Le moins que l'on puisse dire. C'est pourquoi le pipeau Retailleau n'est que du pipeau Retailleau. C'est-à-dire du néant.
Non Hubert, point "kif-kif". Car ce ne serait ni une "guerre", ni "civile".
Cogitez, de grâce, car il me semble que vous en avez les moyens neuronaux.
"Guerre".
Pour qu'il y ait guerre, il faut qu'il y ait deux camps armés face à face. Or que voit-on ? d'un côté une armée de 15 à 20 000 kalachnikovs, dormantes les yeux ouverts, dans mille et mille caves (sans compter d'autres sinistres armes, par centaines de mille), et de l'autre côté, un troupeau de bulots par myriades, ou d'autruches la tête dans le sable, ou, si vous préférez, de veaux, comme disait le Général. Aujourd'hui apeurés, désarmés, décérébrés woke, et même plus capables du moindre réflexe de défense. Excusez, mais dans ce cas, cela ne s'appelle pas "guerre". Vos brillantes méninges trouveront sans doute la terminologie idoine.
"Civile".
Encore moins. Une guerre civile, c'est quand deux moitiés d'un peuple, issues toutes les deux d'une même civilisation, d'une même culture initiale, se font la guerre. La guerre de 1936-1939 en Espagne, voilà une vraie guerre civile. Les guerres de religions du 16ème siècle entre catholiques français et protestants français, issus d'un même peuple, d'une même Europe, voilà une vraie guerre civile.
Mais l'on ne peut appeler "civils" des troubles qui surviendraient entre, d'un côté, un vieux peuple autochtone de souche (qui garde la tête dans le sable pour ne rien voir ni savoir), et de l'autre côté une submersion, massive, totalement exogène de mœurs et de paradigme, grouillant d'éléments agressifs qui multiplient, chaque jour et unilatéralement, les plus graves faits divers depuis des décennies. Là aussi votre intelligence trouvera d'autres termes que celui de "civil".