Autrement, quelques infos supplémentaires : le PRCF se réclame du marxisme-leninisme, a été créé en 2004 et est issu du PCF (ce qui ne veut pas dire que tous les membres sont des anciens du PCF, je n'y ai jamais mis les pieds personnellement).

Autre organisation que vous n'avez pas mis, l'URCF (Union des Révolutionnaires Communistes de France).

Son site :

http://www.urcf.net/uniondesrevolutionnairescommunistesdefrance.htm

Dirigeant :

Jean-Luc Sallé (Secrétaire général)

Tendance :

Marxiste-leniniste

Date de création :

1991, issu du PCF

Son logo :

Bah, je préfère le fouriero-blanquisme... Marx reste et demeure le ténia du socialisme... même si tout n'est pas à rejeter. Mais je le mets dans le même sac que le Comte de Saint-Simon, prophète d'un "nouveau christianisme" prétendument socialiste.

Hum... Peux-tu citer la phrase sur le ténia en entier ?

Je ne l'ai pas retrouvée dans mes archives. Voilà dans google...

« Marx est le ténia du socialisme. » (P-J. Proudhon, Carnets, 1847)

J'aime bien St Simon. Il devrait t'interesser puisque il envisageait la construction de l'Europe dans une optique industrialiste.

Je sais, c'est le seul point que j'apprécie chez lui. La communauté des femmes dans un phalanstère, c'est plus sympa

Le seul qui est dépassé, c'est vous mon pauvre ami. Allez donc vous coucher, vous en serez plus utile à la société !

Comment pouvez-vous encore trouver assez d'arguments et de volonté pour continuer à défendre une théorie aussi abjecte et superflue que la théorie communiste ?

Vous devriez vous recycler en socialiste, comme tous les autres. Ça passe mieux en France.

Comment pouvez-vous encore trouver assez d'arguments et de volonté pour continuer à défendre une théorie aussi abjecte et superflue que la théorie communiste ?

Le communisme a toujours prouvé qu'il était le moins mauvais, sinon le meilleur des systèmes. :

J'ai l'article "juifs" devant les yeux et le mot sur Marx n'en fait pas partie !

Le communisme a toujours prouvé qu'il était le moins mauvais, sinon le meilleur des systèmes. :

Où ça ? Dans les Goulags ? Ou sûrement en Roumanie sous Ceauşescu ? Ou peut-être dans la misère cubaine ? Non, désolé, je ne vois pas...

Où ça ? Dans les Goulags ? Ou sûrement en Roumanie sous Ceauþescu ? Ou peut-être dans la misère cubaine ? Non, désolé, je ne vois pas...

Nos glorieux ainés communistes ont toujours pris le pouvoir dans des pays arriérés (Russie, Chine, Cuba,......) et leurs ont permis de réaliser des progrés phénoménaux tant au niveau technologique qu'humain.

Prennons l'exemple de la Russie-URSS pour illustrer mes affirmations. Quelles étaient les grandes caractéristiques de la Russie tsariste post-soviétique ? Un pays où il y avait en effet du luxe pour la famille du tsar et les quelques parasites qui gravitaient autour qui se goinfraient en volant le pain du peuple soviétique. Mais en revanche, le peuple faute de pain se nourrissait de cailloux. Que s'est-il passé suite à la prise de pouvoir communiste ? Le peuple, en plus de sortir de l'obscurantisme le plus complet, a enfin vu sa qualité de vie s'améliorer. Ainsi, l'espérance de vie était d'environ 30 ans sous le tsar Nicolas II (surnommé le sanguinaire par les ouvriers et les paysans) c'est à dire environ 25 ans de moins qu'en France à la même époque et elle est passée à 63 ans en 1953 à la mort de Staline, c'est à dire presque autant qu'en France à la même époque (ces chiffres sur l'évolution de l'espérance de vie pourront vous être confirmés par n'importe quel livre de démographie). Progrès grandiose, surtout si on garde à l'esprit que durant cette période, l'URSS a essuyé deux famines et deux guerres (guerre civile avec agression de 14 puissances impérialistes au début des années 20, second conflit mondial) dont une qui fut sans aucun doute la plus dure que n'a jamais eu à affronter un peuple au cours de l'histoire de l'humanité.

