La guerre en Ukraine, tome 4
En même temps, on peut se dire qu'après l'écrabouillement des Démocrates avec Biden et Kamala, ils ne reviendront pas avant 12 ans, ou jamais.
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Dernière trouvaille de Zélenski : envoyer des pompiers en Californie.
Je suis certain qu'il va trouver des volontaires parmi ses jeunes recrues patriotes.
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candidus Ce qui est rigolo c'est qu'il aura quatre bonnes années devant lui alors que si l'élection ne lui avait pas été volée , il devrait maintenant passer les clés.
Oui, mais c'eût pu être aussi un 3ème mandat qu'il entame aujourd'hui. Pensez... Un tel grandiose plébiscite !
Il le mérite bien. Roosevelt l'a fait. Et Trump est un vrai bon serviteur des vrais USA*, au moins autant que Roosevelt.
Ce dit, vous verrez. Il s'entendra bien avec le président russe. Auquel, de toute manière il ne peut rien imposer.
La Russie a certaines conditions souveraines, non objet de négociation. Si contestées, eh bien la guerre continuera.
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*J'exècre et j'abomine l'"État profond" gauchiste. Mais je crois aux vrais USA profonds.
Pourquoi les troupes ukrainiennes combattent-elles dans les quartiers résidentiels ?
Les autorités ukrainiennes répètent le même mantra à chaque fois que leur armée bat en retraite :
Cette ville (Avdeevka, Ugledar, Kurakhovo, etc.) est désormais entièrement détruite, les troupes ukrainiennes s'en retirent donc.
Et dans cet article, je souhaite examiner la question : qui est responsable de la destruction des villes ci-dessus ?
On peut répondre en partie à cette question en cherchant qui est responsable de la crise ukrainienne dans son ensemble ; voir le message L’opération militaire spéciale russe en Ukraine a-t-elle été provoquée ?
Mais il faut aussi noter ce qui suit.
Dans les médias occidentaux, on peut souvent voir des photographies des quartiers résidentiels détruites de certaines villes, mais ces médias ne rapportent jamais que c'est le gouvernement ukrainien qui a décidé de mener des opérations militaires dans ces quartiers résidentiels.
Par exemple, c’est ainsi que l’armée ukrainienne a décidé de combattre à Marioupol, à Artyomovsk (qui à Kiev est considérée comme « Bakhmut ») et récemment à Kurakhovo.
L’armée russe agit d’une manière complètement différente. Lorsqu'en 2022, lors de la contre-offensive ukrainienne, les troupes ukrainiennes se sont approchées du centre régional de Kherson, des centres municipaux d'Izyum, Koupyansk, etc., l'armée russe n'a pas combattu dans les quartiers résidentiels, mais a simplement abandonné ces villes. Ils n’ont donc pas été détruits.
Par exemple, si vous recherchez « Kherson détruit » dans Google Images, vous ne verrez que des photos en gros plan de maisons individuelles détruites, ce qui rendra plus difficile de voir si les maisons environnantes sont intactes.
Mais une recherche de « Marioupol détruit » ou de « Bakhmut détruit » renverra des images de quartiers résidentiels complètement détruites. Ils ont été détruits parce que l'armée ukrainienne a combattu à l'intérieur de ces quartiers jusqu'à ce que les troupes russes en chassent les militants ukrainiens. Pour ce faire, l'armée russe a dû prendre d'assaut chaque maison, subissant de lourdes pertes.
Bien entendu, il est beaucoup plus facile pour l’armée ukrainienne de se cacher derrière des bâtiments résidentiels que de combattre sur le terrain. Et pour les médias occidentaux, l’image de rues complètement détruites fait une impression bien plus impressionnante que les photographies de maisons individuelles détruites.
Mais est-il légal d’utiliser des objets civils pour protéger les troupes ?
Veuillez lire ci-dessous les paragraphes (b) et (c) de l'article 58 du Protocole additionnel I aux Conventions de Genève - ce Protocole a été adopté en 1977 et l'Ukraine l'a ratifié en 1990.
