danielle49 La guerre en Ukraine est aussi ch***** que la guerre de cent-ans et risque de durer aussi longtemps ?
Ma chère, veuillez poser la question à l'Occident® LGBQT.XYZ en voie de dégénérescence avancée (comme toute la terre l'a vu aux J.O. il y a quelques jours). C'est lui qui sait la réponse puisque cette guerre antirusse __ qui saigne par lâche procuration les soldats ukrainiens en lieu et place des "boys" US-Otan __ est une guerre exclusivement et unilatéralement US-otanienne. Point du tout une guerre russe, la Russie (avec à peine 9 % de ses capacités totales tous azimuts) ne faisant qu'y envoyer la réponse du berger à la bergère agresseuse.
C'est exactement comme pour la guerre agresseuse de Napoléon, qui n'avait strictement rien à fiche à Moscou si ce n'est qu'il voulait avaler la terre entière. Et après la Russie, s'il avait pu réussir à l'avaler, passer à la Chine, puis l'Inde, puis l'Afrique (si si... il y avait ces projets). Briarée aux Cent Bras n'avait point de limites. Observez que c'est exactement ce que voudrait l'US-Otan aujourd'hui, le nouveau Briarée d'Orgueil des temps actuels : avaler et phagocyter la terre entière. Phagocytage total dont l'emblème serait (n'en doutez pas) le diktat des couleurs LGBTQXYZ.
Après cet éclairage, revenons à votre question : l'issue de cette guerre d'"Ukraine" __ je mets des guillemets car son enjeu est en fait planétaire __ actera la fin du monopole US sur le monde (1945-2022). Car il n'y a aucune guerre, en réalité, entre l'Ukraine profonde et la Russie profonde, qui sont un seul peuple historique. Cette guerre, étrangère par ses ficelles dans les coulisses, soi-disant guerre d'"Ukraine", durera tant que son promoteur exclusif, l'US-Otan, en alimentera le feu, en vain. Car toutes les têtes lucides savent qu'elle est d'ores et déjà pliée : la Russie ne reculera pas et elle a annoncé dès le début qu'elle sera très dure dans ses conditions finales.
C'est bien l'US-Otan, qui a lancé cette agression antirusse initiale en fomentant "Maïdan 2014", qui seul reculera. Il a déjà fait perdre à l'Ukraine : la Crimée, le Donbass, et (hélas pour l'Ukraine) d'autres choses encore actuellement en attente, car l'Opération spéciale russe (Opération que nous avons tout fait pour provoquer) va prendre tout son temps. La Russie n'est pas l'agresseur initial : durant 25 ans, elle avait généreusement laissé à l'Ukraine : la Crimée russe (pourtant russe par traité régalien d'États) et tout l'Est russophone historique, de Kiev à Kharkov en passant par Nikolaïev et Odessa), ne lui demandant en retour qu'une sage neutralité qui aurait assuré sa prospérité.
Mais voilà. Il a fallu que l'Ukraine, ténébreusement séduite, subisse en douce la morsure de Dracula. Depuis, chacun voit son état de malheur.