Il est évident que les différents dirigeants communistes ont chacun fait des erreurs, largement contrebalançées par des grandes réussites notamment pour Staline qui est celui qui a réalisé le plus d'actes grandioses et héroiques. Mais la nouvelle génération de bolcheviks aura bien entendu appris de celles-ci et saura comment les éviter dans le futur.

N'oubliez pas que l'application du communisme n'existe que depuis un siècle alors que l'exploitation capitaliste existe depuis plusieurs siècles au moins. Ce système a donc pu s'améliorer (très légèrement) avec le temps mais le début de l'existence du capitalisme a été marqué par d'innombrables massacres, par exemple l'extermination des indiens ou la traite des noirs. Car la conquête hyperviolente des Amériques et la traite des noirs, les deux premiers massacres capitalistes d'une malheureusement longue série en cours, sont justement directement liés au système capitaliste. Ces crimes sont la conséquence nécessaire de la transition de la féodalité vers le capitalisme. En effet, pour entrer dans l'économie marchande à partir du 16ème siècle, il fallait que l'économie européenne, très peu productive, amasse des marchandises sur lesquelles baser son commerce par l'exploitation des peuples des autres continents. Payer les amérindiens pour leur or, leur argent, le coton, la canne........afin de les inciter librement (comme dans le beau monde libéral) à travailler d'arrache-pied et passer de l'autosubsistance au commerce était impossible. Pour l'Europe, il était beaucoup plus facile de payer grassement quelques planteurs que des millions de travailleurs.

Mais sans remonter à des époques aussi lointaines, force est de constater que malgré son imperfection du fait de son manque de pratique, le communisme reste le moins mauvais des systèmes. Sans parler des crimes capitalistes bien connus qui dépassent de loin en nombre ceux du communisme (crimes coloniaux, massacres de camarades en Grèce, Indonésie, Congo-Zaire, Pakistan, Chili, Vietnam du Sud pour les empêcher d'accéder au pouvoir,.........), notons que plusieurs millions de décés par an pourraient être évités si l'ensemble des pays du "sud" sous domination capitaliste adoptaient un système de type socialiste.

Les pays sous domination capitaliste laissent en effet crever plus de gens avec plus de thunes que leurs rivaux rouges. Par exemple Cuba, qui a pourtant l'un des PIB les plus faibles d'Amérique latine, a l'une des espérances de vie la plus importante du continent, de 8 ans supérieure à celle du Brésil. Autre cas qu'on peut évoquer, celui du Kerala. Il se trouve que cet Etat indien n'est pas plus riche que les autres. Pourtant, il a une espérance de vie de 10 ans supérieure à l'espérance de vie moyenne dans l'ensemble du pays. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'il est administré par des communistes. Le capitalisme se révèle incapable de satisfaire les besoins élémentaires des peuples. Ce système qui est qualifié par certains menteurs professionnels de miraculeux laisse en réalité des millions de gens dans le fossé (dans la fosse commune devrai-je dire).

Dans tous les cas, cette rapide démonstration permet de réfuter le plus grand mensonge capitaliste connu qui consiste à dire : pas de progrès social sans progrès économique. Réfutation car avec un revenu par habitant 2.5 fois moins élevé que celui des brésiliens, les cubains ont 8 ans d'espérance de vie en plus et sont plus alphabétisés. Les brésiliens et leur président trotskiste-altermondialiste Lula, qui aime à faire tirer sur les paysans sans terres pour protéger les gros propriétaires terriens, peuvent donc tout à fait accroitre leurs progrès humains avec une croissance économique nulle par rapport au niveau actuel.

