Quand vous dites représailles, j'imagine que vous dites physiques. Ceci est donc un viole de l'axiome de non violence qui est la base de la liberté.

C'est votre définition de la liberté et votre définition de la violence. Je n'y souscris pas.

J'estime pour ma part que la sécurité est une composante de la liberté et que celui qui nuit à la sécurité d'autrui que ce soit physiquement, verbalement ou moralement abdique tout droit à sa propre sécurité vis à vis de celui-ci qu'il a agressé.

En d'autres termes, si on m'attaque quelque soit les paramètres de cette attaque j'ai toute latitude de réponse sur tout mode que je considérerais susceptible de faire cesser ces agressions. La coercition physique est un moyen que je juge aussi légitime qu'un autre.

Savez vous ce que veux axiome? c'est un principe, une évidence.

Vous êtes donc un partisan de la loi de la jungle, le roi lion rugit il donne des coups de griffes et il commende. Vision primitive.

Si vous devenez agresseur vous devrez en subir les conséquences(en prendre plein la tête à coup de chaînes de vélos) Typique des tolards ou ex tolards.

La liberté d'expression totale, en soi, est de toutes façons déjà bordée naturellement par l'auto-"censure" liée à la crainte des réactions verbales, physiques, judiciaires... En gros, l'équation est : + de liberté entraine forcément + de responsabilité...

Voilà des paroles sensés.

oui, mais avec les images volées, par un paparazzi planqué dans un arbre ? vous n'avez plus droit à aucune intimité.

"ma vie est un enfer" disait la belle Diana.

cela n'a rien à voir avec la liberté d'expression, qui est la liberté de parole et de débat.

Que veulent dire les paroles de Hollande hier, nous traquerons l'antisémitisme sur les réseaux sociaux. Où sera la limite de la liberté d'expression ?

Si je dis " Netanyahu est un criminel de guerre, à titre personnel je boycotte les produits israéliens"; j'emet une opinion politique, mais le CRIF va m'accuser d'antisémitisme et réclamer une loi pour me condamner à la censure.

Les paparazzi? il y en à beaucoup qui cherchent des image de vous? de moi aucun.

Votre deuxième paragraphe vous l'avez écris pour aller dans le sens de la liberté total, non?

La liberté totale d'expression est une utopie : comment pourrait-on accepter que l'on appelle au meurtre (oui, je sais ça se fait déjà) ou le fait de faire l'apologie de la pédophilie par exemple ?

Bien entendu que dans l'absolu on devrait avoir le droit de tout dire... mais dans les faits ce n'est pas envisageable...

Pourquoi? de toutes façons il y à les limites naturels de la société ou nous sommes insérés. J'ai des amis qui ne parlent pas de politique, je m'autocensure pour eux quand je vais les voir(ou vice versa).

La question de la "liberté" d'expression ne peut de toute manière se penser sans la question de la responsabilité de ses propos.

Qu'on puisse tout dire, bien évidemment, mais qu'on soit alors prêt à en supporter les conséquences, quelles qu'elles soient, sans venir chialer après.

Pareil pour la violance: libre à vous de l'utiliser, mais il ne faut pas chialer après.

Je renchéri, la liberté, c'est la liberté de disposer de soi, et donc de son image. Il serait ridicule de séparer les préjudices moraux des préjudices physiques.

Les préjudices? quel préjudices?

C'est votre définition de la liberté et votre définition de la violence. Je n'y souscris pas.

J'estime pour ma part que la sécurité est une composante de la liberté et que celui qui nuit à la sécurité d'autrui que ce soit physiquement, verbalement ou moralement abdique tout droit à sa propre sécurité vis à vis de celui-ci qu'il a agressé.

En d'autres termes, si on m'attaque quelque soit les paramètres de cette attaque j'ai toute latitude de réponse sur tout mode que je considérerais susceptible de faire cesser ces agressions. La coercition physique est un moyen que je juge aussi légitime qu'un autre.

Savez vous ce que veux axiome? c'est un principe, une évidence.

Vous êtes donc un partisan de la loi de la jungle, le roi lion rugit il donne des coups de griffes et il commende. Vision primitive.

Si vous devenez agresseur vous devrez en subir les conséquences(en prendre plein la tête à coup de chaînes de vélos) Typique des tolards ou ex tolards.

Un axiome est, surtout, une vérité qui doit être admise pour le déroulé des démonstrations qui suivent.

