La consubstantialité du Père Du Fils a été décidé au Concile de Nicé en 325 ... C'est du délire. Des hommes, comme toi et moi, ont décidé que Jesus est Dieu, comme ça, pour le fun.

Je doute fort que tu saches exactement ce qu'est un concile et comment ça se déroule. Quand a parler d'infaillibilité, rien que le mot je doute fort que tu saches ce qu'il signifie.

Rendu officiel par l'église un peut plus tard en 381 pas avant.

La consubstantialité du Père Du Fils a été décidé au Concile de Nicé en 325 ... C'est du délire. Des hommes, comme toi et moi, ont décidé que Jesus est Dieu, comme ça, pour le fun.

Je doute fort que tu saches exactement ce qu'est un concile et comment ça se déroule. Quand a parler d'infaillibilité, rien que le mot je doute fort que tu saches ce qu'il signifie.

Les notions de conciles et du droit chrétien dans sa globalité sont étudiées en première année de Droit. Je peux te retrouver mes cours, si tu veux. Mon excellent professeur d'histoire du droit est ici : http://www.youtube.com/watch?v=0xK0YKf16rg

Le dogme trinitaire du Saint-Esprit a été choisi 325 ans après Jesus au concile de Nicé. La consubstantialité du Père du Fils est un canon parmi tant d'autre.

"Pour ce qui est du jour ou de l'heure, personne ne le sait, ni les anges dans le ciel, ni le Fils, mais le Père seul." marc 13.32

Parce que Jésus est de deux natures et qu'il est envoyé par le Père afin d'accomplir les anciennes prophéties. Pourquoi dirait-il a Dieu, "Père, pourquoi m'as tu abandonné ?". Allez comme je suis sympa je vous donne la réponse : C'est le cri solidaire du Christ avec chaque homme, chaque femme, chaque enfant, le cri de l’homme qui souffre et qui meurt.

Appliqué officiellement un peut plus tard en 381.

Et alors ? Le dogme de l'immaculée conception a été validée officiellement au 19 ème siècle, et pourtant de tout temps, l'église l'avait reçue comme acquis.

La consubstantialité du Père Du Fils a été décidé au Concile de Nicé en 325 ... C'est du délire. Des hommes, comme toi et moi, ont décidé que Jesus est Dieu, comme ça, pour le fun.

Je doute fort que tu saches exactement ce qu'est un concile et comment ça se déroule. Quand a parler d'infaillibilité, rien que le mot je doute fort que tu saches ce qu'il signifie.

Les notions de conciles et du droit chrétien dans sa globalité sont étudiées en première année de Droit. Je peux te retrouver mes cours, si tu veux. Mon excellent professeur d'histoire du droit est ici : http://www.youtube.com/watch?v=0xK0YKf16rg

Il ne fait pas autorité.

Le dogme trinitaire du Saint-Esprit a été choisi 325 ans après Jesus au concile de Nicé. La consubstantialité du Père du Fils est un canon parmi tant d'autre.

"Pour ce qui est du jour ou de l'heure, personne ne le sait, ni les anges dans le ciel, ni le Fils, mais le Père seul." marc 13.32

Parce que Jésus est de deux natures et qu'il est envoyé par le Père afin d'accomplir les anciennes prophéties. Pourquoi dirait-il a Dieu, "Père, pourquoi m'as tu abandonné ?". Allez comme je suis sympa je vous donne la réponse : C'est le cri solidaire du Christ avec chaque homme, chaque femme, chaque enfant, le cri de l’homme qui souffre et qui meurt.

Pourquoi dans la Bible il y a des passages où il est mentionné que Jésus prie ? Il prie qui ? Dieu se prie lui-même ?

(la trinité) Les nazaréens (christianisme primitif des premiers Chrétiens ancien juifs convertie) qui était encore majoritaire puis chassé par le christianisme hellénistiques en 140 par Paul est ça clique n'y croyez pas.

Pour eux Jésus(psl) était un prophète, et Paul un Antéchrist.