"Si vous voulez du progrès social, il faut d'abord de la croissance économique", "Pour avoir du social, attendez la croissance" : ce mensonge coute la vie de plusieurs millions de personnes par an dans le monde.

Je ne m'attarderai pas plus longtemps sur cette question de la surmortalité capitaliste mondiale mais sachez qu'un camarade a réalisé une étude détaillée fort interessante la concernant. La voici :

http://marxisme.alloforum.com/sujet-3911-0-83087-0-0-11-325938-1.html

L'URSS et les communistes soviétiques, sans qui il n'y aurait eu personne pour s'opposer à la première guerre mondiale inter-impérialiste et pour vaincre la vermine fasciste allemande 30 ans plus tard, nous manquent à tous même aux capitalistes. Le capitalisme n'avait en effet jamais aussi bien fonctionné que sous la presion concurrentielle du communisme.

A plus forte raison, la destruction de la grande URSS a été une gigantesque catastrophe pour les prolétaires de tous les pays. Dans un moment d'inattention, même les experts de l'ONU (Organisation Non Utile) reconnaissent l'effet bienfaiteur du socialisme : "A l'époque de la guerre froide, la menace du communisme représentait pour les régimes non communistes un incitant important à améliorer la situation des pauvres. Les gouvernements de l'Indonésie, de la Corée du Sud, de la Malaisie et de la Thailande améliorèrent le sort des démunis afin de prévenir les troubles sociaux et les révoltes."

Comme l'a dit Adam Smith, le socialisme met les gouvernements dans une position telle que "pour vivre, ils sont obligés d'être oppresseurs et tyranniques".

Telle est la seule évolution possible d'un monde qui tendrait vers le socialisme.

Heureusement, dans le monde, c'est la tendance inverse qui se dessine. Seule la France pense encore pouvoir faire un pieds de nez à l'histoire et aux autres nations, avec sa forme de socialisme utopique, invraisemblable et autodestructrice.

Une chance pour nous, le sentiment de liberté est trop important aux yeux de notre peuple pour qu'il se jette à corps perdu dans le communisme ou le nazisme (deux formes similaires dans le fond).

L'accomplissement individuel prendra de plus en plus le pas sur l'oppression planiste, pour la bonne raison que l'on peut tromper une personne une fois, on peut tromper mille personnes une fois, mais on ne peut pas tromper mille personnes mille fois.

Comme l'a dit Adam Smith, le socialisme met les gouvernements dans une position telle que "pour vivre, ils sont obligés d'être oppresseurs et tyranniques".

Smith, précursseur du système le plus barbare de l'histoire de l'humanité comme je l'ai prouvé dans mon message précédent auquel vous n'avez, au final,rien trouvé à répondre. :

Heureusement, dans le monde, c'est la tendance inverse qui se dessine. Seule la France pense encore pouvoir faire un pieds de nez à l'histoire et aux autres nations, avec sa forme de socialisme utopique, invraisemblable et autodestructrice.

Vous ne suivez pas trop l'actualité alors : personne dans le Monde ne veut de votre capitalisme-liberalisme imposé par les totalitaires de l'OMC et les multinationales.

Une chance pour nous, le sentiment de liberté est trop important aux yeux de notre peuple pour qu'il se jette à corps perdu dans le communisme ou le nazisme (deux formes similaires dans le fond).

Dans le fond, le nazisme n'est rien d'autre qu'une forme de capitalisme qui avait pour but de liquider le bolchevisme. Dans le fond bien entendu.

L'accomplissement individuel prendra de plus en plus le pas sur l'oppression planiste, pour la bonne raison que l'on peut tromper une personne une fois, on peut tromper mille personnes une fois, mais on ne peut pas tromper mille personnes mille fois.

Avec des irresponsables comme vous qui pronent l'accomplissement individuel, on peut être certain que la planète sera une immense décharge d'ici moins d'un siècle. Mais j'ai confiance dans les peuples qui sauront réagir à temps.

