Jiminy Si le petit neveu a été agressé parce qu'il fait partie de la famille Macron, il est clair que Macron est vecteur d'appelle à la violence, que la justice aime bien condamner...
Dans une société dite civilisée et juste, est-ce que les bas du front se rebiffent ?...
En France, ils finissent par baffer le représentant suprême de la nation, et escagasser ses proches.
Il suffit de chercher l’erreur de casting, ou de reformuler le malentendu de ces rencontres houleuses.
C'est simplement le constat sommaire d'un charivari national qui risque d'empirer dès lors que la cause politique
engendre irrémédiablement les effets malheureusement prévisibles d’une gouvernance infantilisante...
De l’autoritarisme à l'insubordination et de l'argent facile à la docilité.
Va-t-il encore falloir cracher au bassinet pour qu’un ordre républicain en trompe-l'oeil rétablisse la légitimité entamée d’élus ( et leur familiers) , quels qu’ils soient, dans leur vision d’une société qui ne semble pas en phase avec une large opinion publique mécontente de la conduite des affaires prioritaires de l’état ?
L’un peut-il compenser l’autre ?...Parce que ce petit peuple stipendié devrait regarder ses pompes alors que les
élus au pouvoir ont acheté leur silence. Du moins le croient-ils ?
Une promesse de 2 milliards de baisse d’impôts à venir pour la classe moyenne...
Et il se trouve que parmi la population, quelques sans-dents ( vu à la télé ) sortis de leur cour des miracles ont ciblé sciemment une victime collatérale, apparentée à Macron.
Trois d’entre eux sont en détention provisoire. Et ils devront sans doute purger une peine de prison après avoir été jugés, comme tout agresseur attentant à l’intégrité physique d’un tiers.
C’est ce que l’on attend d’une justice équitable. Non ?... 😇
Ce débordement de la violence hors du terrain politique peut-il dédouaner ceux qui s’érigent en justiciers médiatiques et forumiques, histoire de se réclamer d’une république ectoplasmique qu’ils ont accompagnée jusqu’à se mettre à
plat ventre devant les enjeux de société dont l’état rechigne à s’occuper.
Je ne crois pas à une autorité républicaine rétablie dans son bon droit. Ceux qui nous gouvernent n’ont pas l’étoffe
pour s’obliger à leur devoir régalien quand il s’agit de maintenir un ordre social juste.
Après avoir dit ça, je n’ai pas envie de jouer à l’avocat du diable, ni au procureur, car depuis que la France n’a de démocratie que l'appellation incontrôlable de ce statut, il suffirait de prononcer, verbalement et devant témoins, une condamnation de principe pour faire passer une émotion prétendue citoyenne aussi fugace que la conviction d’être
écoutés par des politiques davantage soucieux de leurs prérogatives respectives.
Je laisse donc les outragés remplir leur besace de bons sentiments démocratiques chaque fois que l’occasion se présentera. Il n’en manquera pas. Encore 4 ans...