:

Les seuls nationalistes qui étaient laïques sont les Kabyles comme Abane Ramdane ou Ferhat Abbas.

Ben Bella était musulman et fanatiquement arabe et a reconnu que

sans l'islam, le FLN n'aurait jamais gagné.

Boumédiène a fait ses études à l'inuversité religieuse d'Al Azhar, celle que Taha Hussein voulait prendre

comme la Bastille.

Et ce sont eux qui ont choisi malgré les pieds-rouges qui leur suggéraient

de choisir la laïcité ont fait de l'islam la religion de l'état avec arabisation et islamisation en supplément.

C'est ça, et puis ils ont mis en place la chariah aussi et à peine les français partis on a eu droit à de belles lapidations en places publiques ainsi qu'un renouveau de la mode de la burka...

Les Algériennes, même ceux qui ont participé au combat contre l'affreux colonialisme français, ont été invitées

à retourner à la cuisine.

Les féministes algériennes ont aussi fait leurs valises pour Paris. Elles sont toutes ici comme hexagone.

Entre le voile à l’algérienne et la burqua, je ne vois pas de différences.

Le code de la famille est d'inspiration chariesque.

La polygynie est halal.

Les crimes d'honneur persistent.

On force des filles très jeunes à se marier.

Où est le progrès ?

Les féministes algériennes ont aussi fait leurs valises pour Paris. Elles sont toutes ici comme hexagone.

Evite ce genre d'affirmation mensongère.

Les mensonges c'est plutôt ta spécialité, pas la mienne.

Je peux donner des références.

ypCyECzqZqo

Les mensonges c'est plutôt ta spécialité, pas la mienne.

Je peux donner des références.

Non, toi c'est plutôt les récits pédophiles ou de massacre, hein.

Sors tes références, je me ferai un plaisir de les corriger et de me payer ta pomme.

Non, toi c'est plutôt les récits pédophiles ou de massacre, hein.

Sors tes références, je me ferai un plaisir de les corriger et de me payer ta pomme.

:

J'avais raté ce sujet .

Je ne comprends pas pourquoi on n'apprend pas la véritable histoire à nos jeunes . Au lieu du mythe du méchant colonisateur dont le peuple héroïque d'une Algérie éternelle se serait débarrassé . Je suis définitivement fâchée avec les "donneurs de leçons" qui n'acceptent pas que je témoigne d'un père et d'oncles irrémédiablement détruits par leur expérience de jeunes appelés du contingent . Eux qui n'ont pas choisi leur rôle sont devenus ,par un de ces miracles des idéologies à la mode , des salauds et des racistes . Aujourd'hui , remettre en cause les choix de nos ainés qui ont permis que l'Algérie s’amarre à la France pour profiter de ses largesses , c'est être un fasciste et un déchet de l'humanité . Pourtant , chaque jour ,il se passe quelque chose qui nous dit qu'il aurait fallu ne jamais laisser la porte ouverte à ceux qui ne voulaient plus de la France .

Non, toi c'est plutôt les récits pédophiles ou de massacre, hein.

Sors tes références, je me ferai un plaisir de les corriger et de me payer ta pomme.

:

Sors tes références, allez.

la chanson ne t'a pas émue ?

Elles se plaignent en arabe et en français de la maudite charia qui fait d'elles des mineures à vie.

Voir ici

Tu les sors tes références montrant que je suis un algérien ?

Je n'ai jamais dit que tu es un algérien, j'ai toujours pensé que tu un français de souche.

Ce que je ne comprend pas, c'est ta réaction.

Les féministes algériennes ont aussi fait leurs valises pour Paris. Elles sont toutes ici comme hexagone.

Evite ce genre d'affirmation mensongère.

Je n'ai jamais dit que tu es un algérien, j'ai toujours pensé que tu un français de souche.

Ce que je ne comprend pas, c'est ta réaction.

Les féministes algériennes ont aussi fait leurs valises pour Paris. Elles sont toutes ici comme hexagone.

Evite ce genre d'affirmation mensongère.

Je peux savoir pourquoi tu m'associes aux algériens réfugiés à Paris ?

Je te fais mes excuses, tu n'as aucun rapport ni avec l'Algérie ni avec l'islam.

J'ai dû,te confondre avec Coprésident.

Les féministes algériennes ont aussi fait leurs valises pour Paris. Elles sont toutes ici comme hexagone.

Evite ce genre d'affirmation mensongère.

en tous cas....

en 97,c'etait un delice de voir des femmes venir nous voir au bar de l'hotel pour qu'on leur obtienne un visa avec comme statut "refugié politique".

c'etait des feministes-socialistes-anticolonialiste...demander de l'aide à quelques expat français capitaliste pour avoir un visa francais.

c'etait jubilatoire...

Intéressants, ces échanges sur la guerre d'Algérie. Ils m'ont édifié. Le temps passe les clichés restent !

Pour Georges.