Franchement, vous auriez du vous abstenir d'écrire ce message vide de toute analyse qui fait pale figure à coté de mon brillant argumentaire.

Smith, précursseur du système le plus barbare de l'histoire de l'humanité comme je l'ai prouvé dans mon message précédent auquel vous n'avez, au final,rien trouvé à répondre. :

Rien ne prouve dans votre message que le libéralisme est barbare.

Vous parlez de l'esclavage comme conséquence du libéralisme, chose totalement absurde étant donné que cette doctrine est basée sur la liberté.

Inutile de continuer avec votre argumentation, entièrement basée sur des inversions volontaires de sens.

Vous ne suivez pas trop l'actualité alors : personne dans le Monde ne veut de votre capitalisme-liberalisme imposé par les totalitaires de l'OMC et les multinationales.

Si vous parlez des quelques ONGs qui ont défilé à HongKong... on ne peut pas parler de tendance ! Surtout que certains protestaient contre les aides et les subventions que reçoivent certains agriculteurs et qui faussent la libre concurrence ! Ils ne protestaient pas pour le retour du communisme.

Dans le fond, le nazisme n'est rien d'autre qu'une forme de capitalisme* qui avait pour but de liquider le bolchevisme. Dans le fond bien entendu.

* Capitalisme d'Etat, dont l'autre nom est socialisme planiste.

Vous devriez (si ce n'est fait) lire le chapitre XII de "La route de la servitude" d'Hayek, nommé . Très représentatif de votre méprise.

Avec des irresponsables comme vous qui pronent l'accomplissement individuel, on peut être certain que la planète sera une immense décharge d'ici moins d'un siècle. Mais j'ai confiance dans les peuples qui sauront réagir à temps.

Franchement, vous auriez du vous abstenir d'écrire ce message vide de toute analyse qui fait pale figure à coté de mon brillant argumentaire.

La force de tous les planiste, c'est cette immense conviction de se sentir au dessus de la masse des gens, capable de gérer les esprits, de gérer les sentiments. La manipulation humaine n'est qu'un affreux renégat du communisme que vous défendez. Elle n'est, d'après moi, pas acceptable.

Le Mouvement National Républicain n'est ni nationaliste, ni d'extrême-droite, il se situe à droite de l'UMP et à gauche du FN !

Dans son discours de clôture, Bruno Mégret réaffirme sa rupture avec l'extrême-droite et rejette de façon claire le racisme, l'antisémitisme et toutes les formes d'extrémisme. Il se positionne comme un homme de droite, à la tête d'un véritable mouvement de droite, bien décidé à trouver sa place à la gauche du FN et à la droite de l'UMP.

Un positionnement à droite, à la fois national et républicain

Le MNR est un mouvement de vraie droite. Il a vocation à rassembler tous ceux qui sont déçus par les renoncements, les lâchetés et le double langage de l'UMP. Et aussi tous ceux qui adhérent aux principales idées du FN mais refusent l'extrémisme, le passéisme, les outrances et les dérapages. Le MNR n'est pas un mouvement d'extrême droite et n'a rien à voir ni avec elle ni avec le centre. Il n'est ni raciste ni antisémite. Il donne une grande importance à l'idée essentielle de nation ainsi qu'à celle de république. Il défend les principes fondamentaux de souveraineté du peuple, de liberté et notamment de liberté de pensée, d'expression et de réunion. Il est pour l'égalité des droits entre les citoyens, l'autorité de la loi ainsi que les vertus civiques.

je n ai^pas lu les 15 page de reponse mais je voudrai dire 2 choses :

1: en 2002 B Megret a appellé a voté le pen au 2eme tour pas J Chirac et le MNR est vu par pas mal de monde comme d'extreme droite ...et le MNR se dit comme la releve du FN donc dire qu'il n'est pas d'extreme droite ...apres dire qu'il n'est pas antisemite et raciste la c'est une autre question, meme si je pense que B Megret est plus "anti imigration" que moi ...

