Tout est dans le titre.
La liberté d'expression doit-elle être totale ?
oui, la censure de Dieudonné est un scandale. C'est même anti démocratique.
Quand quelqu'un dit des contre vérités, il faut savoir y repondre et les démonter.
*** il y a suffisamment de topics ouverts sur ce sujet *** Nim'z
oui, la censure de Dieudonné est un scandale. C'est même anti démocratique.Quand quelqu'un dit des contre vérités, il faut savoir y repondre et les démonter.
*** il y a suffisamment de topics ouverts sur ce sujet *** Nim'z
Pas mieux . Intéréssant le cas de Dieudonné , quand il voulait casser du facho c'était une star , dés qu'il y a changé de cible => aux oubliettes . On se demande bien pourquoi cette différence de traitement .
Tout est dans le titre.
Quelle tendance?
Marine?
Identitaire?
Holleindre?
par contre ,la vie privée des gens , même des peoples doit pouvoir être préservée.
Dans le microcosme parisien tout le monde savait pour les frasques de DSK et ne disait rien . Mais depuis 18 mois, on a l'impression au contraire que les mêmes qui se taisaient en rajoute pour l'enfoncer.
Je trouve en cela les américains beaucoup plus francs et honnêtes. Une fois que quelqu'un a reconnu sa faute , ils savent tourner la page. Chez nous c'est soit l'impunité soit la condamnation à vie .
C'est la loi qui libère et la liberté qui opprime... Toute liberté doit être limitée dans certains cas dans l'intérêt général, afin qu'elles puissent être réellement efficaces et s'accorder entre elles. Ce n'est donc pas tant la liberté d'expression qui doit être totale, qu'elle puisse s'accorder avec d'autres libertés toutes aussi importantes.
La suprématie absolue d'une seule liberté entraîne mathématiquement l'arbitraire, puisque les autres devront être réprimées.
Si on a le droit de tout dire, qu'en est-il du respect de la vie privée ? De la présomption d'innocence ? De la liberté de conscience ? Des droits fondamentaux de la personne humaine si on peut attaquer en public quiconque en vertu de son origine, sa religion, ses convictions ?
Bonjour,
Bien sûr que la liberté d'expression doit être totale. Aucune limite ne doit être tolérée.
Par exemple l'aberration du droit à l'image: l'image et la réputation ne vous appartiennent pas, votre réputation n'est que l'idée que les autres se font de vous.
La présomption d'innocence, toute une histoire. D'un coté si la personne est innocente les gens s'en rendront conte, s'il est vraiment coupable, çà ne change rien.
Les attaques reposants sur l'origine la religion les opinions/convictions ne décrédibilisent que celui qui les utilisent et non la cible de ces attaques.
Bonjour,Bien sûr que la liberté d'expression doit être totale. Aucune limite ne doit être tolérée.
Par exemple l'aberration du droit à l'image: l'image et la réputation ne vous appartiennent pas, votre réputation n'est que l'idée que les autres se font de vous..
Si j'ai le droit de provoquer en duel et de mettre à mort celui qui utilise mon image sans mon accord ou colporte des ragots à mon encontre, je suis d'accord pour le "No limit". Sinon, non, mon image m'appartient et on insulte pas sans conséquences.
Bonjour,Bien sûr que la liberté d'expression doit être totale. Aucune limite ne doit être tolérée.
Par exemple l'aberration du droit à l'image: l'image et la réputation ne vous appartiennent pas, votre réputation n'est que l'idée que les autres se font de vous..
Si j'ai le droit de provoquer en duel et de mettre à mort celui qui utilise mon image sans mon accord, je suis d'accord pour le "No limit". Sinon, non, mon image m'appartient.
Déjà la vie appartient à chacun, la mise à mort est donc anti self-ownship.
Votre image ne vous appartient pas. Votre image appartient à celui qui la vois, à vous quand vous êtes devant un miroir aux passants quand il vous croisent dans la rue etc.
Votre réputation ne vous appartient pas non plus, la réputation n'est que ce que les autres pensent de vous.
Votre image ne vous appartient pas. Votre image appartient à celui qui la vois, à vous quand vous êtes devant un miroir aux passants quand il vous croisent dans la rue etc.
On diverge, j'estime que mon image est ma possession quelqu'un qui s'en empare doit s'exposer a des représailles, that's all.
Quand a ma réputation y nuire sur des mensonges revient à l'insulte, pareillement, la représailles est un droit, voir un devoir.
Votre image ne vous appartient pas. Votre image appartient à celui qui la vois, à vous quand vous êtes devant un miroir aux passants quand il vous croisent dans la rue etc.
On diverge, j'estime que mon image est ma possession quelqu'un qui s'en empare doit s'exposer a des représailles, that's all.
Quand a ma réputation y nuire sur des mensonges revient à l'insulte, pareillement, la représailles est un droit, voir un devoir.
