Devenir patron n'est pas si facile que certains le prétendent!

Et surtout, cela ne s'apprend pas

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mais si...........

http://www.epicureweb.fr/comment-se-pre ... atron-833/

http://www.entreprises.ouest-france.fr/node/13538

http://cedric-debacq.fr/devenir-son-pro ... t5n-_tKHIU

......il faut juste être capable ...et ça ,ça ne s'apprend pas!

à quand le retour et la généralisation des coops ?

directement du producteur au consommateur, des marges plus importantes pour les marchands, des prix plus bas pour le consommateur...

En optant pour cette voie qui commence (timidement?) à venir, cela risque de mettre à mal certaines personnes (danger pour qu'elles se retrouvent sur le carreau si on ne passe plus par l'intermédiaire de l'entreprise...)...par contre d'autres personnes pourraient être gagnantes dans l'affaire

Les banques ne sont pas spécialement réputés pour avoir l'emprunt facile pour les entreprises. Beaucoup d'entreprises sont font d'abord sur des fonds propres ou des hypothèques. Le climat général est en soit peu propice aux entreprises: impôts lourds, consommation en berne, difficulté à emprunter pour se développer, incertitude réglementaire....donc forcément celles qui n'ont pas les reins solides ne tiennent pas (et généralement ce sont les jeunes).

Réduire encore plus la facilité d'emprunt serait une grave faute car certes beaucoup ne marchent pas mais on n'améliore pas la réussite des entreprises en les empêchant de se créer. Certes on pourrait diminuer le pourcentage d'échec mais on réduirait surtout la création d'entreprises qui marchent.

Et puis honnêtement si seulement ceux qui ont le capitale créait des entreprises ça bousillerait encore plus l'ascenseur social (si cher normalement à la gauche). Et si un pauvre a un bon concept ce serait franchement idiot de l'en empêcher au non du refus de la prise de risque.

Devenir patron n'est pas si facile que certains le prétendent!

Et surtout, cela ne s'apprend pas

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mais si...........Ben ...non ! Si c'est pour quelques mois ...ok

http://www.epicureweb.fr/comment-se-pre ... atron-833/

http://www.entreprises.ouest-france.fr/node/13538

http://cedric-debacq.fr/devenir-son-pro ... t5n-_tKHIU

......il faut juste être capable ...et ça ,ça ne s'apprend pas

Pas faux !

Mohandas, dans le commerce de proximité, l'élément qui permets à une entreprise de se développer est la marge brute. C'est à dire la différence entre le prix d'achat et le prix de vente, hors taxes, d'un produit.

Or, de ce point de vue, il faut être lucide sur le fait que les politiques que réclament les grandes entreprises, par la voie du MEDEF, pénalisent les entreprises de trés petites tailles, souvent de proximité puisqu'elles se vident de leurs carnets de commande. Et qu'en l'absence de demande solvable, je vois mal une entreprise investir, et se développer et donc au chef d'entreprise de pouvoir se verser une rémunération. En réalité, nous conduisons un combat qui est convergent, en revanche, ce sont, sans doute, sur les chemins à mettre en oeuvre pour les atteindre que les divergences, parfois profondes, se creusent et s'expriment.

mohandas, c'est précisément pour cette raison que l'immense majorité des travailleurs, pourtant modestes ne rejoignent ni ne soutiennent pas le NPA. Car, eux savent et connaissent les réalités que les entreprises peuvent rencontrer et qu'elles sont pénalisées, d'ailleurs par ces politiques conduites au nom des entreprises.

Le NPA a partiellement raison, lorsqu'il dénonce, à juste titre des abus, qui devraient être combattus par l'ensemble des acteurs mais il se trompe sur la sociologie et la lucidité des électeurs qui ne souhaitent pas, eux remettre en cause la visibilité et la confiance des entreprises dont l'immense majorité souffre, comme les salariés, de l'érosion du pouvoir d'achat, de l'austérité que les collectivités se voient contraintes de pratiquer, ce qui réduit leur carnet de commandes....

Dans notre pays il y a 80 % des nouvelles entreprises qui meurent dans les 3 ans!

Ce chiffre est énorme,fou,vous n'y croyez pas?

Deux questions en résultent,des prêts trop facile un projet que les banques acceptent trop facilement?

Ou une conjoncture trop difficile?

Ce phénomène est essentiellement du au fait que la troisième année d'exercice correspond à la régularisation des charges sociales sur N-2 et N-1.

