Supprimer le crédit d'impôt sur les dons, l'adhésion à un parti politique ou à une association.
Un choix personnel, aussi charitable soit-il , n'a pas à être financé par la collectivité.
Baisser les dépenses publiques : oui, mais lesquelles, et comment ?
Supprimer les nombreux comités qui ne servent à rien comme la Commission Nationale du Débat Public , dont la directrice à l'époque Chantal Jouanno, n'a pas voulu animé le grand débat de Macron ou encore comme le Conseil Economique et Social,
Supprimer tout financement public à des associations, quelles qu'elles soient.
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Un peu de VRAIE justice sociale, fiscalisation de toutes les aides sociales (le regroupement en allocation unique sur un autre sujet est à creuser) et tout le monde paye des impôts (par exemple un minimum de 50€ ou 100€)
A creuser aussi du coté des exonérations, décotes ou niches fiscales de tripatouillages purement financier sans investissement réel et les machins foireux (genre pseudo oeuvres d'art 100% bidon avec ou sans bouchon ou tuyau d'arrosage "artistique")
James Supprimer tout financement public à des associations, quelles qu'elles soient.
Oui et fiscaliser tout ça aussi.
Enorme ménage à faire parmi les 250 titres de propagande subventionnés et les 35000 dits journalistes on peut en virer 90% minimum, pravdatélé pravdaradio et pravdajournal suffiraient amplement, le reste privatisation totale.
On ne va pas parler des usines à gaz idéologico-judiciaires et autres conseils de ///Non, pas ces propos injurieux douteux , là n'est pas le sujet...
Sinon bien content de savoir que rien que les intérets de la dette de plus de 50 milliards d'euros par an, et du remboursement du plan de relance européen qui nous coute 30 milliards (et + des milliards que l'europe nous coûte chaque année) représente environ 3000 € par foyer fiscal.
Voilà de quoi nous rassurer qu'engraisser les pontes de la BCE et la mafia à Van Der Leyen ne leur permet pas de tout donner à ///Non, ne soyez pas inutilement raciste pour qu'il prolifère de manière exponentielle, on se console comme on peut.
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James Supprimer tout financement public à des associations, quelles qu'elles soient.
Je ne suis pas d'accord :
si certaines relèvent du doublon avec des dispositifs d'aides legales et d'autres relèvent purement du loisir,
il convient par exemple de considérer les associations sportives qui pour un coût faible (majorable si vous le souhaitez) offrent un gain sanitaire important, et relèvent donc d'une politique sanitaire efficace ?
lugrin Supprimer les nombreux comités qui ne servent à rien comme la Commission Nationale du Débat Public , dont la directrice à l'époque Chantal Jouanno, n'a pas voulu animé le grand débat de Macron ou encore comme le Conseil Economique et Social,
J'ai dit plus haut que beaucoup de gens croient qu'on pourrait réduire facilement les dépenses, sans douleur pour les Français, juste en supprimant quelques gaspillages, quelques doublons administratifs, en baissant les salaires de nos élus, en supprimant le Conseil économique et social, voire (pour les gens qui sont plutôt de droite) en supprimant les aides aux immigrés. Manifestement, vous en faites partie...
unechansondouce Un peu de VRAIE justice sociale, fiscalisation de toutes les aides sociales (le regroupement en allocation unique sur un autre sujet est à creuser) et tout le monde paye des impôts (par exemple un minimum de 50€ ou 100€)
Contrairement à ce que vous croyez, tous les ménages français payent des impôts...
James Supprimer tout financement public à des associations, quelles qu'elles soient.
Il y a sans doute un tri à faire parmi les associations. Mais beaucoup d'entre elles assument une mission de service public, que l'Etat devrait assumer si elles n'étaient pas là.
[supprimé]
Voilà le lamentable rapport de l'Institut Montaigne: Retraites, santé, niches fiscales... Le rapport choc qui identifie 150 milliards d'économies pour la France. Que du paramétrique sur les prestations sociales, et des suggestions de hausses d'impôts.
Encore du travail d'énarques et autres Sciences Po, rien de structurel.
[supprimé] Voilà le lamentable rapport de l'Institut Montaigne: Retraites, santé, niches fiscales... Le rapport choc qui identifie 150 milliards d'économies pour la France. Que du paramétrique sur les prestations sociales, et des suggestions de hausses d'impôts.
Encore du travail d'énarques et autres Sciences Po, rien de structurel.
