Bankova porte malheur à l’Ukraine.
Avant-hier, il a plastronné comme quoi il allait provoquer "une panne électrique générale à Moscou" => La nuit-même, la centrale de Zaporojié a coupé la fourniture électrique à "Kiiv, d’une part, et des missiles "Kinjal" ("Poignard", semble-t-il. Drôle de nom pour des suppositoires) ont effondré l’usine « Radar » (ou « Radio », peu importe) de production électrique, plusieurs centres militaro-industriels, ainsi que les bureaux centraux du Renseignement, d’autre part.
Si Bankova n’avait pas plastronné, la fourniture électrique et ces divers centres seraient encore aujourd’hui ce qu'ils étaient la veille.
Naturellement, au sujet des deux cibles principales de la frappe nocturne d'avant-hier (centrale électrique et bureaux centraux du Renseignement à Kiev), c'est motus et bouche cousue dans toutes les pravdas UE. Quelle est l'intox lancée hier par la petite "LCI" ? La voici : "L'armée russe cible les civils avec 50 missiles Kinjal" ! Elle a tué 4 civils !" (sic).
Et il s'est trouvé un (faux) "idiot" sur le plateau, du nom de Roquette, qui a ainsi daubé les bulots français, hier soir :
"Mais vous vous rendez compte de la basse qualité de ces Kinjal ?... 600 drones ! et 50 missiles ! Cin-quan-te mis-siles... et seulement 4 morts ??... Mais ils sont nuls, ces Russes. Nuls !"
Pas le moindre mot sur les cibles réelles frappées.
Cette intox, parmi cent, suffit en soi. Voilà ce que c'est que l'Information en France aujourd'hui... Touchez du doigt.
Au lieu de dire la vérité réelle de terrain :
Il s'agissait d'une vingtaine de sites militaires, administratifs et énergétiques ciblés dans de multiples zones d'est en ouest : pays de Soumy, de Dniepropetrovsk, Nicolaïev, Odessa, Jitomir, Kharkov, Tchernigov, Lvov, et spécialement "Kiiv", où ont été frappées la centrale électrique principale et les bureaux centraux du Renseignement du régime.
Voilà le vrai objet des frappes. Pas du tout "4 civils".
Et c'est "miracle", au contraire, qu'avec tout cela il n'y ait eu que 4 victimes collatérales, toujours déplorables, qui étaient là au mauvais moment, au mauvais endroit. Mais hélas, c'est cela la guerre.
Preuve superfétatoire que l'armée russe ne cible jamais les civils mais évidemment les structures du régime otanien.