Article 58 – Précautions contre les conséquences des hostilités
Les parties à un conflit doivent, dans toute la mesure du possible :...
(b) éviter de placer des objectifs militaires dans ou à proximité de zones densément peuplées ;
(c) prendre d'autres précautions nécessaires pour protéger la population civile, les personnes civiles et les objets civils sous leur contrôle contre les dangers résultant des hostilités.
voir le site officiel du Comité international de la Croix-Rouge
Ainsi, on peut conclure que l'utilisation de quartiers résidentiels par les troupes ukrainiennes comme abri pour ces troupes constitue une violation des Conventions de Genève, puisque ces quartiers sont les objets civils.
Cependant, les médias occidentaux n’en parlent jamais à leur public. Au lieu de cela, les médias occidentaux parlent constamment de bâtiments résidentiels détruits en Ukraine et de victimes civiles.
C'est la même problématique qu'à Gaza.
Fred4 Ça m'étonnerait que l'Autorité palestinienne dont dépend Gaza n'ait pas reconnu les Conventions de Genève. En tout état de cause ma remarque vaut pour Israël et la Russie auxquels on ne peut reprocher a priori de manquements à ce titre, sous réserve d'examens particuliers bien entendu.
Pour rester sur le thème, le régime de Kiev pourrait-il plaider l'exception d'une patrie en danger, alors que la mobilisation générale n'a pas été décrétée ?
C'est une drôle de guerre au regard des standards usuels.
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Fred4 Evidemment, ce serait plus facile pour les russes si les ukrainiens se battaient à découvert...quand on est en infériorité numérique, il faut trouver des parades pour résister au mieux et cela ne semble pas gêner outre mesure l'armée russe de bombarder ces habitats, sachant qu'ils sont déjà privés de chauffage. Il est illégal d'ailleurs de bombarder des infrastructures civiles au passage, ce qui ne semble pas vous déranger.
Enfin, quitte à reculer, on peut penser que les ukrainiens préfèrent laisser un tas de ruine à leurs ennemis et cela revient plus ou moins à adopter la technique de la terre brûlée.
Fred4 Bien entendu, il est beaucoup plus facile pour l’armée ukrainienne de se cacher derrière des bâtiments résidentiels que de combattre sur le terrain. Et pour les médias occidentaux, l’image de rues complètement détruites fait une impression bien plus impressionnante que les photographies de maisons individuelles détruites.
Bonjour,
Il ne vous est pas venu à l'idée que les Ukrainiens se replient là où ils peuvent ?
Cordialement.
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andrejhy Vraiment?
https://www.amnesty.org/fr/latest/news/2024/11/ukraine-russian-strikes-amounting-to-war-crimes-continue-to-kill-and-injure-children/
Et j'évoquais surtout les centrales électriques qui sont systématiquement bombardées à l'approche de l'hiver, voilà ce que vous défendez...
Fred4 Dans les médias occidentaux, on peut souvent voir des photographies des quartiers résidentiels détruites de certaines villes, mais ces médias ne rapportent jamais que c'est le gouvernement ukrainien qui a décidé de mener des opérations militaires dans ces quartiers résidentiels.
Par exemple, c’est ainsi que l’armée ukrainienne a décidé de combattre à Marioupol, à Artyomovsk (qui à Kiev est considérée comme « Bakhmut ») et récemment à Kurakhovo.
L’armée russe agit d’une manière complètement différente.
Merci Fred4, de cette brillante, tranquille, solide, et sérieusement documentée mise au point.
Taisez-vous, Just. Vous racontez du biaisé, vous susurrez de l'intox, vous déroulez du pipeau.
candidus C'est la même problématique qu'à Gaza.
Absolument. Et clair comme le soleil à midi en plein ciel bleu.
