Mais ça c 'est l' hypocrisie du sport pro.

Après tout qu' est ce qu' on s' en fout que les sportifs de haut niveau se dopent, puisque les records corrélés à l' argent sont de mises, que ceux qui désirent rester naturels avec des performances à l' échelle purement génétiques, restent ''amateurs''.

Point barre.

Guy Béart le chantait déjà il y a 40 ans :

J'affirme que l'on m'a proposé beaucoup d'argent

Pour vendre mes chances dans le Tour de France

Le Tour est un spectacle et plaît à beaucoup de gens

Et dans le spectacle, y'a pas de miracle

Le coureur a dit la vérité, il doit être exécuté.

Il faisait allusion à des paroles de Jacques Anquetil, qui avait répondu à une question sur le dopage en disant en substance : écoutez, je prends mon vélo 300 jours par an. Vous connaissez des surhommes, vous ? Pas moi.

Donc, comme cela a été dit et redit, nous sommes ici en plein Royaume des Faux-Derches.

C'est aussi les années de l'émergence de Bobet, mort à 58 ans, sans doute d'un AVC ou d'un infarctus...à moins que ce ne soit d'un abus quelconque, ou de Anquetil mort à 53 ans...il parait que le sport conserve... ouais....

Et Simpson, et Copi, et Pantani... on pourrait continuer comme cela jusqu'à demain matin.

La seule différence, c'est que ce qui pouvait être avant des initiatives personnelles et une forme de bricolage est devenu un véritable système.

Un coureur professionnel ne peut pas ne pas se doper. Les équipes suivent des programmes mis en place par des médecins qui leur font avaler ce qu'ils veulent. On peut dire non, certes, mais alors on dégage de l'équipe, c'est pas plus compliqué que cela.

Ecoutez bien ce que dit Jalabert à ce propos : on nous donnait des produits, il fallait les prendre.

Ca permet au sportif de pouvoir se maintenir dans une mauvaise foi à peu près supportable. Il peut faire comme s'il n'était pas au courant : ce n'est pas lui qui va chez son médecin se faire prescrire de la dope, il se contente de suivre le régime imposé par son employeur (à toute l'équipe et pas lui spécialement).

(C'est de cette façon là qu'il faut prendre le "à mon insu" célébressime. Il n'a sans doute rien demandé, Virenque, et il n'a sans doute pas cru bon de s'interroger sur la teneur exacte de ce qu'on lui a donné. )

Guy Béart le chantait déjà il y a 40 ans :

J'affirme que l'on m'a proposé beaucoup d'argent

Pour vendre mes chances dans le Tour de France

Le Tour est un spectacle et plaît à beaucoup de gens

Et dans le spectacle, y'a pas de miracle

Le coureur a dit la vérité, il doit être exécuté.

Il faisait allusion à des paroles de Jacques Anquetil, qui avait répondu à une question sur le dopage en disant en substance : écoutez, je prends mon vélo 300 jours par an. Vous connaissez des surhommes, vous ? Pas moi.

Donc, comme cela a été dit et redit, nous sommes ici en plein Royaume des Faux-Derches.

Exactement.

Comme si , les sportifs ou les gladiateurs de l' époque antique, n' étaient pas chargés, pour faire jouir mentalement les plébéiens et, praticiens.

C'est aussi les années de l'émergence de Bobet, mort à 58 ans, sans doute d'un AVC ou d'un infarctus...à moins que ce ne soit d'un abus quelconque, ou de Anquetil mort à 53 ans...il parait que le sport conserve... ouais....

Et Simpson, et Copi, et Pantani... on pourrait continuer comme cela jusqu'à demain matin.

La seule différence, c'est que ce qui pouvait être avant des initiatives personnelles et une forme de bricolage est devenu un véritable système.

Un coureur professionnel ne peut pas ne pas se doper. Les équipes suivent des programmes mis en place par des médecins qui leur font avaler ce qu'ils veulent. On peut dire non, certes, mais alors on dégage de l'équipe, c'est pas plus compliqué que cela.

Ecoutez bien ce que dit Jalabert à ce propos : on nous donnait des produits, il fallait les prendre.

Ca permet au sportif de pouvoir se maintenir dans une mauvaise foi à peu près supportable. Il peut faire comme s'il n'était pas au courant : ce n'est pas lui qui va chez son médecin se faire prescrire de la dope, il se contente de suivre le régime imposé par son employeur (à toute l'équipe et pas lui spécialement).

(C'est de cette façon là qu'il faut prendre le "à mon insu" célébressime. Il n'a sans doute rien demandé, Virenque, et il n'a sans doute pas cru bon de s'interroger sur la teneur exacte de ce qu'on lui a donné. )

OK, c'est possible que ces coureurs aient pris de produits "à l'insu d'leur plein gré"...mais à leur époque, il y a une dizaine d'années, le phénomène du dopage était déjà connu (le Dr de Mondenard avait déjà suivi les cyclistes à l'INS), et on ne prend pas une petite pilule ou une injection, sans demander ce que c'est! Surtout, dans le cas de l'EPO, où il faut remuer les jambes pour éviter les thromboses...d'autant que Virenque et toute l'équipe Festina, par exemple, s'étaient décolorées les cheveux pour masquer les effets de cette EPO...les produits dopants ont la fâcheuse habitude de se déposer dans les cheveux...

