Palsambleu
Je reviens dans le fil de ce fil, pardon, mon cher Max !
La situation nouvelle de Macron interroge, on a peine à le reconnaître, profil bas, quelques apparitions aux jeux, sous les sifflets, on a affaire à un autre, du moins, c'est ce qui ressort de conversations que j'ai avec mes amis et mes relations professionnelles ou autres !
"Maintenant, il faut que tu acceptes de souffrir un peu" (sic) c'est le conseil d’ami directement adressé à l’intéressé, parait il Souffrir, enfin, pour Macron, c’est accepter de ne plus être tout à fait Macron, c’est savoir s’effacer, vraiment, et souffrir pour ne pas mourir, souffrir pour tenir, il en est là, apparemment !
Dans les derniers jours d’août, je me suis plongé dans les archives, quel président avait nommé un premier ministre en direct à la télévision ?
Le 5 septembre, Barnier arrive à Matignon et Macron, contrairement à ce qui avait été annoncé, reste coi, muet, ça lui ressemble pas, pas d’allocution, juste un communiqué de quelques lignes, lui qui aime pérorer comme personne !
Et il disparaît, il veut peut-être signifier que les temps changent, est-ce pour lui le seul moyen d’aller jusqu’en 2027, après sept ans d’usure maximale, la question je me la pose, qu'est devenu notre hubris prolixe et omniprésent ?
Ce n’est pas uniquement un pari politique qui est en jeu ou en cause, avec un Parlement émietté, c’est un pari social, sociétal dans un pays plus éruptif et fracturé que jamais !
Le fameux nouveau monde de 2017 a pris un sacré coup de vieux, le dernier défi du chef Manu ne s’appelle plus le dépassement, mais la coalition et le compromis !
Michel Barnier, par son parcours et sa méthode, me parait capable d"en être l’incarnation, par ses qualités, parce que je l'ai cotoyé à une époque !
Une question se pose today, à savoir est-ce que le pays est "dégagiste" où est-ce qu'il souhaite l'apaisement ?
Barnier devrait être fixé sous peu, après avoir concocté et présenté sa future équipe !
J'avoue ne pas être très optimiste sur le contenu du futur gouvernement, les déçus seront nombreux !
Pour finir, une phrase à encadrer : "Pour ma part, je ne crois pas que quand on meurt aux urgences, quand il n’y a plus de classes sociales ascendantes donc optimistes, sauf dans les quartiers, on veut l’apaisement" dixit le "brave" Jean-Luc Mélenchon, lequel par son analyse et son attitude, illustre la stratégie radicalement inverse, à savoir le chaos, et le plus tôt possible !
La bataille pour l’Elysée, c’est maintenant, pas demain, je m'attends au pire !
Malheureusement
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