... je m'explique, le sol, avant les déboisements massifs, ne recevait pas le rayonnement direct du soleil, sa température était différente (...) c'est idem pour le sol de la planète, qui jadis était protégé des arbres, des plantes, des petites mousses, il maintenant a nu au soleil en train de sécher, favorisant l'évaporation de son eau, et les échanges thermiques entres air froid et air chaud avec une augmentation des températures de l'air, du a l'effet de radiance des sols, qui comme un radiateur dégagent de la chaleur sous l'effet du rayonnement direct du soleil, là ou jadis, il n'était pas ou peu touché par le rayonnement direct du soleil, la canopée des arbres servant d'ombrelle au sol.... je t'explique mécanisme des flux de l'air, des masses d'air, plus thermodynamique de l'air, de l'atmosphère, avec comme cause de départ, entre autre, les déboisement massif sur des milliards d'hectares de part le monde, le réchauffement des sols, leurs radiances, le réchauffement ou refroidissement des basses couches de l'air à cause des arbres qui manquent.
Et c'est reparti !
Je répète : Si un sol est nu, le soleil le chauffe et l'eau du sol s'évapore. Si un sol est boisé, c'est l'arbre qui se réchauffe et pour se refroidir, il transpire des 200-300 litres d'eau par jour venant du sol. S'il ne pleut pas, l'arbre meurt de dessèchement. Si vous avez une sensation de fraîcheur à l'ombre d'un arbre, c'est parce que votre peau est à l'ombre au lieu de prendre des coups de soleil ! Vous ne raisonnez qu'en termes de chaleur sensible et vous négligez totalement la chaleur latente. Et "radiance" n'a pas le sens que vous lui prêtez (cf. "irradiance", http://fr.wikipedia.org/wiki/Irradiance).
Met un bout de tôle au soleil, le même bout de tôle a l'ombre de grands arbres, ensuite, à 12 heures essaye de prendre les deux bouts de tôles, l'un te brulera, l'autre, il sera frais.
Le sol, logiquement, sauf en milieu désertique, reste des incompétences humaines, berceaux des civilisations, erreurs primitives, est toujours frais, la température de la canopée ne sera jamais la température du sol au soleil, dans l'atmosphère, la troposphère a des couches, les basses couches son obligés a cause du sol chaud a une élévation plus rapide, vers les couches supérieurs, l'été, les vitesses d'élévations sont plus importante, surtout quand les masses d'air ne bénéficie pas d'un vent assez fort pour brasser le tout ....
Pour la transpiration des arbres, en cas de déboisement, le phénomène disparait, radicalement, l'air s'allège car évaporation c'est arrêter, du moins pour celle des arbres, ce sont les sols qui "transpirent" leur eau, le matin, alourdissant l'air, freinant les flux verticaux qui servent au refroidissement, par contre, en début d'après midi, l'air est sans eau ou presque, sec, léger, montant rapidement ... les principes changent entre un lieu boisé et un lieu a nue, ou avec une culture sèche comme le blé, la transpiration des arbres disparait, les sols s'assèchent, modifiant les teneurs en eau de l'air, modifiant les flux ascendants, descendants, les oscillations des masses d'airs, la pression atmosphérique ...
Pour exemple, sans commune mesure avec une réalité mesurée, le volume en eau d'une foret européenne, théorique, sol compris, est forcément radicalement différent du même volume d'un lieu déboisé ou se trouve un champ, plus d'arbres, un volume d'eau en moins, plus de biodiversité, un volume d'eau en moins, une culture sèche un volume d'eau en plus, un sol plus sec, un volume d'eau en moins ... conclusion, trois volume important d'eau en moins pour un volume d'eau en plus plus petit ... transpiration inférieures = air plus léger = air plus chaud à cause du sol qui chauffe = flux ascendant plus rapide = déplacement des masses d'airs plus rapides = intempéries et dérèglements climatiques (en fonction de la surface modifiée).
La causalité des événements liés les uns aux autres, et leurs effets sur les mécanismes naturels, principalement de l'eau et de l'air.