Ainsi les entreprises doivent souvent payer des sommes très importantes qui, si l'entrepreneur n'a pas été prévoyant, mettent leur trésorerie à genoux.

tout a fait vrai pour beaucoup de professions à leur compte,la 3eme année est mortelle pour les inconséquents.

en plus il y a ceux qui confondent bénéfice et chiffre d'affaire et qui vivent bien......2ans!

faberius, les entreprises de petites ou moyennes tailles ont, effectivement des difficultés à évoluer, à se développer et, parfois même à survivre, c'est précisément pour cette raisons que le modèle économique euro mondialiste est destructeur, néfaste. Si ces dernières, réclament des allègements de cotisation, c'est parce qu'elles n'arrivent que difficilement à faire face à leurs échéances, c'est donc un traitement des conséquences qu'elles réclament, je leur propose de traiter les causes, ce qui, au final aboutira à réduire le poids de leur cotisation, leur visibilité fiscale et c'est de cela, dont elles ont besoin, non d'une austérité aux conséquences destructrices de ces dernières.

ben vous proposer quoi pour etre plus compétitif que ca

http://projetfrance2012.canalblog.com/archives/2014/01/31/29089094.html

allez y j attend et pourtant l umps met la france en competition avec ses economies en se plaint aux eurocrates a la solde de l amerique

faberius, les entreprises de petites ou moyennes tailles ont, effectivement des difficultés à évoluer, à se développer et, parfois même à survivre, c'est précisément pour cette raisons que le modèle économique euro mondialiste est destructeur, néfaste. Si ces dernières, réclament des allègements de cotisation, c'est parce qu'elles n'arrivent que difficilement à faire face à leurs échéances, c'est donc un traitement des conséquences qu'elles réclament, je leur propose de traiter les causes, ce qui, au final aboutira à réduire le poids de leur cotisation, leur visibilité fiscale et c'est de cela, dont elles ont besoin, non d'une austérité aux conséquences destructrices de ces dernières.

Je ne suis pas d'accord....

Ce qui tue les TPE et les PME c'est avant tout la pression fiscale et la complexité du code du travail.

Et l'Europe n'est pas à mettre en cause .... Si tel était le cas, les entreprises allemandes seraient soumises aux mêmes difficultés

faberius, si ton argument consiste à dire que les petites et moyennes entreprises ont une fiscalité inadaptée, pénalisante nous sommes d'accords, je veux bien admettre que le ode du travail est trop complexe pour ce type de structure, mais nier les conséquences des distorsions de concurrence nier la déloyauté et les déséquilibres que provoquent certaines pratiques commerciales est une incompétence.

D'ailleurs, si la compétitivité est nécessaire pour réduire le chômage soit conscient qu'à moins de vouloir, comme les libéraux, sacrifier une partie importante de nos compatriotes, il est nécessaire que les entreprises et les ménages aient de la visibilité, de la confiance et des perspectives, aujourd'hui l'avenir semble se réduire à des efforts sans fins toujours pour les mêmes.

La mortalité est évidemment due à une fiscalité exterminatrice.

Il y avait un bon interviwe d'Yvon Gattaz (ex-président du CNPF) dans le Figaro papier du jour "La France a le culte des entreprises naines". En gros, on n'aime pas les entrepreneurs et les entreprises qui réussissent et pour empêcher qu'elles grossissent, le fisc et l'URSAF les assassinent.

faberius, si ton argument consiste à dire que les petites et moyennes entreprises ont une fiscalité inadaptée, pénalisante nous sommes d'accords, je veux bien admettre que le ode du travail est trop complexe pour ce type de structure, mais nier les conséquences des distorsions de concurrence nier la déloyauté et les déséquilibres que provoquent certaines pratiques commerciales est une incompétence.

D'ailleurs, si la compétitivité est nécessaire pour réduire le chômage soit conscient qu'à moins de vouloir, comme les libéraux, sacrifier une partie importante de nos compatriotes, il est nécessaire que les entreprises et les ménages aient de la visibilité, de la confiance et des perspectives, aujourd'hui l'avenir semble se réduire à des efforts sans fins toujours pour les mêmes.

1 - La concurrence et la compétitivité sont indispensables et dans la plupart des cas sont bénéfiques aux entreprises et aux consommateurs. Ce serait différent si nous vivions en autarcie mais ce n'est pas le cas.

2 - Vous tenez toujours le même discours gauchisant qui tend à dire que l'employé et l'ouvrier souffrent alors que les patrons prospèrent. Mais vous basez votre constat sur 200 ou 300 dirigeants tout au plus soit 0.1% de l'ensemble des "patrons", ces derniers subissant eux aussi la crise.

Il n'est pas question de "sacrifier les français" mais avant tout de REFORMER pour redonner une chance à l'économie française... Sans cela, c'est la catastrophe assurée