Qu'est-ce qui te dérange dans ce rapport ? Il formule des propositions très courageuses.
[supprimé]
Simon ce qui me dérange et qui ne te dérange pas: le rapport propose des solutions que tu juges courageuses et que je juge agressives pour certaines, toutes de type paramétrique. C'est tout à fait dans ta logique habituelle, pour ma part je peux soutenir l'âge légal de départ à la retraite à 66 ans, mais certainement pas le gel des pensions pendant 4 ans.
Et ce rapport n'aborde en aucun cas les vrais problèmes français, structurels: 35 heures, 5 semaines de CP, la surcharge en fonctionnaires de l'état, de l'hôpital, des collectivités, le meille-feuille des collectivités, l'interventionnisme systématique de l'Etat avec des plans d'exemption de taxes et charges ou de subventionnement insensés, le surcoût de l'insécurité et de l'immigration illégale.
[supprimé] ce qui me dérange et qui ne te dérange pas: le rapport propose des solutions que tu juges courageuses et que je juge agressives pour certaines, toutes de type paramétrique. C'est tout à fait dans ta logique habituelle, pour ma part je peux soutenir l'âge légal de départ à la retraite à 66 ans, mais certainement pas le gel des pensions pendant 4 ans.
Et ce rapport n'aborde en aucun cas les vrais problèmes français, structurels: 35 heures, 5 semaines de CP, la surcharge en fonctionnaires de l'état, de l'hôpital, des collectivités, le meille-feuille des collectivités, l'interventionnisme systématique de l'Etat avec des plans d'exemption de taxes et charges ou de subventionnement insensés, le surcoût de l'insécurité et de l'immigration illégale.
Donc vous acceptez les mesures "paramétriques" quand elles mettent les actifs à contribution (ce qui est le cas de l'augmentation de l'âge de départ en retraite, qui ne pénalise jamais ceux qui sont déjà en retraite), mais par contre, pas touche aux pensions ! Vous vous inscrivez donc dans la tendance dominante consistant à faire du maintien du niveau des pensions un dogme impossible à remettre en cause. Le problème, c'est que le financement des retraites, en ce qu'il doit garantir un haut niveau de pensions aux retraités, coûte cher aux actifs, pénalise notre économie. Vous devriez en être conscient, vous qui vous dites libéral et pro-business.
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- "Nous entrerons dans la carrière quand nos aînés n'y seront plus".
Faudrait voir à vous secouer les fesses avant de commencer à plumer ceux qui vous ont permis d'exister.
Alors foncez ! Vous avez votre avenir à construire, pas de temps à perdre à démolir ceux qui vous ont précédés.
Les retraites c'est pas vous qui les avez édifiées.
Faites vous une raison : baisser son pantalon est plus facile que de baisser la dépense publique.
Et puis les réformes structurelles que vous réclamez, si elles sont nécessaires, ne peuvent produire leurs effets que sur le long terme.
Par exemple, pour supprimer des postes dans la fonction publique, si on ne supprime pas l'emploi à vie des fonctionnaires, il faut attendre les départs en retraite des fonctionnaires concernés. Départs en retraite que, par ailleurs, vous voulez retarder...
Donc tout ceci prend du temps. Or il y a une certaine urgence à réaliser des économies.
[supprimé]
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Simon Donc vous acceptez les mesures "paramétriques" quand elles mettent les actifs à contribution (ce qui est le cas de l'augmentation de l'âge de départ en retraite, qui ne pénalise jamais ceux qui sont déjà en retraite), mais par contre, pas touche aux pensions !
Reculer l'âge légal de départ en retraite à 66 ans ne serait que se remettre dans la moyenne des pays de l'UE, que cet article de CNews peut vous permettre l'appréhension: Retraite : voici l’âge de départ pour chaque pays d’Europe en 2024.