Le dogme trinitaire du Saint-Esprit a été choisi 325 ans après Jesus au concile de Nicé. La consubstantialité du Père du Fils est un canon parmi tant d'autre.

"Pour ce qui est du jour ou de l'heure, personne ne le sait, ni les anges dans le ciel, ni le Fils, mais le Père seul." marc 13.32

Parce que Jésus est de deux natures et qu'il est envoyé par le Père afin d'accomplir les anciennes prophéties. Pourquoi dirait-il a Dieu, "Père, pourquoi m'as tu abandonné ?". Allez comme je suis sympa je vous donne la réponse : C'est le cri solidaire du Christ avec chaque homme, chaque femme, chaque enfant, le cri de l’homme qui souffre et qui meurt.

Pourquoi dans la Bible il y a des passages où il est mentionné que Jésus prie ? Il prie qui ? Dieu se prie lui-même ?

Personne n'est parfait , meme Dieu a un petit coté Narcisse .

Pourquoi dans la Bible il y a des passages où il est mentionné que Jésus prie ? Il prie qui ? Dieu se prie lui-même ?

C'est l'une des justifications du dogme trinitaire (trois personnes qui s'aiment d'abord entre elles avant de procéder à l'acte de création).

(la trinité) Les nazaréens (christianisme primitif des premiers Chrétiens ancien juifs convertie) chassé par le christianisme hellénistiques en 140 par Paul est ça clique n'y croyez pas.

Pour eux Jésus(psl) était un prophète.

Un prophète ne sauve pas et tu le dis toi même, Jésus sauve les gens de l'enfer. Tu te contredis.

Pourquoi dans la Bible il y a des passages où il est mentionné que Jésus prie ? Il prie qui ? Dieu se prie lui-même ?

C'est l'une des justifications du dogme trinitaire (trois personnes qui s'aiment d'abord entre elles avant de procéder à l'acte de création).c'est pas simple!!! mieux vaux se mettre d'accord à 2... 8)

et déjà rien que ça, c'est pas toujours si simple!!! :?

Le dogme trinitaire du Saint-Esprit a été choisi 325 ans après Jesus au concile de Nicé. La consubstantialité du Père du Fils est un canon parmi tant d'autre.

"Pour ce qui est du jour ou de l'heure, personne ne le sait, ni les anges dans le ciel, ni le Fils, mais le Père seul." marc 13.32

Parce que Jésus est de deux natures et qu'il est envoyé par le Père afin d'accomplir les anciennes prophéties. Pourquoi dirait-il a Dieu, "Père, pourquoi m'as tu abandonné ?". Allez comme je suis sympa je vous donne la réponse : C'est le cri solidaire du Christ avec chaque homme, chaque femme, chaque enfant, le cri de l’homme qui souffre et qui meurt.

Pourquoi dans la Bible il y a des passages où il est mentionné que Jésus prie ? Il prie qui ? Dieu se prie lui-même ?

As tu lu ma description sur la problématique de nature et de personne ???

Je me recite : Si Jésus est un grand prophète dans l'islam, moi je ne suis pas chrétien a ce moment la. Moi ça ne m’intéresse pas. Un prophète ne peut pas sauver, il n'y a que Dieu qui peut nous sauver. C'est justement parce que Jésus est Dieu, qu'il est le sauveur. Jésus dans l'unité de sa personne, ayant assumé la nature humaine, sans perdre évidement sa nature divine, lie ses deux natures dans l'unité de sa personne. Pour bien comprendre qui est Jésus, il faut bien connaitre les deux distinctions fondamental entre la notion de personne et la notion de nature. Nous partageons tous la même nature humaine, et pourtant nous ne sommes pas la même personne. Jésus, c'est une personne qui a deux natures (humaine et divine). C'est incompréhensible, parce qu'il n'y en a qu'un qui soit comme ça, c'est Dieu. Dieu Trinitaire. C'est tout ce qu'est le Christ et pourquoi il est le sauveur (et pas un prophète) parce que dans sa personne, il unie la nature divine et la nature humaine. C'est bien pour ça que dans le coran, Jésus est né de la vierge Marie. Il n'y a pas d'autres personnes qui soit nés de la Vierge, pourquoi ? Parce que Jésus pour commencer n'avait pas besoin d'être l'union entre un homme et une femme, parce que sa nature devait devenir personne pour nous sauver. Réparer le péché originel. Pour les musulmans, on disait que Jésus est prophète, même s'ils s'imaginent par la l'honoré, en fait vous bafouez la vérité au niveau du christianisme. Jésus est plus qu'un prophète, d'ailleurs Jésus le dit lui même dans l'évangile, relisez le passage concernant la reine de saba qui parle que le Christ est venu et qu'on l'a rejeté.

