Certains considèrent encore des médias tel que le figaro comme des médias de "droite"
Alors voici un titre d'article récent du média de droite parait-il
Immigration : durci par la droite, le projet de loi du gouvernement est adopté en première lecture au Sénat
Et dans l'article on trouve que
- Pas grand monde n'aurait parié que ce texte, certes modifié, soit adopté, y compris avec une mesure de régularisation.
- Après avoir réussi à trouver un accord sur les régularisations des travailleurs sans papiers,
On a bien compris , comme d'habitude cette Xième loi POUR l'immigration ils ont "durci" le beur en réduisant le feu sous la cocotte de 500 000 litres par an pour ne pas que ça déborde encore, en attendant de changerl a gamelle par une encore plus grande comme à chaque fois depuis bientot 50 ans
Et nos braves médias de se précipiter en meute du coté de leurs amis collabos que vous n'avez pas fini d'entendre si vous ne stoppez pas télé radio et journaux.
https://www.lefigaro.fr/politique/immigration-durci-par-la-droite-le-projet-de-loi-du-gouvernement-est-adopte-en-premiere-lecture-au-senat-20231114
Festival de geignardises islamocollabos prévue par la propagande pour au moins 3 jours, quelques extraits.
«Il est dur... Cruel... C'est une honte absolue», a tancé le communiste Ian Brossat. «Ce texte ne permet pas l'intégration, et il présente une contradiction majeure : d'un côté il se revendique des valeurs de la République, mais il foule aux pieds les principes républicains auxquels nous sommes collectivement attachés», a attaqué l'ancien adjoint d'Anne Hidalgo
Certaines de ces évolutions nous ont profondément heurtés. Une en particulier : la suppression de l'aide médicale d'État. C'est une erreur grave en matière de santé publique», a-t-il cinglé, précisant qu'il faisait confiance à l'Assemblée nationale pour revenir sur certains points du texte.
Marie-Pierre de la Gontrie. «L'intégration a totalement disparu du texte, à l'instar du ministre du Travail (Olivier Dussopt, NDLR), qui a totalement déserté les débats. (...) Avec ce texte, l'étranger n'est vu que comme une menace, un fraudeur