ALLEMAGNE : 65 ANS
L'âge légal de départ à la retraite des Allemands est fixée à 65 ans, mais est progressivement repoussé à 67 ans pour les classes d’âge de 1947 à 1964, exceptés pour ceux justifiant de 45 années de cotisation ne sont pas concernées par cette mesure.Autriche : 65 ans
En Autriche, il y a une différence entre les hommes et les femmes. Ainsi, pour les hommes, l'âge légal de départ à la retraite est à 65 ans. Pour les femmes nées avant 1964, l'âge légal de départ à la retraite est à 60. Une différence qui n'existe plus pour les femmes nées après juin 1968, puisqu'elles partiront à la retraite au même âge que les hommes.BELGIQUE : 65 ANS
À ce jour, les Belges partent à la retraite à 65 ans. À partir de février 2025, l'âge légal de départ à la retraite passera à 66 ans puis à partir de février 2030, il passera à 67 ans.BULGARIE : 64 ANS POUR LES HOMMES, 62 ANS POUR LES FEMMES
Comme pour l'Autriche, la Bulgarie fait une différence entre les hommes et les femmes. Ainsi, les hommes bulgares partent à la retraite à 64 ans et 6 mois révolus. Les femmes bulgares partent à la retraite 2 ans et 6 mois plus tôt, soit à 62 ans.chypre : 65 ans
Les Chypriotes partent à la retraite à 65 ans. «À partir de 2024, l'âge de la retraite devrait être ajusté tous les 5 ans, en fonction de l'évolution de l'espérance de vie», est-il expliqué sur le site Cleiss.CROATIE : 65 ANS POUR LES HOMMES, 63 ANS POUR LES FEMMES
La Croatie fait une différence entre les hommes et les femmes. Ainsi, les hommes partent à la retraite à 65 ans contre 63 ans et 3 mois révolus pour leurs compatriotes femmes. Là encore, cet avantage va être retiré aux femmes puisque l'âge de leur départ à la retraite est relevé de 3 mois par an pour atteindre 65 ans en 2030.DANEMARK : 67, 68 ou 69 ANS en fonction de la date de naissance
L'âge de départ légal à la retraite des Danois est à 67 ans. Un âge qui recule à 68 ans pour les personnes nées entre 1963 et 1966 inclus. Enfin, les personnes nées après 1967 partent à la retraite à 69 ans.espagne : entre 65 ans et 66 ans en fonction des années cotisées
Pour l'Espagne, ce sont les années cotisées qui font la différence. Ainsi, les Espagnols peuvent partir à la retraite à 65 ans s'ils ont cotisé au moins 37 années et 9 mois. Si ce n'est pas le cas, les Espagnols partent à la retraite à 66 ans et 4 mois.ESTONIE : 64 ANS
Les Estoniens peuvent partir à la retraites à 64 et 9 mois révolus. L'âge de départ à la retraite sera augmenté à 65 ans en 2026 puis sera ensuite modifié en fonction de l'évolution de l'espérance de vie.finlande : 64 ans
En Finlande, l'âge de départ légal à la retraite est de 64 ans et 3 mois pour les personnes nées en 1958 et avant. Pour les autres, l'âge de départ à la retraite est à 64 ans et 6 mois. Là encore, la limite sera augmentée jusqu'à 65 ans en 2027.grèce : 67 ans ou 62 ans
En Grèce, c'est l'assurance qui compte pour partir à la retraite. Ainsi, les Grecs qui ont été assurés durant 15 ans partiront à la retraite à 67 ans. Ceux qui ont été assurés pendant 40 ans partiront à la retraite à 62 ans.HONGRIE : 65 ANS
En Hongrie, l'âge légal de départ à la retraite est à 65 ans.Irlande : 66 ans
En Irlande, l'âge légal de départ à la retraite est à 66 ans.islande : 67 ans
En Islande, l'âge légal de départ à la retraite est à 67 ans.Italie : 67 ans
En Italie, l'âge légal de départ à la retraite est à 67 ans.lettonie : 64 ans
En Lettonie, l'âge légal de départ à la retraite est à 64 ans et 6 mois. Il sera repoussé à 65 ans à partir de 2025.Liechtenstein : 65 ans
Au Liechtenstein, l'âge légal de départ à la retraite est à 65 ans.LITUANIE : 64 ANS
En Lituanie, il y a une différence entre les hommes et les femmes. L'âge légal de départ à la retraite pour les hommes lituaniens est à 64 ans et 6 mois et à 64 ans pour les femmes.LUXEMBOURG : 65 ANS
Au Luxembourg, l'âge légal de départ à la retraite est à 65 ans.Malte : 64 ans
À Malte, l'âge légal de départ à la retraite est à 64 ans.norvège : 62 ans
En Norvège, l'âge légal de départ à la retraite est à 62 ans.PAYS-BAS : 66 ans