Le Christ en tant que personne incarné sur terre, prie le Père. L'incarnation ne supprime pas du tout la nature.

la grande force du Catholicisme et de l'Islamisme... C'est que jamais personne n'est revenu de la mort pour dire qu'il s'était fait arnaquer après une vie de merde vécue sur terre suite à toutes les conneries balancées par ces bonimenteurs de religieux!!!

la grande force du Catholicisme et de l'Islamisme... C'est que jamais personne n'est revenu de la mort pour dire qu'il s'était fait arnaquer après une vie de merde vécue sur terre suite à toutes les conneries balancées par ces bonimenteurs de religieux!!!

Et tu ne t'es jamais demandé si ce n'était pas toi qui s'était fait couillonner a ne pas croire ? Tu es si certain qu'il n'y a rien après ? Tu as quelle preuve pour être aussi suûre ? Et si jamais tu t'étais trompé de diagnostique, tu fais comment ?

A lire le pari de Blaise Pascal.

Le pari, voici le texte de Pascal.

- Examinons donc ce point, et disons : « Dieu est, ou il n'est

pas. » Mais de quel côté pencherons-nous ? La raison n'y peut

rien déterminer : il y a un chaos infini qui nous sépare. Il se

joue un jeu, à l'extrémité de cette distance infinie, où il

arrivera croix ou pile. Que gagerez-vous ? Par raison, vous ne pouvez

faire ni l'un ni l'autre ; par raison, vous ne pouvez défendre nul

des deux.

Ne blâmez donc pas de fausseté ceux qui ont pris un choix ; car

vous n'en savez rien.

- « Non ; mais je les blâmerai d'avoir fait, non ce choix,

mais un choix ; car, encore que celui qui prend croix et l'autre

soient en pareille faute, ils sont tous deux en faute : le juste est

de ne point parier »

- Oui ; mais il faut parier. Cela n'est pas volontaire, vous êtes

embarqué. Lequel prendrez-vous donc ? Voyons. Puisqu'il faut

choisir, voyons ce qui vous intéresse le moins. Vous avez deux

choses à perdre : le vrai et le bien, et deux choses à engager :

votre raison et votre volonté, votre connaissance et votre béatitude

; et votre nature a deux choses à fuir : l'erreur et la misère.

Votre raison n'est pas plus blessée, en choisissant l'un que

l'autre, puisqu'il faut nécessairement choisir. Voilà un point

vidé. Mais votre béatitude ? Pesons le gain et la perte, en prenant

croix que Dieu est. Estimons ces deux cas : si vous gagnez, vous

gagnez tout ; si vous perdez, vous ne perdez rien. Gagez donc qu'il

est, sans hésiter.

- « Cela est admirable. Oui, il faut gager ; mais je gage

peut-être trop. »

