[supprimé] On peut étendre les raisonnements.
L'écologie radicale consisterait aussi à diminuer drastiquement les aides aux agriculteurs productivistes affiliés à la FNSEA et responsables de l'essentiel des pollutions dues au monde agricole : plus tu pollues, moins tu es subventionné. Et en plus ils paieraient pour la remise en état des paysages, plages et haies, haies pour lesquelles ils touchent des subventions pour en planter alors qu'ils les ont si joyeusement détruites : Cf. les céréaliers. Leur faire payer également l'eau qu'ils prélèvent des nappes pour leur méga-bassines, et ceci fort cher, jusqu’à les rendre dissuasives ou qu’ils changent de modèle ! Par contre, ils doivent être accompagnés pour la reconversion, normal.
Exemple 1 : les éoliennes en nombre qui massacrent les paysages vallonnés du Tarn et de l’Aveyron sont un aberration ! Qu'ils privilégient l'implantation des éoliennes là où les paysans ont créé des plaines céréalières immenses et laides, telles la Beauce. Plaines qu'ils ont massacrées en détruisant tous les bois.
Exemple 3, l'économie circulaire est lancée et la réduction des déchets est un objectif de tous, industriels et particuliers, et de tous les jours. Et oui ça va coûter de l'argent car il faut réorganiser toutes les chaînes de tri des déchets. Dans le Tarn et dans l'Aveyron, c'est en cours. L'inconvénient est que certains syndicats mixtes sont devenus de véritables armées mexicaines, payées avec nos taxes sur les ordures méanagères,
Enfin, l'écologie radicale serait d'interdire purement et simplement les gros SUV et autres pick-ups qui ne sont pas adaptés à nos villes, ni à nos contrées d'une manière générale. Je serais très sévère avec ces gens-là qui n'ont comme vision que leur petit nombril. Les surtaxes devraient être très dissuasives sur ces véhicules.