2: bravo a la personne qui a rassemblé tout ces parti c vraiment complet meme moi qui ai fait beaucoup de recherche y en avait que je ne connaissais pas.1 seul oublie :

le PRCF http://www.initiative-communiste.fr/wordpress

Pole de Renaissance Communiste en France.c'est un parti dont j'ai beaucoup entendu parlé en surfant sur des forum communiste.c'est un parti a mon gout ultra communiste, moi meme communiste je trouve qu'il exagerent sur certain point surtout quand il mettent une grande vonlonter a defendre "le camarade staline" qui pour moi est une veritable ordure... enfin il ne faut pas les oublier pour autant de plus certain de leur membre son simpatique et raisonnable.

Excellent en effet. Ecrit en 43 d'ailleurs.

S'il s'agit d'une critique, permettez moi de rappeler que Keynes est mort 3 ans après, et Marx 60 ans avant. Ce qui n'empêche pas les socialistes de continuer à exister.

Vous me rassurez ! L'ancienneté d'une analyse n'en fait pas forcément la désuétude, surtout si elle porte les critiques d'une théorie qui n'a pas évolué depuis 120 ans.

Rien ne prouve dans votre message que le libéralisme est barbare.

Vous parlez de l'esclavage comme conséquence du libéralisme, chose totalement absurde étant donné que cette doctrine est basée sur la liberté.

Inutile de continuer avec votre argumentation, entièrement basée sur des inversions volontaires de sens.

: : : C'est assommant d'entendre ce genre de fadaises très cher. Ainsi selon vous, la traite des noirs et la conquête hyperviolente des Amériques ne sont pas "capitaliste". Elles sont quoi alors? Féodales? La réalité c'est que comme je l'ai expliqué, ces crimes sont les conséquences nécessaires de la transition de la féodalité vers le capitalisme.

Si j'ai bien cru cerner votre mode de raisonnement primaire, pour vous le libéralisme est un merveilleux monde où chaque individu à des droits, la possibilité d'accèder à la propriété, l'égalité des chances, et après c'est à chacun selon son mérite.

Ainsi, pour les gens comme vous la conquête des Amériques est antilibérale parce qu'elle "ne respecte pas les droits de propriété privée des amérindiens", pareil pour les esclaves noirs qui n'ont plus "la propriété de leur corps"...

Votre vision est complètement a-historique, sortie de l'Histoire. Pour vous, il me semble que le capitalisme tombe du ciel, tout seul, avec le "droit naturel" de la propriété. C'est ridicule et je suis ainsi dans l'obligation de me citer pour rétablir les faits historiques :

Ces crimes sont la conséquence nécessaire de la transition de la féodalité vers le capitalisme. En effet, pour entrer dans l'économie marchande à partir du 16ème siècle, il fallait que l'économie européenne, très peu productive, amasse des marchandises sur lesquelles baser son commerce par l'exploitation des peuples des autres continents. Payer les amérindiens pour leur or, leur argent, le coton, la canne........afin de les inciter librement (comme dans le beau monde libéral) à travailler d'arrache-pied et passer de l'autosubsistance au commerce était impossible. Pour l'Europe, il était beaucoup plus facile de payer grassement quelques planteurs que des millions de travailleurs.

Si vous parlez des quelques ONGs qui ont défilé à HongKong... on ne peut pas parler de tendance ! Surtout que certains protestaient contre les aides et les subventions que reçoivent certains agriculteurs et qui faussent la libre concurrence ! Ils ne protestaient pas pour le retour du communisme.

Non je ne parle pas de ces quelques guignols qui vont au bout du monde pour faire la fête. Le rejet de votre doctrine est beaucoup plus profond, malgrè le fait que vous controlez tous les médias de masse.

Capitalisme d'Etat, dont l'autre nom est socialisme planiste.

