C'est vrai que quand N7 dit que Netanyahu a renforcé ses alliances, on peut avoir des doutes. Les États-Unis ont rapellé à l'ordre plusieurs leur allié israélien ces dernière semaines et l'ont menacé de réduire le soutien qu'ils apportent à Israël. "Semer le doute chez ses ennemis" il faudrait expliquer en quoi. Pour la première fois de l'histoire, l'Iran a lancé directement une attaque de missile de son territoire à destination d'Israël. Ils ont vraiment l'air de douter.
Les USA viennent de réduire tellement leur soutien à Israël qu'ils viennent de lui allouer une enveloppe de 10 à 15 milliards de $. Es-tu sûr que les informations arrivent rapidement en Champagne ? J'ai de sérieux doutes.
L'Iran ne bougera plus d'une oreille, sinon les mollahs s'exposent et explosent.
marcopolo ton sionisme militant, te fait raconter n'importe quoi !
Les mollahs iraniens n'ont rien vu venir, Israël a détruit le radar des S300 russes sensés offrir une protection anti-aérienne.
L'attaque iranienne a fait pschitt, la riposte israélienne a fait mouche, les mollahs sont nus !
Du coup, Israël va lancer son offensive finale à Rafah et ce sera plié pour le hamas.
Une fois de plus, le talent politique de Netanyahu a fait la différence.
@bianchi51 et @[supprimé]
Qu'est ce que vous n'arrivez pas à comprendre quand je vous demande d'arrêter ?
Si vous n'arrivez pas à échanger entre vous, ne le faites pas.
James Ben, nous sommes juste en désaccord sur le soutien US à Israël et que je sache, je suis resté très correct. Je ne comprends pas bien le pourquoi de ton message.
D’autant que si l'on en juge d'après certains éléments factuels, notamment cet article de fin 2023, les USA ont versé entre 1946 et 2023 environ 260 milliards de dollars à Israël selon un rapport du Congrès américain publié au mois de mars. Et "en 2016, le président des États-Unis Barack Obama signe un accord consacrant 38 milliards de dollars d’aide militaire pour Israël sur la décennie 2017-2028", ce qui fait 3,2 de milliards de dollars par an.
Sur cet autre lien, tout récent, "le plan adopté par la Chambre des représentants comporte aussi 13 milliards de dollars d'assistance militaire à Israël dans sa lutte contre le Hamas"...
On ne sait pas sur quelle durée va porter cette assistance ni si elle vient à la place des 3,2 milliards/an du dessus, mais on est très loin d'une réduction du soutien. Enfin, ça me parait tellement évident que je ne vois où est le motif des reproches qui me sont faits. Non, vraiment, je ne vois pas.
Donc la menace USA envers Israël, c'est juste du flan, comme d'hab.
Jay Mens : "Contre Israël, le génie diabolique de l’Iran a porté ses fruits"
Moyen-Orient. L’attaque menée par Téhéran contre Israël le 14 avril représente un précédent qui signe la fin de la "guerre froide" entre les deux pays, estime le chercheur à la Harvard Kennedy School.
Chercheur à la prestigieuse Harvard Kennedy School et expert au sein du think tank londonien Policy Exchange, Jay Mens est un spécialiste de l’histoire des relations internationales au Moyen-Orient. Il s’intéresse notamment à la façon dont la genèse des relations entre l’Iran et Israël pèse dans le conflit présent et à la politique des grandes puissances au Moyen-Orient depuis deux siècles. Sa fine connaissance de la région en fait un interlocuteur idéal pour mieux comprendre le conflit en cours entre Israël, le Hamas, le Hezbollah et, en sous-main, l’Iran. Selon lui, si Benyamin Netanyahou n’est pas dénué de machiavélisme, considérer ce conflit comme son obsession personnelle est aussi faux que superficiel. Selon lui, Israël fait face à une "menace existentielle" sur le plan géopolitique.
L’Express : En janvier dernier, dans les colonnes de L’Express, vous estimiez qu’"une guerre entre Israël et le Hezbollah sembl[ait] inévitable d’ici à la fin de l’année". Votre prédiction est-elle en train de se réaliser ?
Jay Mens : Nous n’en sommes pas encore là. Mais je pense qu’il ne s’agit plus d’une "guerre froide", expression que certains utilisent parfois pour décrire la relation entre les deux pays et qui reste empreinte d’une certaine assurance, parce que, de mémoire d’homme, nous nous souvenons que la guerre froide a été une période "heureuse", où personne n’est mort dans une explosion thermonucléaire.
