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La France est encore en Afrique et a encore besoin ou pas de faire des affaires en Afrique.
Une opportunité commerciale n'est pas un besoin. Le pétrole est un besoin. L'uranium est un besoin. Les microprocesseurs sont un besoin.
Si les pays où nous n'allons pas préfèrent devenir esclaves des chinois ou des russes, ce n'est pas un souci. Quand ils en auront assez et qu'ils seront revenus à la raison, on verra.
Votre prémisse est qu'ils auront le choix. Nous ne leur aurions pas laissé auparavant, les Chinois ne leur laisseront pas demain.
Je vous rappelle qu'en France ce sont des groupes privés et pas l'Etat qui gèrent les affaires industrielles et commerciales au passage. Vos cerveaux de communistes n'ont pas l'air d'avoir intégré ce concept.
Voyons, les grands contrats publics mêlent presque toujours le public et le privé. Si Total est qualifié de ministère des affaires étrangères bis, ce n'est pas un hasard. Si Bolloré a tant quêté l'amitié des présidents quand il était encore un industriel, de même.