1er Congrès dU FLN des 16-21 avril 1964 .Charte d'Alger

Première partie Pour une Révolution Socialiste

Chapitre 1 Le mouvement national jusqu'en 1954..... Le développement du mvt de libération ne s'est pas accompli en vase clos. Les doctrines de rénovation musulmanes de Djamal Eddine El Afghani et de cheikh, les idées panarabes de Chekib Arslan et les idées socialistes ont eu des répercussion en Algérie. Ces courants de pensée de même que les luttes pour la liberté...etc...

Chapitre 3 Fondement idéologique de la Révolution Algérienne

30 -....il faut veiller à et son application en Algérie comme arme devant permettre aux militants ce que l'élaboration et la diffusion de nos idées socialistes soient développées sous toutes les formes possibles.

31- il faut avant tout imprégner la vie nationale des idées forces qui constituent les piliers de notre option socialiste.....

32- il faut qu'au niveau de toute l'activité intellectuelle du pays, le contenu du socialisme soit popularisé de façon à modeler définitivement notre mentalité....

33- Il faut qu'au niveau de l'encadrement politique du pays, une importance primordiale soit attachée à l'étude approfondie et institutionnalisée du socialisme et son application en Algérie comme arme devant permettre aux militants de mener à bien la lutte révolutionnaire à travers laquelle émergera notre société Socialiste.

Edit. Désolé! j'aurais dû faire un copié collé sur un lien que je ne connaissais pas : http://www.el-mouradia.dz/francais/symb ... 'alger.htm

??? quel liste des morts les femmes et les vieux regardaient ? y avait dejà à 13 h la liste des morts du 26 mars....

la section du 4rt à l'angle de michelet/isly ???...impossible la rue michelet s'arrete au niveau de l'immeuble avec le fameux escalier en colimaçons en face de l'université.

de l'universté jusqu'a la grande poste...la rue s'appelle charles peguy...

je pense que la section etait à l'angle de la rue d'isly et du bd laferriere...juste en face des escalier de la grande poste.ceux qui permet "d'arroser" avec un angle de tir qui va des escalier de la grande post aux magazin de la rue d'isly...

bon d'apres google eath les escalier de la grande post sont bien sur le coté ouest de la facade de la grande post,la rue d'isly remonte vers le nord et vers la casbah.

la face Est de la GP est face à la mer...

par contre évidement je me suis trompé sur le nom de l'hotel,c'est pas pierre 1er...c'est l'hotel albert 1er...milles excuses

en fait je pense que c'est la meme chose dont ont parle...

evidement y apas de presidence en 62...c'est le batiment Gouvernement General que je parle

idem pour le jardin de l'horloge...c'est le jardin ou il y avait le monuments aux morts de 14/18(en 62)maintenant en bas du jardin il y a le metro

d'accord avec toi...l'axe du feu fut grande poste/isly.

par contre le lieut du 4 rt est formel...des coups de feu sont partis du 4/5 etage d'un batiment qui se trouvait à l'angle de la rue leluch(bd bougeau)au niveau de la rue de chanzy vers les hommes du rt...apres barbouzes ou oas ? dans 50 ans on saura...

J'avais 12 ans en mars 62, alors le nom des rues !!!! Et les nouvelles appellations post indépendance !!!

Pour moi le nord c'était la mer.

Les officiers du 4 RT ont été en dessous de tout :

- soit ils avaient ordre de tirer et ne l'ont pas dit ;

- soit ils ont été débordés.

Mais le Bd Bugeaud (ne pas confondre avec la place du même nom) et non "bougeau" est parallèle à la rue D'Isly.

a) Pourquoi les victimes ont été abattues sur les escaliers de la GP et rue D'Isly ?

b) Où est exactement la rue de chanzy ?

http://www.histoire-en-questions.fr/gue ... prise.html

http://algeroisementvotre.free.fr/site0 ... s2602.html

Ce qui est certain c'est que ni les enquêtes officielles, ni celle de l'OAS (avec des camarades de classe j'ai été rechercher des impacts sur les façades rue michelet : nada !).

La thèse barbouze n'a pu être prouvée, aucun témoignage dans ce sens des habitants des immeubles.

Si la fenêtre avait été localisée, les occupants de l'appartement devaient être connus.

Plan d'Alger en 61 :

http://orgue.algerie.free.fr/plan%20alger.htm

et la rue de chanzy !

http://www.alger26mars1962.fr/alger/ind ... Itemid=163

vers la rue d'Isly l'angle de tir était étroit.

En Algérie, les indigènes juifs ont eu la citoyenneté française, dès 1870, par le décret Crémieux

mais des indigènes musulmans comme Ferhat Abbas devait faire la démarche de la réclamer et d'abandonner le code de statut islamique qui, à titre dérogatoire, permettait la polygynie,

le battage des femmes, le mariage avec une fille mineure...etc.

Ferhat Abbas militait pour que cesse cet apartheid mais en Algérie, les Ben Badis, les Ibrahimi

disaient que le peuple algérien était musulman et arabe, et que pour eux, les pieds-noirs n'existaient pas.

Messali Hadj qui était un ancien communiste s'est rallié à la thse de l'Algérie arabo-islamique.

Et le FLN, dès 1954, malgré son habillage pseudo-socialiste, même s'il a fait croire que dans l'Algérie indépendante les juifs et les chrétiens

auraient leur place dans l"Algérie indépendante, s'est islamisé au point de couper le nez du musulman

fumeur ou buveur.