Vous devriez (si ce n'est fait) lire le chapitre XII de "La route de la servitude" d'Hayek, nommé les racines socialistes du nazisme. Très représentatif de votre méprise.

Tout le monde sait que l'obsession d'Hitler était de détruire le bolchevisme, des chercheurs allemands viennenty à nouveau de le confirmer. Vous pouvez donc bien sortir vos histoires de racines, il se trouve que dans les faits (et c'est bien le plus important) le nazisme était un instrument de lutte contre le communisme.

La force de tous les planiste, c'est cette immense conviction de se sentir au dessus de la masse des gens, capable de gérer les esprits, de gérer les sentiments. La manipulation humaine n'est qu'un affreux renégat du communisme que vous défendez. Elle n'est, d'après moi, pas acceptable.

Les gens de votre espèce veulent faire croire que la Terre est une immense aire de jeu sur laquelle les ressources sont illimitées. Ce n'est pas le cas, voila pourquoi il faut fixer des règles strictes qui sont à vos yeux des atteintes aux libertés et aux notres des mesures d'urgence indispensables.

: : : C'est assommant d'entendre ce genre de fadaises très cher. Ainsi selon vous, la traite des noirs et la conquête hyperviolente des Amériques ne sont pas "capitaliste". Elles sont quoi alors? Féodales? La réalité c'est que comme je l'ai expliqué, ces crimes sont les conséquences nécessaires de la transition de la féodalité vers le capitalisme.

Si j'ai bien cru cerner votre mode de raisonnement primaire, pour vous le libéralisme est un merveilleux monde où chaque individu à des droits, la possibilité d'accèder à la propriété, l'égalité des chances, et après c'est à chacun selon son mérite.

Ainsi, pour les gens comme vous la conquête des Amériques est antilibérale parce qu'elle "ne respecte pas les droits de propriété privée des amérindiens", pareil pour les esclaves noirs qui n'ont plus "la propriété de leur corps"...

Votre vision est complètement a-historique, sortie de l'Histoire. Pour vous, il me semble que le capitalisme tombe du ciel, tout seul, avec le "droit naturel" de la propriété. C'est ridicule et je suis ainsi dans l'obligation de me citer pour rétablir les faits historiques :

Ces crimes sont la conséquence nécessaire de la transition de la féodalité vers le capitalisme. En effet, pour entrer dans l'économie marchande à partir du 16ème siècle, il fallait que l'économie européenne, très peu productive, amasse des marchandises sur lesquelles baser son commerce par l'exploitation des peuples des autres continents. Payer les amérindiens pour leur or, leur argent, le coton, la canne........afin de les inciter librement (comme dans le beau monde libéral) à travailler d'arrache-pied et passer de l'autosubsistance au commerce était impossible. Pour l'Europe, il était beaucoup plus facile de payer grassement quelques planteurs que des millions de travailleurs.

Vous mélangez volontairement dans votre raisonnement les termes capitalisme, commerce, esclavagisme et libéralisme, sans expliquer une seule fois le lien qu'il pourrait y avoir entre chacun d'eux.

Vous savez, le rejet de la chose commerciale est la prémisse du nazisme dans la littérature pré-hitlérienne (Rodbertus, Sombart, Plenge...). C'est d'ailleurs pour cela que les national-socialistes détestaient les juifs, car ils tiraient les ficelles du commerce, des banques. Tout comme les socialo-communistes aujourd'hui détestent les patrons et propriétaires...

Vouloir se baser sur l'histoire comme vous le faites est parfois une bonne chose. Mais ça n'est pas la peine de remonter aussi loin...

Non je ne parle pas de ces quelques guignols qui vont au bout du monde pour faire la fête. Le rejet de votre doctrine est beaucoup plus profond, malgrè le fait que vous controlez tous les médias de masse.

Avez-vous vraiment l'impression de vous adresser à un socialiste ?