Je ne l'admet pas et vous ne pouvez ni démontrer sa véracité ni me l'imposer. Vous choisissez votre paradigme moi le mien; ne vous attendez pas que, dans une opposition votre adversaire choisisse le chemin qui vous convient.

Quand a votre métaphore du lion elle est ridicule. Tous est conflit de pouvoir, que ce conflit ait pour média, l'argent, la verve, l'intelligence, la force physique n'a aucune importance, quelqu'un qui déclenche un conflit le fait dans le secteur où il est le plus puissant, si le défenseur bascule sur un secteur ou lui, est meilleur, ( pour notre exemple, en passant de l'attaque verbale au poing dans la gueule), il n'y a là que strict défense.

Après si vous êtes du genre a estimer que c'est celui qui déclenche l'attaque qui doit décider des normes du conflits, c'est que vous estimez, justement, que le plus fort doit gagner puisque vous ne laissez pas latitude au faible de se choisir d'autres moyens de défense.

Vous êtes pervers quand même.

La question de la "liberté" d'expression ne peut de toute manière se penser sans la question de la responsabilité de ses propos.

Qu'on puisse tout dire, bien évidemment, mais qu'on soit alors prêt à en supporter les conséquences, quelles qu'elles soient, sans venir chialer après.

Pareil pour la violance: libre à vous de l'utiliser, mais il ne faut pas chialer après.

Ne confondez pas violence et agressivité. Pour ce qui est de chialer, il est bien évident que ce que j'attends d'autrui je me l'applique à moi-même.

je me refuse d'aller sur fessebouc, poster des conneries sur ma vie privée pour justement garder ma liberté d'expression et qu'on ne me ressorte pas des choses personnelles d'il y a 10 ans dont je ne voudrais plus parler.

Moi je trouve normal que la liberté d'expression exclue ou interdise les images volées par les paparazzis.

liberté d'expression et liberté d'opinion ont des nuances. La liberté d'opinion doit elle être totale.

La liberté d'expression ne devrait pas nuire lourdement la personne visée , calomniée ou trop ridiculisée.

C'est votre définition de la liberté et votre définition de la violence. Je n'y souscris pas.

J'estime pour ma part que la sécurité est une composante de la liberté et que celui qui nuit à la sécurité d'autrui que ce soit physiquement, verbalement ou moralement abdique tout droit à sa propre sécurité vis à vis de celui-ci qu'il a agressé.

En d'autres termes, si on m'attaque quelque soit les paramètres de cette attaque j'ai toute latitude de réponse sur tout mode que je considérerais susceptible de faire cesser ces agressions. La coercition physique est un moyen que je juge aussi légitime qu'un autre.

Savez vous ce que veux axiome? c'est un principe, une évidence.

Vous êtes donc un partisan de la loi de la jungle, le roi lion rugit il donne des coups de griffes et il commende. Vision primitive.

Si vous devenez agresseur vous devrez en subir les conséquences(en prendre plein la tête à coup de chaînes de vélos) Typique des tolards ou ex tolards.

Un axiome est, surtout, une vérité qui doit être admise pour le déroulé des démonstrations qui suivent.

Je ne l'admet pas et vous ne pouvez ni démontrer sa véracité ni me l'imposer. Vous choisissez votre paradigme moi le mien; ne vous attendez pas que, dans une opposition votre adversaire choisisse le chemin qui vous convient.

Quand a votre métaphore du lion elle est ridicule. Tous est conflit de pouvoir, que ce conflit est pour média, l'argent, la verve, l'intelligence, la force physique n'a aucune importance, quelqu'un qui déclenche un conflit le fait dans le secteur où il est le plus puissant, si le défenseur bascule sur un secteur ou lui, est meilleur, ( pour notre exemple, en passant de l'attaque verbale au poing dans la gueule), il n'y a là que strict défense.

Après si vous êtes du genre a estimer que c'est celui qui déclenche l'attaque qui doit décider des normes du conflits, c'est que vous estimez, justement, que le plus fort doit gagner puisque vous ne laissez pas latitude au faible de se choisir d'autres moyens de défense.

Vous êtes pervers quand même.

La question de la "liberté" d'expression ne peut de toute manière se penser sans la question de la responsabilité de ses propos.

Qu'on puisse tout dire, bien évidemment, mais qu'on soit alors prêt à en supporter les conséquences, quelles qu'elles soient, sans venir chialer après.

Pareil pour la violance: libre à vous de l'utiliser, mais il ne faut pas chialer après.

