaire convaincant?

Bon, je n'ai pas envie d'écrire un roman, mais plusieurs autres choses dans le texte me sorte par le nez, comme "dark skinned" qui voudrait dire noir (on les appelait nigger), la connerie stupéfiante consistant à dire que tous les blancs ont bénéficié du racisme (dans l'idée, déjà répondu ici), le parallèle idiot entre USA et le reste du monde (un certain nombre de noirs ont été emmenés de force aux USA, alors qu'en Europe, les immigrés sont venus de leur plein gré), etc...

Bref, ce texte brille surtout pas l'absence du moindre élément argumentaire de valeur, émaillé par quelques idioties.

Rien que l'expression "racisme anti-blanc" est d'une connerie sans nom à mes yeux et il essaye un peu de nous faire gober ce qu'on nous a fait gober au sujet de la discrimination: il y aurait un racisme "positif" (aka les minorités opprimées ne peuvent en fait pas faire preuve de racisme) vs un racisme "négatif" (les blancs toussa), comme il y aurait une discrimination "positive" vs une discrimination "négative".

Ben non, désolé: je suis contre le racisme et les discriminations parce que les principes mêmes de ces deux choses sont intrinsèquement mauvais.

j ai le droit d aimé ou pas certaine personnes, et aussi certaines races.

les immigrés sont plus racistes que beaucoup de Français, surtout les musulmans

5 ans plus tard

Je ne me sens pas concerné......j'ai un mentor juif : Zemmour et j'admire m'Bappé

  • [supprimé]

Et t'as le QI d'un aborigène en tant que génial inventeur du boomerang : le mec qui vote macron puis qui vient chouiner que sa retraite a baissé.

Lorsque j'étais ado dans les années 60, il n'y avait aucun racisme, aucune discussion sur le racisme. Ce mot n'existait que lorsque l'on parlait d'histoire ou des Amériques.
Depuis qu'on est pas mieux lotis que les amerloques, avec des vagues migratoires incessantes, le racisme est devenu de plus en plus "commercé" et s'est spécialisé dans les peaux foncées qui bénéficient d'une irresponsabilité totale et qui par contre, accusent tous les blancs des pires maux.
A se demander pourquoi ils viennent chez les blancs !?!

    merl1
    Bonne idée. L'enseignement supérieur et la recherche en France ont bien besoin que l'on gaspille 2 millioins de leurs budgets.

    maryvette

    maryvette Lorsque j'étais ado dans les années 60, il n'y avait aucun racisme, aucune discussion sur le racisme. Ce mot n'existait que lorsque l'on parlait d'histoire ou des Amériques.
    Depuis qu'on est pas mieux lotis que les amerloques, avec des vagues migratoires incessantes, le racisme est devenu de plus en plus "commercé" et s'est spécialisé dans les peaux foncées qui bénéficient d'une irresponsabilité totale et qui par contre, accusent tous les blancs des pires maux.
    A se demander pourquoi ils viennent chez les blancs !?!

    C'est clair.

    C'est comme l'islamisation qui n'existe pas : quand j'étais jeune je n'habitais à Lyon (pas un petit village de cambrousse hein) il n'y avait pas de voilées dans les rues, pas de repas hallal ou sans porc dans les cantines (malgré qu'il y avait déjà 1-2 arabes dans nos classes) etc... et tout le monde s'en portait très bien, pas de revendication, pas pleurnichement, etc...

    • [supprimé]

    • Modifié

    maryvette Lorsque j'étais ado dans les années 60, il n'y avait aucun racisme, aucune discussion sur le racisme.

    Faux ... Ca existait avant, c'était du racisme entre blancs, entre les serviettes et les torchons. Le racisme existera toujours, il change juste de forme, et il rechangera de forme.

    (XVIIe siècle jusqu'au XX)) Les nobles utilisant des serviettes de table et les domestiques des torchons, signifiait alors « mélanger les classes sociales »

    A l'origine, ce proverbe a en fait une forte connotation sociale : les torchons sont pour les pauvres et les domestiques, les serviettes pour les bourgeois et les aristocrates. Autrement dit, les domestiques ne doivent pas avoir la prétention de fréquenter leurs maîtres qui n’ont pas de temps à perdre.