Le régime qu'on a parachuté en Ukraine (2014), génétiquement programmé antirusse et disposant de bras néonazis qui vont s'incruster exprès au milieu des civils et des ruelles de civils, fait exactement comme le "Hamas" terroriste génétiquement programmé antijuif et disposant de milices terroristes qui s'incrustent exprès parmi les civils, dans les ruelles et sous les hôpitaux de Gaza. Ici comme là, les armées russes et israéliennes ne peuvent qu'inviter les civils à quitter la zone afin de la débarrasser, ici des milices du régime dont on sait quels insignes elles portent, là des milices terroristes islamistes.
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Just C'est toute la question de la résilience : celle du réseau électrique ukrainien semble avoir des limites.
Mais il ne s'agit là que d'une drôle de guerre.
Cela interroge surtout sur la capacité d'un pays de se défendre contre une véritable attaque sur ses capacités vitales.
Dans quelle mesure une économie de guerre pourait-elle être soutenue aujourd'hui sans eau, sans gaz, sans téléphone et sans électricité ?
L'attaque fulgurante de la Serbie par l'OTAN est le seul précédent historique : il a suffit d'un bombardement impactant ses réseaux (civils !) pour qu'elle capitule immédiatement.
Le régime de Kiev tient encore bon et Zélenski se promet de vaincre rapidement, en s'appuyant sur les Conventions de Genève forcément.
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Fred4 l’armée ukrainienne a décidé de combattre à Marioupol, à Artyomovsk
Dans ce cas mon cher, bien plus que "l'armée ukrainienne" proprement dite, c'est plutôt et massivement les milices néonazies, de l'espèce "Azov" chose, qui y opèrent. Les pires en matière de dégoûtant. Ceux dont l'œuvre c'est "Azovstal" truc.
Vous savez comment l'armée russe a dû les débusquer comme des rats, sortant un à un des boyaux sous la cité industrielle d'où ils tiraient sur la ville de Marioupol pour la saccager, portant leurs ignobles insignes nazis et tatouages sataniques à têtes de boucs et de démons, attestant eux-mêmes ce qu'il sont.
Voilà à quelle chienlit d'enfer (entre autre armée par nous ! par budgets officiels de milliards), l'armée russe a eu affaire dans ces villes russophones, désormais russes, martyrisées par les suppôts du régime, et désormais libérées. Reconstruites en un tournemain. Voici Marioupol aujourd'hui redevenu pimpant :
Just La vérité est toujours difficile à entendre
La vraie vérité difficile à entendre que vous combattez vainement, c'est celle magistralement exposée ici par le sérieux post de Fred4.
Oui tout se justifie selon vous et même la déportation d'enfants qui pourraient devenir les soldats de demain...
https://fr.euronews.com/2024/11/13/les-enfants-ukrainiens-enleves-par-la-russie-seraient-destines-a-servir-son-armee-selon-le
Les heureux Marioupolitains et Marioupolitaines après la Libération.
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zenon Bonjour,
Il ne vous est pas venu à l'idée que les Ukrainiens se replient là où ils peuvent ?
Cordialement.
Bonjour,
Pas les "Ukrainiens", mais les milices du régime. (Quant à l'armée ukrainienne, au front, elle est lessivée.)
Veuillez cesser de biaiser. Les milices vont dans les centres-villes et ruelles des civils pour saccager les villes de là et être frappées là.
Mais la vidéo de Marioupol décembre 2024 ci-dessus vont montre que les esprits criminels s'acharnent en vain.
Cordialement.
Just même la déportation d'enfants
Holala ! Retirer des enfants d'une zone de conflit sous les bombes, quelle horreur !
Bravo, vous venez de trouver fred et samantha en creusant.
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Neodadais Bravo, vous venez de trouver fred et samantha en creusant.
Assez de votre "Ni avec... Ni avec..." forumique ! Les faits vous montrent le camp de la raison et de la vérité.
Votre devoir moral est de vous y engager et de cesser de renvoyer dos à dos la vérité muselée avec le mensonge ricanant, et la justice bafouée avec l'injustice jubilant.
