chevalier-du-temple Le hamas mène les Palestiniens nulle part
Imène au mahométisme littéral mahomet étant l'istigateur de ce terrorisme international qui ne se cantonne p en palestine.
chevalier-du-temple Le hamas mène les Palestiniens nulle part
Imène au mahométisme littéral mahomet étant l'istigateur de ce terrorisme international qui ne se cantonne p en palestine.
chevalier-du-temple
On remarquera que l'Indonésie musulmane à accepté l'indépendance du Timor Oriental chrétien.
Si la Palestine arabe, n'est pas indépendante, c'est uniquement parce que les USA sous pression d'Israël s'y sont toujours opposés
La cause palestinienne est devenue un point de ralliement essentiel du nationalisme arabe dans tout le Moyen-Orient. Les pays créés par les Britanniques et les Français entre 1918 et 1922, étaient largement basés sur des méridiens, comme en témoignent les frontières qui délimitent aujourd'hui les Etats arabes. Parce que ces Etats manquent de logique ethnique ou de sens communautaire, leur opposition aux aspirations nationales des Juifs est venue alimenter le nationalisme arabe, comme ciment de l'unité nationale.
chevalier-du-temple
Le "nationalisme arabe" n'en est pas un car jamais la Nation arabe n'a pu voir le jour après la chute de l'Empire ottoman.
C'est pas les tentatives de fédéralisme qui ont manqué, Sénégal/Mali, Égypte/Syrie/Lybie, Irak/Koweit... seuls les Émirats ont réussi dans leur coin, le Yémen/Aden par vraiment. Et Sahara/Maroc c'est contesté.
La ligue arabe quelle pétaudière.
Le palestinianisme en soi est dépourvu de toute substance propre. La société arabe de Cisjordanie et de Gaza souffre de profonds clivages sociaux, créée par une multitude de rivalités fondées sur des allégeances géographiques historiques, sociologiques et familiales divergentes. Ce qui unit les Palestiniens, c'est une haine soigneusement entretenue d'Israël et le rejet de la nation Juive.
chevalier-du-temple
En tant que chrétien, tu proposes quoi comme solution et comme avenir à la population martyre que sont les palestiniens ?
marcopolo La solution des deux Etats n'étant plus une solution fiable, je propose aux palestiniens de se montrer sage et de prendre exemple sur les Bédouins dont la plupart cherche à trouver leur place dans le tissu et social de l'Etat d'Israël, avec tous les avantages que cela comporte. En effet, les Bédouins du Néguev (240,000 d'entre eux) qui ne voient pas les activités extrêmistes sous un jour positif, veulent faire partie de l'Etat d'Israël. Déjà, un certain nombre de Bédouins servent Tsahal.
Marion et Bardella sont invités officiellement en Israël à une conférence sur l'antisémitisme.
Du coup, BHL s'est décommandé, vexé. Il semble que celui qui est désormais son grand challengeur dans la bien-pensance médiatique de la Gauche, Glucksmann, n'ait pas été invité sinon on en aurait entendu parler.
De son côté, le Crif a fait savoir son étonnement, et Marine a saisi l'occasion pour l'inviter à se dégauchiser.
candidus
Ils sont partis soutenir le gouvernement d'extrême droite, raciste, islamophobe et genocidaire, qui leur ressemble.
Mais ils auraient été 200 fois plus critiqués, s'ils étaient partis assister à une conférence en Russie.
Manifestation contre le hamas à Gaza
Marion Marechal et Bardella reçus en Israël.
Sapristi
Le père Dupont-moretti, nouvelle vedette des planches, mis en scène by himself, s'est fendu d'un commentaire talentueux à propos de la visite de Bardella en Israel !
Je cite son court morceau de bravitude, prononcé sur la scène du théâtre de ses exploits, ça vaut le jus : "Jordan Bardella, Monsieur selfie, parce que c'est totalement creux" ! (sic)
Avec un bras d'honneur, dont il est coutumier, en guise de conclusion musclée !
Dupont est vraiment dans le "creux" (lol) de la vague, laissé pour compte par le "chef", et pas content du peu de reconnaissance de la part de son président !
Rideau, et trois coups de trop pour une comédie qu'a mal tourné !
Apparemment
hub'
A partir des années 1920, le rejet du nationalisme juif, les tentatives d'empêcher l'établissement d'un foyer national juif par la violence et le rejet de toute forme de pouvoir politique juif, y compris tout projet de partage de la gestion avec les Arabes, se sont cristallisés dans l'expression du palestinisme. Aucune autre définition positive d'un peuple arabo-palestinien n'a fait surface.