[supprimé] le problème vient du laxisme généralisé, de l'absence de punition et de sanction dès l'école, etc.
Relier la délinquance à des origines et combiner l'ensemble avec un laxisme des autorités tout en faisant fi des conditions sociales et de l'histoire, cela revient à espérer produire un bon fraisier en y mettant la moitié des ingrédients (en somme, on fonce tout droit vers l'échec).
Si certaines populations sont + touchées que d'autres par la délinquance, c'est aussi parce qu'elle s'exprime + facilement dans certaines zones d'habitat du fait de la précarité économique des familles qui y vivent, du fait du capital culturel et social moindres des parents de ces enfants qui dérivent, du fait de l'histoire relative aux pays d'origine de ces jeunes et qui produit encore des conséquences quant à leur rapport au pays dans lequel ils sont nés et vivent, du fait des discours (faits de stigmatisations incessantes) des élites politico-médiatiques qui favorisent certains passages à l'acte, du fait également des discriminations et du racisme systémique à l'oeuvre dans notre société.
Or, où vivent principalement (en terme de proportion par rapport à leur nombre total comparativement à la population souchienne) les familles dont les parents sont issus d'une immigration récente ?
Eh bien, justement dans ces lieux d'habitat qui génèrent + facilement des comportements déviants et ce pour tout un tas de raisons.
Donc clairement votre raisonnement est bien trop simpliste, bien trop bancal, bien trop dépourvu d'éléments pourtant indispensables, pour qu'on puisse lui accorder la moindre crédibilité.