Tout le monde sait que l'obsession d'Hitler était de détruire le bolchevisme, des chercheurs allemands viennenty à nouveau de le confirmer. Vous pouvez donc bien sortir vos histoires de racines, il se trouve que dans les faits (et c'est bien le plus important) le nazisme était un instrument de lutte contre le communisme.

Oui, mais aussi une lutte contre le libéralisme.

Ce que vous dites ne démontre absolument rien. Le nazisme et le communisme sont deux formes de totalitarisme tout à fait distinctes sur les buts, mais tout à fait identiques quant aux moyens mis en oeuvre : contrôle des industries, de l'éducation des enfants, des médias...

Les deux luttent avec la même force contre le libéralisme.

Les gens de votre espèce veulent faire croire que la Terre est une immense aire de jeu sur laquelle les ressources sont illimitées. Ce n'est pas le cas, voila pourquoi il faut fixer des règles strictes qui sont à vos yeux des atteintes aux libertés et aux notres des mesures d'urgence indispensables.

Pour un communiste, sachant que tous les communistes s'affirment internationalistes et égalitaristes (tous les hommes égaux), il est assez étrange de vous entendre parler d'espèces de gens.

Considérez-vous les adversaires de vos opinions comme une sous-race ?

Hitler oui.

Vous mélangez volontairement dans votre raisonnement les termes capitalisme, commerce, esclavagisme et libéralisme, sans expliquer une seule fois le lien qu'il pourrait y avoir entre chacun d'eux.

Je ne mélange rien et vous laisse à vos analyses de comptoir a-historiques.

Au passage, les communistes n'ont jamais rejeté "la chose commerciale" comme vous voudriez le faire croire.

Le nazisme et le communisme sont deux formes de totalitarisme tout à fait distinctes sur les buts, mais tout à fait identiques quant aux moyens mis en oeuvre : contrôle des industries, de l'éducation des enfants, des médias...

Pareil pour ce qui se passe actuellement avec votre totalitarisme économique.

Pour un communiste, sachant que tous les communistes s'affirment internationalistes et égalitaristes (tous les hommes égaux), il est assez étrange de vous entendre parler d'espèces de gens.

Considérez-vous les adversaires de vos opinions comme une sous-race ?

Non comme des ennemis de classe.

Bon je pense que nous pouvons mettre un terme à cette discussion.

Je ne mélange rien et vous laisse à vos analyses de comptoir a-historiques.

Au passage, les communistes n'ont jamais rejeté "la chose commerciale" comme vous voudriez le faire croire.

Sans propriété, pas d'échanges.

Sans échanges, pas de commerce.

Ça me paraît plus qu'aisé à comprendre.

Pareil pour ce qui se passe actuellement avec votre totalitarisme économique.

Le libéralisme n'a rien d'une forme de totalitarisme.

C'est bien l'inverse d'ailleurs. Référez-vous aux définitions des deux mots, pas à ce que vous croyez qu'ils représentent.

Non comme des ennemis de classe.

Bon je pense que nous pouvons mettre un terme à cette discussion.

Pourquoi y mettre un terme ? Êtes-vous à court d'argument ?

Vouloir opposer dans la société deux "catégories" de personnes, c'est assez étrange pour quelqu'un qui s'affirme égalitariste (car n'est-ce pas le but ultime du communisme ?).

Comment classifiez-vous le petit patron et le riche cadre salarié ? Respectivement un capitaliste sanguinaire et un pauvre prolétaire exploité ? Le monde n'est pas si simple que ne l'imaginent les communistes.

Pourquoi y mettre un terme ? Êtes-vous à court d'argument ?

Deja pour être à court d'arguments il aurait fallu que vous répondiez à l'ensemble de mes messages précédents ce qui n'est pas le cas, vous avez sélectionné des petits morceaux auxquels vous saviez répondre.

Vouloir opposer dans la société deux "catégories" de personnes, c'est assez étrange pour quelqu'un qui s'affirme égalitariste (car n'est-ce pas le but ultime du communisme ?).