Ne confondez pas violence et agressivité. Pour ce qui est de chialer, il est bien évident que ce que j'attends d'autrui je me l'applique à moi-même.

Un axiome est une chose tellement évidente qu'elle n'à nul besoin de preuves.

Vous rejetez l'évidence pour justifier votre point de vu.

Vous choisissez votre chemin pour essayer de prouver votre point de vu si fragile.

Non justement la métaphore de la jungle n'est pas fausse. C'est exactement ce que vous voulez. La force physique en agression à de l'importance, car c'est une violation des droits fondamentaux.

Donc si on suit votre explication farfelue du chois des armes, le Karatéka aura raison sur l'intéllo, celui qui à un colt aura raison contre le Karatéka, celui qui à une AK47 aura raison sur celui qui à un colt etc.

Puis que ce qui compte c'est la sécurité et de choisir la défense qui nous convient, autant dire que celui qui à raison est le plus armé. Dans la jungle c'est le lion le roi.

Celui qui à raison n'est pas celui qui déclenche l'attaque, mais celui qui à raison. Soit celui qui n'utilise pas l'arbitraire. Celon vous les libertés des autres s'arrêtent ou la votre commence. Pas bête jusque là, le problème c'est que vous vous attribuez des droits que vous n'avez pas. Le droit de contrôler la penser et l'expression des autres.

Pour en revenir au thème centrale, imaginons qu'une personne dise quelque chose de faux sur vous. vous vous nous dites que par ce que çà ne vous plaie pas, vous pourriez lui mettre un pain. Sauf que si c'est faux, cette personne aura l'aire ridicule et perdra de sa crédibilité, sauf si avant vous lui mettez ce fameux crocher, là c'est vous qui passerez pour un fou dangereux.

Surtout que par défense légitime il y à une réponse proportionner à une agression. Si à quelqu'un qui vous dénigre vous mettez une droite vous ne vous défendez pas, mais vous agressez.

je me refuse d'aller sur fessebouc, poster des conneries sur ma vie privée pour justement garder ma liberté d'expression et qu'on ne me ressorte pas des choses personnelles d'il y a 10 ans dont je ne voudrais plus parler.

Moi je trouve normal que la liberté d'expression exclue ou interdise les images volées par les paparazzis.

liberté d'expression et liberté d'opinion ont des nuances. La liberté d'opinion doit elle être totale.

La liberté d'expression ne devrait pas nuire lourdement la personne visée , calomniée ou trop ridiculisée.

en ne divulgant pas de chose sur votre vie vous êtes responsable, intelligent même. Les image volés, çà c'est tout un thème qui mériterait des livres entiers. Personnellement, si c'est vraie, pourquoi ne pourraient-ils pas publier ces images?

Nuire lourdement, les calomnies ou ridiculiser. C'est intéressant, mais que dire des comiques? avez vous vu le filme sur Larry Flint? il y à une partie ou il est en procès(il va jusqu'à la cours suprême). Un évêque(enfin un religieux) lui intente un procès car Larry à écrit que ce religieux avait forniquer avec sa mère dans les toilettes entre deux messes. L'argument des Avocats(devant la cours suprême) était que personne de sensé ne pouvait vraisemblablement croire en une tel ineptie. En vertue du second amendement de la constitution américain il à eu raison.

Tout çà pour dire que sur le principe oui mais dans la pratique les limites ne sont pas viables. Car çà dérive inévitablement. D'abord c'est sur le respect puis sur les groupes religieux puis sur je ne sais trop quoi. Résultat il n'y à plus de droit à l'opinion.

Quand vous dites représailles, j'imagine que vous dites physiques. Ceci est donc un viole de l'axiome de non violence qui est la base de la liberté.

C'est votre définition de la liberté et votre définition de la violence. Je n'y souscris pas.

J'estime pour ma part que la sécurité est une composante de la liberté et que celui qui nuit à la sécurité d'autrui que ce soit physiquement, verbalement ou moralement abdique tout droit à sa propre sécurité vis à vis de celui-ci qu'il a agressé.

En d'autres termes, si on m'attaque quelque soit les paramètres de cette attaque j'ai toute latitude de réponse sur tout mode que je considérerais susceptible de faire cesser ces agressions. La coercition physique est un moyen que je juge aussi légitime qu'un autre.

Tu plaisantes là ???

SM

Un homme de loi :

Je suis curieux de d'avoir votre avis.

Tu plaisantes là ???

