https://www.wsws.org/fr/articles/2024/11/20/hnwz-n20.html
Hélas, cela se paye lourd maintenant.
https://information.tv5monde.com/international/etats-unis-le-president-biden-autorise-lukraine-frapper-la-russie-avec-des-missiles
Hélas, cela se paye lourd maintenant. (bis)
"Zelensky demande aux Occidentaux l'autorisation de "détruire" des bases aériennes russes"
https://information.tv5monde.com/direct/le-president-biden-determine-mettre-lukraine-dans-la-meilleure-position-possible-pour
Hélas, cela se paye lourd maintenant. (ter)
Et encore la Russie, archi patiente durant dix ans devant le complot collectif occidental qui voulait :
- lui casser les reins économiquement,
- pour pouvoir lui casser les reins militairement,
- pour pouvoir enfin lui casser les reins globalement et l'effacer stratégiquement, voire y fomenter un coup d'État (comme si l'empire russe multiséculaire était une "république bananière"),
se servant, pour cela, du proxy de l'Ukraine, armée dans ce but pour pouvoir frapper sans nous y mouiller directement __
la Russie, dis-je, n'y a même pas utilisé 0,1 % de sa vraie capacité globale de frappe.
Il fallait bien patienter... avec une petite sœur détournée.
Mais il faut le savoir :
Lorsque l'on titille longtemps l'autre, par proxy, l'autre n'est pas tenu de s'arrêter quand cela vous arrange, vous.
L'autre, souverain multiséculaire pour sa part, et ayant toujours eu les vraies cartes en main, ne s'arrêtera que selon les intérêts supérieurs de ses peuples. Autrement dit, selon les objectifs initiaux de l'Opération spéciale, dont nous avons délibérément provoqué le lancement.
Si l'Ukraine (trompée et détournée) n'avait pas servi à provoquer en 2014, elle serait aujourd'hui indemne et en paix.