Qu'a dit de faux Fred4 ? Rien. Que dis-je de faux et de trompeur ? Jamais rien.
Puisque je sais que vous savez où est le Vrai, et l'avez plusieurs fois montré, soutenez une fois pour toutes le Vrai.
Samantha2 le Vrai
Dans une guerre, il n'y a guère de bon.
Dans les grandes lignes, si.
Il fallait être avec Churchill et contre Hitler. Pas renvoyer les deux dos à dos.
Dans les péripéties circonstancielles, vous avez peut-être raison. Le bombardement ordonné par Churchill sur Dresde a été monstrueux et regrettable pour la population. Mais c’était tragiquement nécessaire. Pour autant, Churchill continuait à être dans le Vrai concernant l’objectif global de la guerre. Le « ni avec… ni avec… » global n’était pas moralement permis.
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Neodadais Oui, les russes libérateurs, on connaît la chanson...
Et puis, il y'a la réalité des faits:
https://www.ladepeche.fr/2024/11/12/reportage-guerre-en-ukraine-la-deportation-denfants-ukrainiens-en-russie-est-une-tragedie-pour-le-monde-entier-12304463.php
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Plus de 80 ans après, l'enquête historique est pour beaucoup toujours prisonnière de la cause alliée, avec les déformations que cela implique. "L'objectivité", certes, si l'on ne tombe pas dans le scientisme, n'est jamais réalisée : on est toujours, même à ses dépens, quelque peu partial ; on tend aussi à s'aveugler sur son degré de liberté ou d'indépendance d'esprit, à vouloir ignorer ses conditionnements, ou la position depuis laquelle on parle, par exemple. Pour ces raisons justement, elle est un effort salutaire, une "vertu" à rechercher, ou un principe épistémologique, si vous préférez un langage moins éthique, qui permet d'échapper le plus possible à cette partialité.
Just On vous a déjà dit que cette information était déformée, et par conséquent devenue ici une intox.
Deuzio, c’est bien sûr LaDépêche.fr.
af90 l'enquête historique est pour beaucoup toujours prisonnière de la cause alliée, avec les déformations que cela implique.
Vous eussiez préféré qu’elle fût prisonnière de la « cause » nazie, libre à vous. Moi j’opte pour la cause alliée.
Just la déportation d'enfants
Veuillez lire ci-dessous la traduction de l'article consacré à la vérification par l'ONU des accusations ukrainiennes concernant des centaines de milliers d'enfants ukrainiens déportés.
L’ONU n’a pas confirmé la « déportation » de milliers d’enfants ukrainiens vers la Russie
Après les menaces des autorités ukrainiennes d’utiliser des mesures militaires afin de « réintégrer » la Crimée à l’Ukraine (voir ici), la Fédération de Russie a lancé son opération militaire en Ukraine le 24 février 2022.
Après un certain temps, les autorités ukrainiennes ont commencé à accuser la Russie de déporter des enfants ukrainiens sur le territoire russe.
Bien entendu, cette situation a attiré l’attention des structures compétentes des Nations Unies et en mai 2023, Mme Virginia Gamba (voir photo ci-dessus), Représentante spéciale du Secrétaire général des Nations Unies pour les enfants et les conflits armés, a été envoyée en Ukraine et en Russie ; voir le site officiel de l’ONU ici et ici.
Les mêmes jours le président ukrainien V. Zelensky personnellement s’était exprimé sur le sujet de la « déportation » des enfants ukrainiens.
Des centaines de milliers de nos enfants ont été déportés en Russie, séparés de leurs proches, et nos enfants là-bas, en Russie, apprennent à haïr leurs compatriotes.
voir le site officiel du Président de l'Ukraine.
Un demi-mois après cette déclaration de Zelensky, soit début juin 2023, le secrétaire général de l'ONU António Guterres a présenté son rapport annuel sur les enfants qui se trouvent dans les zones de conflit en guerre ; voir le site officiel de l'ONU.