SM

Un homme de loi :

Je suis curieux de d'avoir votre avis.

Super, un libertarien qui n'est pas au courant que la Loi n'est pas la morale mais qu'un moyen de maintenir une paix civile qui va dans le sens de l'homéostasie sociale donc des classes supérieures. Ce n'est pas pour rien que les droits de l'homme sacralise la propriété, celà va dans le sens de ceux qui détenaient alors le pouvoir, le bourgeois contre le gueux, et l'aristocrate. Rassurez vous, je préfère le pacte au contrat, la parole de confiance à la signature de défiance.

Sinon, Magis, non je ne plaisante pas. L'insulte, la rumeur et la manipulation sont des actes d'une violence qui n'est pas inférieur à la gifle où au poing qu'ils devraient récolter.

Il est trop facile au gens en situation de pouvoir, de diffusion médiatique ou disposant d'une belle verve d'humilier autrui quand les lois empêchent leur victime de répondre physiquement.

La liberté d'expression est l'une des premières choses à abolir dès l'instauration du communisme.

Car si tu peux t'arroger le droit de riposter à une atteinte que tu désignes comme telle..., qu'est-ce qui empêchera l'autre de faire de même à ton encontre, selon ses propres critères ?

Mon caractère sympathique soulignait par la politesse, la courtoisie et le savoir-vivre?

La coutume précède le droit Maggis, coutume dont la courtoisie et les usages font partie et qui ont pour objet de civiliser et lisser les rapports humains pour justement éviter la venue du heurt verbale et physique. Le barbare qui les ignore n'est plus protégé puisqu'il abdique en cédant à l'agression fut-elle verbale.

Permettez que je me cite mon cher Maggis

la Loi n'est pas la morale mais qu'un moyen de maintenir une paix civile qui va dans le sens de l'homéostasie sociale donc des classes supérieures.

Le besoin de centralisation et d'institutionnalisation de la coutume sert les intérêts du pouvoir central en appliquant les valeurs de la classe dirigeante à l'ensemble, éliminant les foyers d'autonomie, mettant en place une paix sociale allant dans le sens d'une homéostasie sociale qui permet aux classes dirigeantes de rester en place.

Dans le cas précis de l'Angleterre l'institutionnalisation est une centralisation, en éliminant les garants des sources locales de la coutume on rogne les ailes des contre-pouvoirs régionaux.

Et à qui sert, en priorité, la norme commune mon cher maggis? :)

Et pourquoi Constantin change-t-il de politique religieuse? La morale, mon cher maggis est utilitariste pour le groupe dirigeant: que l'on parle de morale religieuse ou de morale politique, celle-ci est avant tout un appui à la perpétuation du pouvoir.

Lucien Jerphagnon, pour ce qui est de la christianisation de l'empire romain le met particulièrement bien en exergue.

Dis-moi ! Es-tu anarchiste ?

Mmmm... Je l'ai été, disons.

"l’anarchiste n’est pas un ennemi de l’ordre ; c’est quelqu’un qui aime tellement l’ordre qu’il n’en supporte pas la caricature." ;)

"l’anarchiste n’est pas un ennemi de l’ordre ; c’est quelqu’un qui aime tellement l’ordre qu’il n’en supporte pas la caricature." ;)

l'anarchie c'est la plus haute expression de l'ordre.

Le grand Élisée Reclus.

"l’anarchiste n’est pas un ennemi de l’ordre ; c’est quelqu’un qui aime tellement l’ordre qu’il n’en supporte pas la caricature." ;)

Et cette caricature, c'est l'Etat... C'est ça ?

Ce n'est pas tant l'état qui n'est qu'une organisation sans volonté, que ceux qui le constituent et le font proliférer. Le pouvoir attire les corrompus, les ambitieux et les hypocrites comme la merde les mouches.

Quand aux vertueux qui, seuls, sauraient gouverner avec probité, ils n'ont pas suffisamment d'ambition ou de malhonnêteté pour arriver au pouvoir.

En conséquence, un état est voué à la corruption, l'hypocrisie et la propagande. On peut sans remords souhaiter sa destruction;

Maintenant, j'ai évolué. L'existence d'un état je peux l'entendre pour peu qu'il ait le moins de pouvoir possible et que la somme du droit soit la plus légère possible. Bref qu'il se fasse discret, très discret et lointain, très lointain.

"l’anarchiste n’est pas un ennemi de l’ordre ; c’est quelqu’un qui aime tellement l’ordre qu’il n’en supporte pas la caricature." ;)

l'anarchie c'est la plus haute expression de l'ordre.