Quand vous dites représailles, j'imagine que vous dites physiques. Ceci est donc un viole de l'axiome de non violence qui est la base de la liberté.
Donc au titre d'une totale liberté d'expression, on écraserait avec impunité les autres droits et libertés, au risque de provoquer une véritable anarchie ?
Quand vous dites représailles, j'imagine que vous dites physiques. Ceci est donc un viole de l'axiome de non violence qui est la base de la liberté.
C'est votre définition de la liberté et votre définition de la violence. Je n'y souscris pas.
J'estime pour ma part que la sécurité est une composante de la liberté et que celui qui nuit à la sécurité d'autrui que ce soit physiquement, verbalement ou moralement abdique tout droit à sa propre sécurité vis à vis de celui-ci qu'il a agressé.
En d'autres termes, si on m'attaque quelque soit les paramètres de cette attaque j'ai toute latitude de réponse sur tout mode que je considérerais susceptible de faire cesser ces agressions. La coercition physique est un moyen que je juge aussi légitime qu'un autre.
Oui, sauf pour l'appel explicite à enfreindre la loi.
Par exemple, on ne peut pas tolérer qu'un journal titre au premier degré un article sur "Il faut tuer Mr Machin".
Ne tombent pas sous cette restriction :
- Les discussions sur la pertinence d'une loi (par exemple dire : Je suis contre la loi qui interdit de tuer. Je pense que chacun devrait pouvoir assassiner n'importe qui).
- L'affirmation que l'on a enfreint, que l'on enfreint ou que l'on compte enfreindre une loi (par exemple : Hier j'ai tué ma voisine. Demain matin, j'irai poignarder Delanoë.)
Seul l'appel direct à enfreindre une loi pourrait être interdit/réprimé pour de simples raisons de sécurité publique.
Evidemment, l'arsenal de lois actuelles pour encadrer la parole publique est lamentable, injustifié et indigne d'une démocratie.
Liberté d'expression totale. Les éventuelles conséquences négatives seraient résolues notemment par l'institution judicière, même si ça pourrait contribuer à l'engorgement...
La liberté d'expression totale, en soi, est de toutes façons déjà bordée naturellement par l'auto-"censure" liée à la crainte des réactions verbales, physiques, judiciaires... En gros, l'équation est : + de liberté entraine forcément + de responsabilité...
Bonjour,Si j'ai le droit de provoquer en duel et de mettre à mort celui qui utilise mon image sans mon accord, je suis d'accord pour le "No limit". Sinon, non, mon image m'appartient.
Déjà la vie appartient à chacun, la mise à mort est donc anti self-ownship.
Votre image ne vous appartient pas. Votre image appartient à celui qui la vois, à vous quand vous êtes devant un miroir aux passants quand il vous croisent dans la rue etc.
Votre réputation ne vous appartient pas non plus, la réputation n'est que ce que les autres pensent de vous.
oui, mais avec les images volées, par un paparazzi planqué dans un arbre ? vous n'avez plus droit à aucune intimité.
"ma vie est un enfer" disait la belle Diana.
cela n'a rien à voir avec la liberté d'expression, qui est la liberté de parole et de débat.
Que veulent dire les paroles de Hollande hier, nous traquerons l'antisémitisme sur les réseaux sociaux. Où sera la limite de la liberté d'expression ?
Si je dis " Netanyahu est un criminel de guerre, à titre personnel je boycotte les produits israéliens"; j'emet une opinion politique, mais le CRIF va m'accuser d'antisémitisme et réclamer une loi pour me condamner à la censure.
Oui pas de censure, les lois gayssot devraient être abrogé.
La liberté totale d'expression est une utopie : comment pourrait-on accepter que l'on appelle au meurtre (oui, je sais ça se fait déjà) ou le fait de faire l'apologie de la pédophilie par exemple ?
Bien entendu que dans l'absolu on devrait avoir le droit de tout dire... mais dans les faits ce n'est pas envisageable...
La question de la "liberté" d'expression ne peut de toute manière se penser sans la question de la responsabilité de ses propos.
Qu'on puisse tout dire, bien évidemment, mais qu'on soit alors prêt à en supporter les conséquences, quelles qu'elles soient, sans venir chialer après.
J'estime pour ma part que la sécurité est une composante de la liberté et que celui qui nuit à la sécurité d'autrui que ce soit physiquement, verbalement ou moralement abdique tout droit à sa propre sécurité vis à vis de celui-ci qu'il a agressé.En d'autres termes, si on m'attaque quelque soit les paramètres de cette attaque j'ai toute latitude de réponse sur tout mode que je considérerais susceptible de faire cesser ces agressions. La coercition physique est un moyen que je juge aussi légitime qu'un autre.
Je renchéri, la liberté, c'est la liberté de disposer de soi, et donc de son image. Il serait ridicule de séparer les préjudices moraux des préjudices physiques.