C'est votre définition de la liberté et votre définition de la violence. Je n'y souscris pas.
J'estime pour ma part que la sécurité est une composante de la liberté et que celui qui nuit à la sécurité d'autrui que ce soit physiquement, verbalement ou moralement abdique tout droit à sa propre sécurité vis à vis de celui-ci qu'il a agressé.
En d'autres termes, si on m'attaque quelque soit les paramètres de cette attaque j'ai toute latitude de réponse sur tout mode que je considérerais susceptible de faire cesser ces agressions. La coercition physique est un moyen que je juge aussi légitime qu'un autre.
Savez vous ce que veux axiome? c'est un principe, une évidence.
Vous êtes donc un partisan de la loi de la jungle, le roi lion rugit il donne des coups de griffes et il commende. Vision primitive.
Si vous devenez agresseur vous devrez en subir les conséquences(en prendre plein la tête à coup de chaînes de vélos) Typique des tolards ou ex tolards.
Un axiome est, surtout, une vérité qui doit être admise pour le déroulé des démonstrations qui suivent.
Je ne l'admet pas et vous ne pouvez ni démontrer sa véracité ni me l'imposer. Vous choisissez votre paradigme moi le mien; ne vous attendez pas que, dans une opposition votre adversaire choisisse le chemin qui vous convient.
Quand a votre métaphore du lion elle est ridicule. Tous est conflit de pouvoir, que ce conflit est pour média, l'argent, la verve, l'intelligence, la force physique n'a aucune importance, quelqu'un qui déclenche un conflit le fait dans le secteur où il est le plus puissant, si le défenseur bascule sur un secteur ou lui, est meilleur, ( pour notre exemple, en passant de l'attaque verbale au poing dans la gueule), il n'y a là que strict défense.
Après si vous êtes du genre a estimer que c'est celui qui déclenche l'attaque qui doit décider des normes du conflits, c'est que vous estimez, justement, que le plus fort doit gagner puisque vous ne laissez pas latitude au faible de se choisir d'autres moyens de défense.
Vous êtes pervers quand même.
La question de la "liberté" d'expression ne peut de toute manière se penser sans la question de la responsabilité de ses propos.
Qu'on puisse tout dire, bien évidemment, mais qu'on soit alors prêt à en supporter les conséquences, quelles qu'elles soient, sans venir chialer après.
Pareil pour la violance: libre à vous de l'utiliser, mais il ne faut pas chialer après.
Ne confondez pas violence et agressivité. Pour ce qui est de chialer, il est bien évident que ce que j'attends d'autrui je me l'applique à moi-même.
Un axiome est une chose tellement évidente qu'elle n'à nul besoin de preuves.
Vous rejetez l'évidence pour justifier votre point de vu.
Vous choisissez votre chemin pour essayer de prouver votre point de vu si fragile.
Non justement la métaphore de la jungle n'est pas fausse. C'est exactement ce que vous voulez. La force physique en agression à de l'importance, car c'est une violation des droits fondamentaux.
Donc si on suit votre explication farfelue du chois des armes, le Karatéka aura raison sur l'intéllo, celui qui à un colt aura raison contre le Karatéka, celui qui à une AK47 aura raison sur celui qui à un colt etc.
Puis que ce qui compte c'est la sécurité et de choisir la défense qui nous convient, autant dire que celui qui à raison est le plus armé. Dans la jungle c'est le lion le roi.
Celui qui à raison n'est pas celui qui déclenche l'attaque, mais celui qui à raison. Soit celui qui n'utilise pas l'arbitraire. Celon vous les libertés des autres s'arrêtent ou la votre commence. Pas bête jusque là, le problème c'est que vous vous attribuez des droits que vous n'avez pas. Le droit de contrôler la penser et l'expression des autres.
Pour en revenir au thème centrale, imaginons qu'une personne dise quelque chose de faux sur vous. vous vous nous dites que par ce que çà ne vous plaie pas, vous pourriez lui mettre un pain. Sauf que si c'est faux, cette personne aura l'aire ridicule et perdra de sa crédibilité, sauf si avant vous lui mettez ce fameux crocher, là c'est vous qui passerez pour un fou dangereux.
Surtout que par défense légitime il y à une réponse proportionner à une agression. Si à quelqu'un qui vous dénigre vous mettez une droite vous ne vous défendez pas, mais vous agressez.
je me refuse d'aller sur fessebouc, poster des conneries sur ma vie privée pour justement garder ma liberté d'expression et qu'on ne me ressorte pas des choses personnelles d'il y a 10 ans dont je ne voudrais plus parler.
Moi je trouve normal que la liberté d'expression exclue ou interdise les images volées par les paparazzis.
liberté d'expression et liberté d'opinion ont des nuances. La liberté d'opinion doit elle être totale.
La liberté d'expression ne devrait pas nuire lourdement la personne visée , calomniée ou trop ridiculisée.
en ne divulgant pas de chose sur votre vie vous êtes responsable, intelligent même. Les image volés, çà c'est tout un thème qui mériterait des livres entiers. Personnellement, si c'est vraie, pourquoi ne pourraient-ils pas publier ces images?
Nuire lourdement, les calomnies ou ridiculiser. C'est intéressant, mais que dire des comiques? avez vous vu le filme sur Larry Flint? il y à une partie ou il est en procès(il va jusqu'à la cours suprême). Un évêque(enfin un religieux) lui intente un procès car Larry à écrit que ce religieux avait forniquer avec sa mère dans les toilettes entre deux messes. L'argument des Avocats(devant la cours suprême) était que personne de sensé ne pouvait vraisemblablement croire en une tel ineptie. En vertue du second amendement de la constitution américain il à eu raison.
Tout çà pour dire que sur le principe oui mais dans la pratique les limites ne sont pas viables. Car çà dérive inévitablement. D'abord c'est sur le respect puis sur les groupes religieux puis sur je ne sais trop quoi. Résultat il n'y à plus de droit à l'opinion.