Le grand Élisée Reclus.

Ils sont bien mignons vos paradoxes, mais dans les faits un anarchiste c'est un intellectuel excentrique qui s'ennuie ou un cas soc' qu'on arrive à pousser au terrorisme avec un peu de travail quand le contexte s'y prête.

L’État est apparu dans des cités de quelques milliers de citoyens dès l'antiquité et vous croyez que les populations actuelles peuvent s'en passer ?

Ce n'être pas très sérieux.

"l’anarchiste n’est pas un ennemi de l’ordre ; c’est quelqu’un qui aime tellement l’ordre qu’il n’en supporte pas la caricature." ;)

l'anarchie c'est la plus haute expression de l'ordre.

Le grand Élisée Reclus.

Ils sont bien mignons vos paradoxes, mais dans les faits un anarchiste c'est un intellectuel excentrique qui s'ennuie ou un cas soc' qu'on arrive à pousser au terrorisme avec un peu de travail quand le contexte s'y prête.

Vous avez ajouté le "excentrique" au moment ou je m'apprêtais à écrire que tous les intellectuels, quelque part, s'ennuient.

L'insatisfaction fonde et nourrit la réflexion. Rien de nouveau sous le soleil.

Tu plaisantes là ???

SM

Un homme de loi :

Je suis curieux de d'avoir votre avis.

Super, un libertarien qui n'est pas au courant que la Loi n'est pas la morale mais qu'un moyen de maintenir une paix civile qui va dans le sens de l'homéostasie sociale donc des classes supérieures. Ce n'est pas pour rien que les droits de l'homme sacralise la propriété, celà va dans le sens de ceux qui détenaient alors le pouvoir, le bourgeois contre le gueux, et l'aristocrate. Rassurez vous, je préfère le pacte au contrat, la parole de confiance à la signature de défiance.

Sinon, Magis, non je ne plaisante pas. L'insulte, la rumeur et la manipulation sont des actes d'une violence qui n'est pas inférieur à la gifle où au poing qu'ils devraient récolter.

Il est trop facile au gens en situation de pouvoir, de diffusion médiatique ou disposant d'une belle verve d'humilier autrui quand les lois empêchent leur victime de répondre physiquement.

La loi tend à devenir arbitraire et contrôle, çà je le sais.

Les droits de l'Homme posent la propriété non pas par hégémonie d'une classe dominante, mais par ce que la première propriété de chacun est: soi-même. a partir de se constat, tout se qui est fait par quelqu'un(en utilisant son capital humain) lui appartient. Voici le pourquoi de la propriété privé.

Beaucoup trop de subjectivité quant à ton appréciation des choses... Tu serais également "victime" de ta propre "norme", si ce dont tu parles devait s'appliquer... Car si tu peux t'arroger le droit de riposter à une atteinte que tu désignes comme telle..., qu'est-ce qui empêchera l'autre de faire de même à ton encontre, selon ses propres critères ?

SM

C'est ce que je lui disait

Et cette caricature, c'est l'Etat... C'est ça ?

SM

L'état est une chose paradoxale. D'un coté le rôle donné à l'état est d'éviter l'arbitraire. D'un autre coté l'état faisant loi pousse à l'arbitraire. Ce que j'appelle la dictature de la majorité.

Les droits de l'Homme posent la propriété non pas par hégémonie d'une classe dominante, mais par ce que la première propriété de chacun est: soi-même. a partir de se constat, tout se qui est fait par quelqu'un(en utilisant son capital humain) lui appartient. Voici le pourquoi de la propriété privé.

Non, vous interprétez dans le sens de vos présupposés et de la pensée libertarienne d'obédience protestante qui sacralise la possession matérielle.

Le soi-même c'est la "sureté" de l'article II, non la propriété, par ailleurs la coercition physique trouve sa légitimité dans l'item 4: "La résistance à l'oppression"

Le terme de propriété est une inclusion qui sert les intérêts des possédants financiers contre à la fois les gueux - en s'évitant la reprise par révolte et le vol - et à la fois les nobles et le clergé - en évitant la spoliation légale.

La question de la "liberté" d'expression ne peut de toute manière se penser sans la question de la responsabilité de ses propos.

Qu'on puisse tout dire, bien évidemment, mais qu'on soit alors prêt à en supporter les conséquences, quelles qu'elles soient, sans venir chialer après.

Exact.