- Voyons. puisqu'il y a pareil hasard de gain et de perte, si vous

n'aviez qu'à gagner deux vies pour une, vous pourriez encore gagner

; mais s'il y en avait trois à gagner, il faudrait encore jouer

(puisque vous êtes dans la nécessité de jouer), et vous seriez

imprudent, lorsque vous êtes forcé de jouer, de ne pas hasarder

votre vie pour en gagner trois, à un jeu où il y a pareil hasard de

perte et de gain. Mais il y a une éternité de vie et de bonheur. Et

cela étant, quand il aurait une infinité de hasards, dont un seul

serait pour vous, vous auriez encore raison de gager un pour avoir

deux ; et vous agiriez de mauvais sens, en étant obligé à jouer,

de refuser de jouer une vie contre trois à un jeu où d'une infinité

de hasards il y en a un pour vous, s'il y avait une infinité de vie

infiniment heureuse à gagner. Mais il y a ici une infinité de vie

infiniment heureuse à gagner, un hasard de gain contre un nombre

fini de hasards de perte, et ce que vous jouez est fini. Cela ôte

tout parti : partout où est l'infini, et où il n'y a pas infinité

de hasards de perte contre celui du gain, il n'y a point à balancer,

il faut tout donner. Et ainsi, quand on est forcé à jouer, il faut

renoncer à la raison pour garder la vie, plutôt que de la hasarder

pour le gain infini aussi prêt à arriver que la perte du néant.

Car il ne sert de rien de dire qu'il est incertain si on gagnera,

et qu'il est certain qu'on hasarde, et que l'infinie distance qui est

entre la certitude de ce qu'on s'expose, et l'incertitude

de ce qu'on gagnera, égale le bien fini, qu'on expose certainement,

à l'infini, qui est incertain. Cela n'est pas ; aussi tout joueur

hasarde avec certitude pour gagner avec incertitude ; et néanmoins

il hasarde certainement le fini pour gagner incertainement le fini,

sans pécher contre la raison. Il n'y a pas infinité de distance

entre cette certitude de ce qu'on s'expose et l'incertitude du gain ;

cela est faux. Il y a, à la vérité, infinité entre la certitude

de gagner et la certitude de perdre. Mais l'incertitude de gagner est

proportionnée à la certitude de ce qu'on hasarde, selon la

proportion des hasards de gain et de perte. Et de là vient que, s'il

y a autant de hasards d'un côté que de l'autre, le parti est à

jouer égal contre égal ; et alors la certitude de ce qu'on s'expose

est égale à l'incertitude du gain : tant s'en faut qu'elle en soit

infiniment distante. Et ainsi, notre proposition est dans un force

infinie, quand il y a le fini à hasarder à un jeu où il y a

pareils hasards de gain que de perte, et l'infini à gagner. Cela est

démonstratif ; et si les hommes sont capables de quelque vérité,

celle-là l'est.

« Je le confesse, je l'avoue. Mais encore n'y a-t-il point

moyen de voir le dessous du jeu ? »

- Oui : l'Ecriture, et le reste, etc. (de nos jours j'ajouterait Rupert sheldrake, les récits de NDE ouhttp://monblog.ch/letrehumain/?story= ... e-l-esprit)

- « Oui ; mais j'ai les mains liées et la bouche fermée ; on

me force à parier, et je ne suis pas en liberté ; on ne me relâche

pas. Et je suis fait d'une telle sorte que je ne puis croire. Que

voulez-vous donc que je fasse ? «

- Il est vrai. Mais apprenez au moins que votre impuissance à

croire, puisque la raison vous y porte, et que néanmoins vous ne le

pouvez, vient de vos passions. Travaillez donc, non pas à vous

convaincre par l'argumentation des preuves de Dieu, mais par la

diminution de vos passions. Vous voulez aller à la foi, et vous n'en

savez pas le chemin ; vous voulez vous guérir de l'infidélité, et

vous en demandez les remèdes : apprenez de ceux qui ont été liés

comme vous, et qui parient maintenant tout leur bien ; ce sont gens

qui savent ce chemin que vous voudriez suivre, et guéris d'un mal

dont vous voulez guérir. Suivez la manière par où ils ont commencé

: c'est en faisant tout comme s'ils croyaient, en prenant l'eau

bénite, en faisant dire des messes, etc. Naturellement même cela

vous fera croire et vous abêtira.

« Mais c'est ce que je crains. »

- Et pourquoi ? qu'avez-vous à perdre ?...

Mais, pour vous montrer que cela y mène, c'est que cela diminue

les passions, qui sont vos grands obstacles.