      [supprimé] Gros con? Çà n'a rien à voir avec du racisme entre gens de même culture, c'est juste une séparation des classes et des statuts, Comme il en existe aujourd'hui avec les gilets jaunes et nos élites de la "représentation nationale" et en Inde entre les castes (statuts).
      Le racisme c'est déclarer qu'une race a des droits supérieurs, par exemple les migrants ont des droits supérieurs aux gilets jaunes car eux sont pris en charge à 100% pour tout soin médical, ils touchent en plus des allocations pour être migrants illégaux et des subsides des officines de l'anti-france.
      Par contre tuer une blanche par un jouisseur de droit protégé par l'anti-racisme interdit à cette victime d'être intégrer dans un crime racial....etc....

        • [supprimé]

        • Modifié

        maryvette
        LOL ... Toujours aussi perspicace et courtoise la Maryvette , dès que les discriminations changent de formes, vous êtes perdue ... c'est exactement le même processus de discrimination, le fond est le même seule la forme change (la couleur, ou le genre).

          [supprimé] Racisme = race, crétin.
          Entre une seule race il ne peut y avoir de racisme. Donc d'après toi, les seigneurs du Moyen-age qui se querellaient à propos d'une contrée étaient des racistes entre eux. Mais, va lire un dictionnaire et un livre d'histoire !

            • [supprimé]

            • Modifié

            maryvette ... Le mot on s'en fout c'est interchangeable a volonté, c'est le processus de discrimination qui compte et son effectivité (discrimination = sous race/sous homme/sous fifre/etc ).

            Oh ! Purée on a des cadors, icite....

            • [supprimé]

            ... Voilà ... Maryvette va bientôt tout comprendre, c'est pas le packaging qui compte, c'est ce qu'il y a dedans..

            Karl MArx a bien résussi a faire installer le racisme systématique entre personnes de même race comme base d'un systeme politique

            3 mois plus tard

            Les gauchistes, qui font semblant de combattre le racisme alors qu'ils combattent juste les Blancs, se sont trouvés emmerdés quand, de plus en plus, on leur a demandé de défendre aussi les victimes blanches qui se font violer, tabasser, assassiner, ect. parce qu'elles sont blanches.
            Ils ont vite trouvé la parade, en décrétant que, dorénavant, le seul racisme digne de ce nom serait le racisme "institutionnel" ou "systémique" ou "d'Etat". Et, à l'unisson, comme les braves petits moutons privés de cerveau qu'ils sont, ils se tous mis à réciter le nouveau catéchisme.

            9 mois plus tard

            là c'est l'antiracisme forcené qui est en train de devenir le système, on voit totu de suite que ce sera encore pire qu'avant

            depuis une semaine on a fait un grand pas vers les guerres civiles en occident, qu'ils continuent leu émeutes avec les applaudissements des médias et la complicité ou passivité des gouvernements... on avancera encore plus vite

            Une fois de plus, tu n'as rien compris.

            Jeter l'anathème sur toute la population blanche d'un pays, c'est évidemment du racisme tourné contre les blancs. Ces gens-là ne luttent pas contre un supposé racisme, mais cherchent au contraire des avantages communautaristes dans une course à la victimisation.

            D'autant plus grotesque quand il s'agit de délinquants violents de la plus basse espèce.

              L'éditorialiste rejette l'interprétation raciale des bavures, mais y oppose des faits de délinquance, faisant ainsi une interprétation raciste de la délinquance. Cherchez l'erreur !
              Faire de tous les noirs des racistes anti-blancs est aussi con que faire de tous les blancs (ou flics) des racistes anti-noirs.
              On est obligé de choisir son camp ?

                cheshire-cat On est obligé de choisir son camp ?

                Pas encore, mais à ce rythme ça risque d'arriver plus tôt que prévu

                Comme disait maman "n'est raciste que le racisme"!
                Signé Forrest

                  Averell a renommé le titre en Le racisme comme système - le racisme anti-blanc le .

                  tiresias Jeter l'anathème sur toute la population blanche d'un pays, c'est évidemment du racisme tourné contre les blancs. Ces gens-là ne luttent pas contre un supposé racisme, mais cherchent au contraire des avantages communautaristes dans une course à la victimisation.

                  D'autant plus grotesque quand il s'agit de délinquants violents de la plus basse espèce.

                  Exactement.