Au Pays-Bas, l'âge légal de départ à la retraite est à 67 ans. Dès 2025, il augmentera de 8 mois par année d'espérance de vie en plus.Pologne : 65 ans pour les hommes et 60 ans pour les femmes
En Pologne, l'âge légal de départ à la retraite des hommes est à 65 ans et 60 ans pour les femmes.Portugal : 66 ans
Au Portugal, l'âge légal de départ à la retraite est à 66 ans et 4 mois. Il est régulièrement ajusté en fonction de l'évolution de l'espérance de vie.République tchèque : 64 ans
En République Tchèque, l'âge légal de départ à la retraite est à 64 ans. Les femmes ayant eu des enfants peuvent, en revanche, partir plus tôt à la retraite.Roumanie : 65 ans pour les hommes et 62 ans pour les femmes
En Roumanie, l'âge légal de départ à la retraite des hommes est à 65 ans et 62 ans et 1 mois pour les femmes.Royaume-uni : 66 ans
Au Royaume-Uni, l'âge légal de départ à la retraite est à 66 ans. Il sera repoussé à 67 ans entre 2026 et 2028.SLOVAQUIE : 63 ANS
En Slovaquie, l'âge légal de départ à la retraite est à 63 ans pour les assurés sans enfants né en 1961. Ceux nés en 1966 partiront à la retraite à 64 ans.SLOVÉNIE : 65 ans
En Slovénie, l'âge légal de départ à la retraite est à 65 ans.SUÈDE : 63 ANS
En Suède, l'âge légal de départ à la retraite est à 65 ans. Il sera ajusté en fonction de l'espérance de vie à partir de 2026.SUISSE : 65 ans pour les hommes et 64 ans pour les femmes
En Suisse, l'âge légal de départ à la retraite des hommes est à 65 ans et 64 ans pour les femmes. Pour les femmes, l'âge passera à 65 ans à partir de 2025.
Je n'ai aucun état d'âme sur ce sujet, les "jeunes" peuvent bosser jusqu'à 65 ou 66 ans. Je le dis d'autant plus qu'à près de 65 ans je travaille encore alors que je suis carrière longue et que cela fait un bon moment que j'ai mes trimestres.
Simon Vous vous inscrivez donc dans la tendance dominante consistant à faire du maintien du niveau des pensions un dogme impossible à remettre en cause. Le problème, c'est que le financement des retraites, en ce qu'il doit garantir un haut niveau de pensions aux retraités, coûte cher aux actifs, pénalise notre économie.
Aucun état d'âme en effet, j'ai payé très cher mes cotisations retraites et j'ai le droit à une bonne retraite. Les plus jeunes n'ont qu'à bosser aussi dur que je l'ai fait moi, au lieu d'aller faire du surf et du ski, ou de glander sur les réseaux sociaux ou le Fopo ou de fumer des joints ( 6 millions de toxicomanes en France). Vraiment aucun état d'âme, vous allez bosser dur et me payer ma retraite. Alternativement l'Etat peut me rembourser de toutes mes cotisations majorées de intérêts, cela m'irait très bien.
Simon Vous devriez en être conscient, vous qui vous dites libéral et pro-business.
Je suis parfaitement conscient et très responsable en plus ce qui ne m'empêche pas d'être libéral, pro-business et même conservateur. Soyez aussi conscient et responsable que moi, vous avez du chemin à faire.
Simon Et puis les réformes structurelles que vous réclamez, si elles sont nécessaires, ne peuvent produire leurs effets que sur le long terme.
C'est un dur effort et des réformes difficiles. Ce n'est en aucun cas une bonne raison pour différer encore les décisions de passer à l'action.
Simon Par exemple, pour supprimer des postes dans la fonction publique, si on ne supprime pas l'emploi à vie des fonctionnaires, il faut attendre les départs en retraite des fonctionnaires concernés. Départs en retraite que, par ailleurs, vous voulez retarder...
Il est évident qu'il va falloir abolir le statut du fonctionnaire et passer sur des contrats de travail de droit privé dans beaucoup de secteur, et qu'il va falloir virer des charrettes entières. Cela aura un coût, les gens partent plus vite si le chèque est gros.
Simon Or il y a une certaine urgence à réaliser des économies
Tout à fait, mais on ne va pas bien loin avec des mesurettes paramétriques. L'un n'empêche pas l'autre, il est urgent de faire du paramétrique et il est urgent de lancer des restructurations très structurelles et dimensionnantes: par exemple repasser à 23 régions en supprimer les département, et réduire le nombre de municipalités d'un facteur 10, avec un objectif clair de réduire le nombre de fonctionnaires de 40%.