marcopolo la politique française, contrairement à d'autres pays européens a été de les éliminer sur place, y compris nos ressortissants
C'est vrai mais seulement lorsque François Hollande était Président de la République. En 2017, le Wall Street Journal mentionnait que les forces spéciales françaises avaient transmis une liste d'une trentaine de noms de djihadistes français à leurs alliés irakiens. Cette "kill list" identifiait des cibles à abattre. C'est alors que nous avait appris que la France se débarrassait discrètement de ses ennemis.
Mais dès que Nicole Belloubet fut nommée Garde des Sceaux dans le gouvernement de Macron, les choses ont changées drastiquement. Belloubet déclarait ne pas voir d'autre solution que de rapatrier les djihadistes français prisonniers en Irak et en Syrie, en France. De son côté, Castaner le Ministre de l'Intérieur parlait de judiciariser ceux qui rentreraient et de les confier aux juges.
Alors que sous François Hollande les djihadistes étaient considérés comme extrêmement dangereux et que l'ordre en provenance de l'Elysée était donné à nos forces spéciales à ne pas chercher à les interpeller et encore moins de les rapatrier, mais de ne faire aucun prisonnier et de les exécuter sur place, sous Nicole Belloubet la chanson était bien différente.
On parlait de rapatrier en France les djihadistes français détenus dans les camps en Syrie sous la surveillance des Kurdes. De plus, Belloubet parlait de libérer 450 detenus radicalisés avant la fin de l'année 2019.
En 2020, elle annonçait que 45 condamnés pour fait de terrorisme allaient sortir de prison au terme de leur peine et qu'en 2021, se serait le tour de 57 condamnés, et en 2022 de 46 supplémentaires. Donc, en l'espace de trois ans, c'est quelques 148 djihadistes que l'on allait libérer dans notre pays.
Macron, Philippe, Castaner et Belloubet ont favorisé l'accueil en France de centaines de vermines islamistes que l'on aurait dû fusiller sur place pour leurs crimes effroyables. Ils les ont fait revenir et les ont relâché dans notre société afin qu'ils puissent y perpétrer leurs crimes au nom de leur religion satanique.