Tous les médias du sport ont leur part de responsabilité là-dedans; L'Equipe, France2, etc... ont fermé leur gueule sur les ravages du dopage qui commence très jeune dans les clubs locaux.

Armstrong: «Impossible de gagner le Tour de France sans dopage»

http://www.lesoir.be/271086/article/spo ... ans-dopage

L’Américain Lance Armstrong, champion cycliste déchu de ses sept Tours de France pour dopage, affirme qu’il « est impossible de gagner le Tour de France sans dopage», dans un entretien au journal Le Monde, à la veille du départ de la centième édition depuis la Corse.

«C’est impossible de gagner le Tour de France sans dopage. Car le Tour est une épreuve d’endurance où l’oxygène est déterminant», affirme Armstrong.

Et le Texan d’expliquer: «Pour ne prendre qu’un exemple, l’EPO ne va pas aider un sprinteur à remporter un 100 m, mais elle sera déterminante pour un coureur de 10.000 m. C’est évident.»

«Qui est le vainqueur des Tours entre 1999 et 2005?»

« C’est bien d’effacer mon nom du palmarès, mais le Tour a bien eu lieu entre 1999 et 2005, n’est-ce pas? Il doit donc y avoir un vainqueur. Qui est-il? Personne ne s’est manifesté pour réclamer mes maillots.», lance le septuple vainqueur du Tour de France.

«Je n’ai pas inventé le dopage»

Armstrong rappelle dans cet entretien ne pas avoir « inventé le dopage» qui « existe depuis l’antiquité et qui existera toujours». Il pense en outre que la culture du dopage « ne finira jamais.»

«Je n’ai pas inventé le dopage. Et il ne s’est pas non plus arrêté avec moi. J’ai simplement participé à ce système. Je suis un être humain. Je n’ai jamais eu peur des contrôles antidopage. Notre système était assez basique et sans risque. J’avais beaucoup plus peur de la douane et de la police.»

«Jalabert est en train de mentir»

Concernant Laurent Jalabert, dont on a retrouvé de l’EPO dans les urines prélevées lors du Tour 1998, Armstrong déclare : «Ah, Jaja, avec tout le respect que je lui dois, il est en train de mentir. Il aurait mieux fait d’éviter de parler de Ferrari et de Citroën car il sait très bien que Michele était le médecin de la ONCE au milieu des années 1990.»

Lance Armstrong a été déchu en octobre de la majeure partie de ses titres et radié à vie après que l’agence américaine de lutte contre le dopage (USADA) l’a accusé d’avoir activement participé au «programme de dopage le plus sophistiqué jamais vu dans l’histoire du sport».

Après des années de dénégations, l’ancien cycliste a avoué mi-janvier, lors d’une confession télévisée, s’être dopé durant sa carrière

«Je ne parviendrai jamais à réparer tout ça mais je passerai ma vie à essayer. J’ai été trop dur avec les gens. Se battre sur son vélo, c’est parfait. Se battre en dehors, ça ne l’est pas. Je n’ai pas pu, je n’ai pas su séparer les deux», conclut Lance Armstrong.

Un grand homme.

Déchu par un pouvoir dogmatique sportif hypocrite.

Un grand homme.

Déchu par un pouvoir dogmatique sportif hypocrite.

C'est bien la première fois que je le trouve grand

Un grand homme.

Déchu par un pouvoir dogmatique sportif hypocrite.

C'est bien la première fois que je le trouve grand

Mais, ils sont tous chargés.

Un grand homme.

Déchu par un pouvoir dogmatique sportif hypocrite.

C'est bien la première fois que je le trouve grand

Mais, ils sont tous chargés.

Je sais bien

C'est le meilleur des dopés disons.

Le vélo est un sport difficile , éprouvant pour celui ou celle qui tente de pédaler sur une côte en plein cagnard vent de face.

Jeune et ado (années 70-80) j'étais un fou du Tour de France , regardant toutes les étapes à la tv , achetant l'Equipe pour lire les résumés et commentaires.

Ces coureurs étaient des héros capables des plus beaux exploits que l'on pensaient être le fruit du travail , de l'effort de la souffrance.

Au Pays Basque nous avons beaucoup de routes sinueuses dans les campagnes , jeune on faisait des dizaines de kilomètres à vélo tous les jours .

A l'arrivée nous étions lessivés , les jambes dures , la sueur couvrant tout le corps , le souffle court , parfois à la limite de tomber dans les pommes.