Comment classifiez-vous le petit patron et le riche cadre salarié ? Respectivement un capitaliste sanguinaire et un pauvre prolétaire exploité ? Le monde n'est pas si simple que ne l'imaginent les communistes.

Entendre parler de simplisme par quelqu'un qui caricature à outrance les positions de son interlocuteur, c'est assez cocasse.

Sans propriété, pas d'échanges.

Sans échanges, pas de commerce.

Ça me paraît plus qu'aisé à comprendre.

Tellement simple que vos propos sont totalement faux car le commerce a toujours existé entre pays socialistes.

Histoire de vous prouver que je ne suis pas à court d'arguments, je vais prendre le temps pour vous répondre concernant vos propos qui visent donc à faire croire que les économies soviétiques et nazies étaient de même nature.

Comme quelques auteurs dont je préfère taire l'identité par charité bolchevik, vous nous refilez la vieille thèse de la proximité idéologique entre le IIIème Reich et l'URSS, ces deux régimes n'étant paraît-il différents que par le caractère nationaliste de l'un et internationaliste de l'autre. Ceci amène quelque réflexions: s'il y a bien sûr des secteurs qui dépendent largement des grands travaux et des commandes d'état, Hitler n'a cependant jamais collectivisé l'agriculture allemande, ni le commerce, ni supprimé la propriété privée dans de nombreux secteurs de l'économie. Les deux secteurs cités en premier (agriculture et commerce) ne sont pas planifiés non plus. Ensuite, le développement du secteur d'état ou répondant aux commandes d'état, en premier lieu le secteur de la défense et de l'armement, au cours des années trente en Allemagne s'explique surtout par deux points: la réalisation du plein-emploi promis par Hitler (ce qui n'obligeait pas à la planification globale de l'économie, seulement des secteurs nécessaires pour caser les chômeurs), mais surtout la préparation de la guerre. Venons-en à ce point particulier: dans le cas d'une économie de guerre, il n'y a de toute façon plus d'économie de marché ouverte qui tienne. L'Etat doit contrôler son commerce extérieur, organiser les productions de guerre. Dans le cas d'un régime qui fait de l'autarcie un objectif idéologique et militaire, la réorganisation de l'économie par l'Etat fait partie des nécessités pour que l'Etat allemand puisse sauver "son" capitalisme des désordres qu'entraîne la limitation des échanges. Que l'Allemagne, vers 1937-1938, soit quatre à cinq ans après l'arrivée au pouvoir d'Hitler, ne soit plus une économie de marché ne signifie pas une proximité de pensée avec l'URSS. Dans les cas de guerres, mêmes les régimes foncièrement capitalistes ou partisans de l'économie de marché se rapprochent de la planification. N'oublions pas que les planificateurs soviétiques se sont beaucoup inspirés de l'économie de guerre allemande de la Première Guerre Mondiale, que les USA eux-mêmes ont dû planifier une partie de leur production au cours de la Seconde Guerre Mondiale. La guerre étant le programme fondamental du nazisme, on ne peut s'étonner qu'il y ait eu dans ce régime un penchant précoce pour le dirigisme d'Etat.

Au sujet d'Hitler, il faut préciser à ceux qui se méprennent encore ce qu'est le "socialisme" d'Hitler. Pour Hitler, les capitalistes se divisent en deux: d'un côté les "bons" capitalistes, ceux qui dirigent des industries, produisent des biens, et de l'autre les "mauvais", ceux de la finance. Vous l'aurez compris, pour Hitler, les premiers sont "aryens", et les seconds sont censés être juifs (voir par exemple la biographie d'Hitler par François Delpla, éd. Grasset, 2005). Cette "analyse" n'a rien à voir avec celle de Marx ni des autres penseurs socialistes. Pour Marx, le capitalisme, qu'il soit industriel ou financier ou autre, est spéculatif et exploiteur, il n'y a pas de bons ou mauvais capitalistes .