Certes, en termes géopolitiques, les deux pays n’ont pas de frontière commune, tout comme la Russie et les Etats-Unis. Il y a près de 1 000 kilomètres entre Téhéran et Jérusalem – plus que la distance qui sépare Istanbul et Rome. Le seul moyen de mener une guerre sur une telle distance est d’utiliser des missiles ou des avions. Ensuite, il n’y a pas entre eux d’objet immédiat de litige, pas de frontière, de ressources naturelles, de parcelle de terre que ces pays se disputeraient. En ce sens, il s’agit d’un conflit politique abstrait.
bianchi51 C'est vrai que quand N7 dit que Netanyahu a renforcé ses alliances, on peut avoir des doutes. Les États-Unis ont rapellé à l'ordre plusieurs leur allié israélien ces dernière semaines et l'ont menacé de réduire le soutien qu'ils apportent à Israël.
Biden tient un double discours pour complaire à son aile gauche en période électorale.
Il menace Israël de couper l'aide américaine en paroles, et s'agissant des actes il vient d'accorder un soutien de 13 milliards de $ !
https://www.la-croix.com/international/Etats-Unis-Biden-demande-Congres-61-milliards-aider-lUkraine-13-Israel-2023-10-20-1201287676
candidus
Il y a aussi l'oblast de Königsberg/Kaliningrad - terre de Kant annexée en 1945.
Quel rapport avec les États-Unis ?
nationale-007
Exact il y a eu ces menaces de réduire son aide à Israël.
Ah ça pour, pour menacer, ça l'a fait, c'est sûr. Mais dans les faits, du moins dans les annonces, ni réduction ni quoi que ce soit d'autre. Bref, un grand classique étasunien que N7 et moi-même avions vu venir.
Les États-Unis tentent de concilier pression et soutien à Israël
La relation Israël/États-Unis est particulièrement agitée, sur fond de guerre meurtrière dans la bande de Gaza. Ces derniers jours, Washington a débloqué une nouvelle aide militaire de 13 milliards de dollars pour Israël, mais ce montant faramineux ne dissimule pas l’étendue des désaccords entre les deux alliés.
Ce gros chèque américain a été totalement occulté par une autre information en provenance de Washington : pour la première fois les États-Unis pourraient sanctionner un bataillon de l’armée israélienne pour des exactions commises contre des Palestiniens, en Cisjordanie, en 2022. Et donc bien avant la guerre à Gaza.
Il n’y a pas encore d’annonce officielle aux États-Unis, mais déjà une tempête politique en Israël, le Premier ministre Benyamin Netanyahu se disant prêt à « se battre » contre ces sanctions.
« Il y a quand même des lignes rouges qu'on ne dépasse pas et, pour moi, justement, cette idée-là de sanction contre une unité militaire, c'est quand même une ligne rouge, commente Boaz Bismuth, député israélien du Likoud, le parti de droite de Netanyahu. Et là, je pense que les Américains, un petit peu, entrent dans un domaine qui n'est pas le leur. Je pense que le rôle d'Israël est de dire aux Américains : là, il y a une ligne rouge que vous avez dépassée. Moi, je pense que la relation est très forte, la relation peut même encaisser des mésententes qui peuvent être lourdes, comme celle-là, mais c'est quand même du jamais vu. »
Dans la suite de cet article il est expliqué que l'objectif de Biden serait de faire pression sur Netanyahu et ses alliés d'extrême droite.
Ces aides sont planifiées et budgétisées plusieurs mois à l'avance.
C'est ce qui me semble également.
Paix-Haine Ces aides sont planifiées et budgétisées plusieurs mois à l'avance.
Bin non, ces aides n'étaient pas votées, elles s'additionnent à toutes les aides précédentes !
Biden met le paquet pour casser Poutine et les islamistes, il en a besoin pour sa campagne électorale qui s'annonce difficile ...
Elles n'étaient pas encore votées ce qui ne signifie pas qu'elles n'étaient déjà planifiées et budgetisées comme l'évoque Paix-Haine.
candidus
Au temps pour moi, quand vous avez écrit "EU", j'ai compris European Union, et j'ai cru que votre carte était un détail de la Baltique.
bianchi51 Elles n'étaient pas encore votées ce qui ne signifie pas qu'elles n'étaient déjà planifiées et budgetisées comme l'évoque Paix-Haine.
C'est le vote qui attribue l'aide, qui désigne les bénéficiaires et qui fixe les montants.