Fin de ce discours. - Or, quel mal vous arrivera-t-il en

prenant ce parti ? Vous serez fidèle, honnête, humble,

reconnaissant, bienfaisant, ami sincère, véritable. A la vérité,

vous ne serez point dans les plaisirs empestés, dans la gloire, dans

les délices ; mais n'en aurez-vous point d'autres ? Je vous dis que

vous y gagnerez en cette vie, et que, à chaque pas que vous ferez

dans ce chemin, vous verrez tant de certitude du gain, et tant du

néant de ce que vous hasardez, que vous connaîtrez à la fin que

vous avez parié pour une chose certaine, infinie, pour laquelle vos

n'avez rien donné.

@ Joanni

D'accord. Par ailleurs, comment expliquez vous ces passages bibliques :

8.40 Mais maintenant vous cherchez à me faire mourir, moi un homme qui vous ai dit la vérité que j'ai entendue de Dieu. Cela, Abraham ne l'a point fait. jean

21.10 Lorsqu'il entra dans Jérusalem, toute la ville fut émue, et l'on disait: Qui est celui-ci? 21.11 La foule répondait: C'est Jésus, le prophète, de Nazareth en Galilée. matthieu:

5.30 Je ne puis rien faire de moi-même: selon que j'entends, je juge; et mon jugement est juste, parce que je ne cherche pas ma volonté, mais la volonté de celui qui m'a envoyé. jean:

Qui a envoyé Jésus si selon vous Jésus c'est Dieu lui-même ?

la grande force du Catholicisme et de l'Islamisme... C'est que jamais personne n'est revenu de la mort pour dire qu'il s'était fait arnaquer après une vie de merde vécue sur terre suite à toutes les conneries balancées par ces bonimenteurs de religieux!!!

Et tu ne t'es jamais demandé si ce n'était pas toi qui s'était fait couillonner a ne pas croire ? Tu es si certain qu'il n'y a rien après ? Tu as quelle preuve pour être aussi suûre ? Et si jamais tu t'étais trompé de diagnostique, tu fais comment ?

A lire le pari de Blaise Pascal.tu vas quand même pas nous sortir une couillonnade aussi vile... pour nous convertir... 8)

On en a absolument rien à foutre du pari... d'ailleurs qui dit pari présuppose qu'il y a deux camps... 8)

Ben voilà.. Moi, je fait partie du camp d'en face où, je le reconnais, il y a beaucoup beaucoup moins de nanas... 8)

@ Joanni

D'accord. Par ailleurs, comment expliquez vous ces passages bibliques :

8.40 Mais maintenant vous cherchez à me faire mourir, moi un homme qui vous ai dit la vérité que j'ai entendue de Dieu. Cela, Abraham ne l'a point fait. jean

21.10 Lorsqu'il entra dans Jérusalem, toute la ville fut émue, et l'on disait: Qui est celui-ci? 21.11 La foule répondait: C'est Jésus, le prophète, de Nazareth en Galilée. matthieu:

5.30 Je ne puis rien faire de moi-même: selon que j'entends, je juge; et mon jugement est juste, parce que je ne cherche pas ma volonté, mais la volonté de celui qui m'a envoyé. jean:

Qui a envoyé Jésus si selon vous Jésus c'est Dieu lui-même ?

Jean a été chargé d'annoncer la venue du Messie. C'est celui qui criait dans le désert. Quand Jésus fut, quand il a commencé a prêché, Jean devait diminuer pour que Jésus grandisse.

Il a été affublé de prophète, non pas par lui, mais par les hommes. De plus, sa révélation n'a pas été subite. IL a dispatché ses paroles progressivement en fonction des circonstances.

Oui, il ne fait rien de lui même, puisque même en tant que personne, il est de par sa nature en Dieu. Donc, ce sont les 3 personnes de la trinité qui agissent, et non lui tout seul. IL n'y a pas de séparation, il y a une incarnation, mais elle ne modifie en rien sa nature.

Comme tu veux, mais tu retires un peu vite la possibilité de te tromper.