Voir ces coureurs grimper des cols hors catégories alors que nous humbles mortels étions tout juste capable de faire 50 km à la peine rendaient ces types légendaires , surhumains .

Oui j'admirais Hinault , écoutais papa narrer les duels Anquetil - Poulidor , revoyais à la tv avec passion les Coppi , Bobet , Mercx , Bahamontés , Thévenet avaler les km de bitumes dans des courses épiques .

Je cogitais comme un malade dans ma chambre pour savoir si Fignon allait battre Lemond au dernier contre la montre , j'étais fasciné par la puissance d'Indurain même si Périco Delgado son ancien coéquipier fut mon préféré chez les espagnols.

Puis en 1998 avec l'affaire Festina j'ai vu que tous ces "héros" étaient des tricheurs , leur souffrance sur le vélo un mensonge couvert par de la dope , leurs victoires une mystification .

La suite avec Armstrong , le robocop survitaminé m'a complétement fait changer d'état d'esprit .

Maintenant je n'ai plus aucun respect pour ces individus , sortes de seringues à roulettes incapable de pousser la pédale sans se piquer le cul.

Ce sont des drogués pour lesquels j'ai perdu assez d'heure de ma vie à suivre des exploits qui n'étaient que des escroqueries.

Ce sont des drogués pour lesquels j'ai perdu assez d'heure de ma vie à suivre des exploits qui n'étaient que des escroqueries.

Je peux te comprendre, Wolfy, mais le sport pro. quel qu' il soit est lié au record , à la perf. aux annonceurs et par voie de conséquence, au sport business.

Par conséquent, il est important de scinder en deux , l' exploit du sportif amateur, du professionnel qui se doit, hélas, d' user de tous ce qui est à sa disposition pour dépasser ses propres capacités génétiques et sportives.

Le guerriers de l' antiquité ou ceux de nos jours se chargent.

Rien de nouveaux sous le soleil.

Ce sont des drogués pour lesquels j'ai perdu assez d'heure de ma vie à suivre des exploits qui n'étaient que des escroqueries.

Je peux te comprendre, Wolfy, mais le sport pro. quel qu' il soit est lié au record , à la perf. aux annonceurs et par voie de conséquence, au sport business.

Par conséquent, il est important de scinder en deux , l' exploit du sportif amateur, du professionnel qui se doit, hélas, d' user de tous ce qui est à sa disposition pour dépasser ses propres capacités génétiques et sportives.

Le guerriers de l' antiquité ou ceux de nos jours se chargent.

Rien de nouveaux sous le soleil.

Dans ce cas arrêtons l'hypocrisie , légalisons le dopage ...

Regarder le vélo c'est comme un match de catch en somme , tout est faux et truqué mais les gens aiment pour le côté spectacle.

Je peux le comprendre dans ce sens.

Impossible, désormais, de cracher sur la pédale.

Certaines valeurs deviennent des dogmes d'Etat.

Impossible, désormais, de cracher sur la pédale.

Pas du tout, c'est très à la mode, au contraire.

Tiens, t'as la manif pour tous, par exemple.

Ou dans des backrooms.

Un grand homme.

Déchu par un pouvoir dogmatique sportif hypocrite.

1.77m c'est pas très grand...

Quand on voir son entourage :

Mais ça c 'est l' hypocrisie du sport pro.

Après tout qu' est ce qu' on s' en fout que les sportifs de haut niveau se dopent, puisque les records corrélés à l' argent sont de mises, que ceux qui désirent rester naturels avec des performances à l' échelle purement génétiques, restent ''amateurs''.

Point barre.

bonjour Jack 3D,je ne sais pas vous ,personnellement je considère n'importe quel sport comme bénéfique pour soi même ou une participation cohérente en équipe .Il en ressort que se doper est non seulement une tricherie ,un leurre mais aussi au final une atteinte à votre propre organisme avec quelquefois une issue fatale à brève échéance .Comptez aussi le mauvais exemple de facilité montré aux jeunes .C'est le cas de le dire ;on leur dore la pilule avec des mirages de gloire facilement acquise .

Comme dans la quantité des sportifs dits de haut niveau ;il y a forcément des gens intelligents ;je supposes que l'accès à la renommée par des moyens artificiels est un choix ;à eux de l'assumer .

Bonjour Msieur le corsaire, perso je ne suis pas trop le vélo, ça me gave comme sport et, encore plus devant la télé, ceci dit, ce que je trouve extraordinaire, c ' est que chaque année, on nous annonce un '' tour propre'' et chaque année les coureurs laborantins, se font gauler.

Qui plus est, certains cyclistes et non des moindres, le disent eux mêmes : on ne peut pas faire le tour de France avec uniquement de l' eau minéral, ça mettrait trop de temps.

Impossible, désormais, de cracher sur la pédale

Pas du tout, c'est très à la mode, au contraire.

Tiens, t'as la manif pour tous, par exemple.

Homophobie et vélophobie même combat !