Ce rapport indique ce qui suit à propos de la situation concernant le transfert d’enfants d’Ukraine vers la Russie :
… l’ONU a confirmé le transfert de 46 enfants vers la Fédération de Russie depuis des régions d’Ukraine qui, en partie, sont ou ont été sous le contrôle militaire temporaire de la Fédération de Russie, y compris des enfants séparés de force de leurs parents, des enfants retirés d’écoles et d’institutions sans le consentement de leurs représentants légaux, et un enfant qui a reçu la citoyenneté russe.
Quant à cette citation, je voudrais attirer votre attention sur les points suivants :
Premièrement, le rapport de l’ONU ne parle pas de « déportation », mais de « transfert ».
Deuxièmement, Zelensky a parlé de centaines de milliers d'enfants sur son site officiel, mais le rapport de l'ONU ne parle que de 46 enfants. Autrement dit, tous les autres faits évoqués par la partie ukrainienne n'ont pas été confirmés par l'ONU.
Troisièmement, même ces 46 enfants incluent des enfants d’au moins quatre catégories différentes, par exemple, pas seulement « retirés d’écoles et d’institutions sans le consentement de leurs représentants légaux ».
Et si les Russes - sans le consentement des autorités de tutelle ukrainiennes - ont effectivement emmené plusieurs dizaines d'enfants ukrainiens dans des orphelinats situés dans les zones de combat, cela ne peut pas être considéré comme une déportation ou un crime.
Puisque j’ai cité la déclaration du Président de l’Ukraine dans cet article ci-dessus, je pense que nous devons également donner la parole au ministre russe des Affaires étrangères S. Lavrov à la fin de cet article ; S. Lavrov a déclaré ce qui suit à propos de ces enfants :
La plupart de ces personnes sont celles qui vivaient dans des orphelinats, où elles avaient été transférées par leurs parents pour diverses raisons. Lorsque l'opération militaire spéciale a commencé, nous les avons emmenés dans un endroit sûr. Mais nous n'avons jamais caché les noms des enfants qui ont été emmenés et l'endroit où ils se trouvent. Nous avons toujours invité et continuons d'inviter les parents, s'ils se présentent, à venir chercher leurs enfants.
voir le site officiel du ministère des Affaires étrangères de la Fédération de Russie.
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Non. L'idée est plus de tenter de réaliser l'enquête la moins partiale possible, c'est-à-dire sans adhérer à telle ou telle cause au préalable, en évitant le plus possible d'y introduire trop de pathos aussi. Comme sous-entendu précédemment, il s'agit certainement d'un travail assez difficile, mais qui ouvrirait de nouvelles perspectives.
Je redis ce que je disais tantôt à Neodadais.
Le primordial et l’essentiel est d’être avec la cause historiquement juste, quelles que soient ses manquements, qui sont inévitables dans le tragique des événements.
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Si l'histoire entend être une "science", ou à défaut seulement un art de l'enquête, il faut qu'elle prétende quand même un minimum à une certaine objectivité. L'histoire en militant souffre de grosses limites: adhérer aux justifications d'un parti plutôt que les expliquer, les pétitions de principe...
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af90 L'idée est plus de tenter de réaliser l'enquête la moins partiale possible, c'est-à-dire sans adhérer à telle ou telle cause
Les enquêtes des historiens postérieurs sont les enquêtes des historiens postérieurs. Mais elles étaient le cadet des soucis de Churchill décrétant le bombardement de Dresde pour faire comprendre aux nazis que c’était terminé pour eux. Humainement, affreux. Mais tragiquement significatif. L’essentiel est que la cause globale soit juste et justifiée par l’Histoire. Sinon c’était la « cause » nazie, et la fin de la liberté humaine.
De toute manière le nazisme, étant une Bête, ne comprit rien au message du bombardement de Dresde. Il poursuivit sa course vers l’abîme.