
E. Macron sur le « front uni entre Européens et Ukrainiens » et sur le « ogre » V. Poutine
Depuis longtemps, les déclarations d’E. Macron sur l’Ukraine, la Russie et V. Poutine me font douter de la santé mentale de l’actuel président de la France.
Dans la présentation d'E. Macron, l'opération militaire menée par la Russie en Ukraine, contre l'armée ukrainienne, est une lutte contre la démocratie. Par conséquent, E. Macron a déclaré sur dernier semaine :
... notre volonté est de présenter un front uni entre Européens et Ukrainiens.
voir le site de France 24
Or, cet été, Le Monde a publié les résultats de son enquête, qui a révélé des centaines de cas dans lesquels des soldats de l’Ukraine « démocratique » ont ouvertement posté sur les réseaux sociaux des photos d’eux-mêmes avec des symboles nazis, saluts nazis, etc. (voir une photo de cette enquête à droite au début de ce message et voir la citation ci-dessous).
Des saluts nazis, des croix gammées, des emblèmes de la SS… La cellule d’enquête vidéo du Monde en a identifié plusieurs centaines, arborés par des centaines de soldats ukrainiens sur les réseaux sociaux.
Un pays dont l’armée utilise ouvertement des croix gammées, des saluts nazis, etc. ne peut pas être démocratique.
Et au printemps de cette année, E. Macron s'est adressé à la nation et a déclaré ce qui suit :
La Russie du Président Poutine viole nos frontières pour assassiner des opposants... La Russie est devenue, au moment où je vous parle, et pour les années à venir, une menace pour la France et pour l’Europe.
Mais ces « opposants russes prétendument assassinés en France » doivent avoir des noms et prénoms précis. Or je, personnellement, ne les connais pas.

Mais je peux, par exemple, citer les noms précis de trois émigrés politiques turcs qui ont été tués à Paris d’une balle dans la tête le 9 janvier 2013 (voir la photo de gauche ci-dessus).
Ces femmes s'appelaient Fidan Doğan, Sakine Cansız et Leyla Şaylemez.
Un autre émigrant turc a été arrêté par la police française, soupçonné du meurtre de ces trois personnes, mais il est mort, « par coïncidence », dans une prison française avant d'avoir pu être jugé, de sorte que le meurtre est resté non résolu.
Et ce triple assassinat n'a pas empêché l'ancien président français F. Hollande de se rendre en visite officielle en Turquie l'année suivante.
Et 4 ans plus tard, E. Macron a reçu personnellement le président turc Erdogan à l'Elysée (voir photo à droite de la photo des femmes assassinées), Macron a reçu Erdogan à l'Elysée cette année également.
Mais V. Poutine est un « ogre » pour E. Macron.