Avec le choix d'une constitution où l'islam est religion d'état et l'arabe langue nationale

et officielle, même les pieds-rouges comme Henri Alleg, Hervé Bourges,

Jacques Vergès et les algériens évolués ont fait leurs valises.

Extrait de : http://guy.perville.free.fr/spip/articl ... article=44

« A propos de mon livre Pour une histoire de la guerre d’Algérie (2002)

Entretien de Jacques Cantier avec Guy Pervillé

lundi 1er août 2005.

J. C. : L’histoire de la guerre d’Algérie est sans doute nécessaire, mais est-elle possible aujourd’hui ?

G. P. : Tout mon livre (et c’est le sens de son titre) vise à le démontrer par l’exemple. Les objections formulées contre cette possibilité sont les mêmes qui ont longtemps été opposées à l’histoire dite « immédiate » : le manque de sources, le manque de recul historique, et l’absence de la sérénité nécessaire au jugement de l’historien. Or, chacune de ces objections a déjà perdu la plus grande partie de sa pertinence. L’exhaustivité des sources du travail historique est un idéal élevé, mais irréaliste, car les sources ne sont jamais toutes disponibles en même temps : étant donné les délais de libre accès aux archives publiques fixés par la loi de 1979, quand tous les documents seront accessibles, tous les témoins seront morts ! Mais la très grande majorité des documents, qui relèvent du délai général de trente ans, sont dès maintenant consultables, et le principal obstacle est le manque de chercheurs plus que celui de sources. Quant au recul historique, il nous vient peu à peu, et les conséquences à moyen terme de la guerre d’Algérie apparaissent assez clairement quarante ans plus tard. Enfin, le dépassionnement de l’histoire ne se produit pas automatiquement en fonction du temps écoulé, comme l’ont prouvé les polémiques autour du bicentenaire de la Révolution de 1789 et des massacres de Vendée . Au contraire, la rechute de l’Algérie dans la violence depuis dix ans n’a fait que raviver l’actualité des enjeux de mémoire de la précédente guerre d’Algérie. Pourtant, l’appel aux historiens se fait entendre de plus en plus souvent, et à juste titre, car ce sont leurs recherches et leur enseignement qui produisent l’historicisation du passé, si les pouvoirs publics le leur permettent.

J’ajouterai que ce qui paraît impossible à ceux qui ont vécu cette guerre en tant qu’hommes et que citoyens responsables ne l’est pas forcément pour d’autres. Pour ma part, j’ai eu dix ans en juin 1958, et la fin de la guerre d’Algérie a été contemporaine de ma prise de conscience du monde, sans que j’aie eu à en souffrir ni personnellement ni familialement. C’est pourquoi, ayant assisté en lointain spectateur au revirement de la politique algérienne du général de Gaulle, je l’ai considérée immédiatement comme une énigme historique, bien avant d’en découvrir les enjeux politiques et moraux. Et c’est aussi pourquoi je regrette que trop souvent les jeunes qui sont nés après 1962 se croient obligés d’adopter le point de vue de leurs aînés et de prendre parti rétrospectivement.

J. C. : Peut-on dire que la France ait eu une politique algérienne cohérente, ou même qu’elle ait eu une politique algérienne avant 1954 ?

G. P. : La France n’avait aucune politique algérienne en 1830, quand le gouvernement de Charles X s’est lancé dans l’aventure de la prise d’Alger pour des raisons de pure politique intérieure, mais elle en a improvisé une dans un délai relativement bref de dix ans : la décision prise en 1840 de conquérir toute l’Algérie au lieu de l ‘abandonner au pouvoir de l’émir Abd-el-Kader impliquait en effet celle de coloniser le pays pour consolider la conquête et pour lui donner un but en faisant de l’Algérie une nouvelle province française. Cette politique aurait été cohérente, donc efficace, si la France avait eu les moyens démographiques de peupler l’Algérie, de façon à submerger les « indigènes » sous le nombre des Français. Or, contrairement au rêve des « colonistes », il est apparu très tôt, dès la fin des années 1850, que la population française n’avait plus d’excédents démographiques à cause de la chute précoce de sa fécondité. Dès lors, il était prévisible que l’Algérie resterait un pays dans sa très grande majorité arabo-berbère . Le problème est d’expliquer pourquoi les responsables politiques n’ont pas su prendre conscience et tirer les conséquences de l’irréalisme de la politique de colonisation et d’assimilation, qui resta pendant un siècle un dogme national et républicain. Dans la conclusion de mon premier chapitre, je discute les explications unilatérales de cette étonnante incapacité à réviser une politique manifestement erronée. »

Cette politique aurait été cohérente, donc efficace, si la France avait eu les moyens démographiques de peupler l’Algérie, de façon à submerger les « indigènes » sous le nombre des Français

Franciser les indigènes islamiques comme ça a été fait pour les indigènes juifs, dès 1870,

était mission impossible puisque les valeurs de démocratie, de laïcité et d'égalité des sexes ne figurent pas dans le Saint Coran, le livre sacré des musulmans.