france2100 C'est surtout que la valeur des obligations est affectée par l'inflation. Or l'inflation demeure la grande question, surtout si les banques centrales doivent désormais renoncer à relever les taux pour ne pas affecter la solvabilité des banques.
Mouais.
Sauf que l'inflation ne risque pas de continuer à flamber, si l'économie mondiale part en plongeon.
Même les stock US de pétrole sont en hausse inattendue (au lieu d'une baisse prévue)
Ce que je voulais dire, pour le marché obligataire, c'est que c'est un marché qui est recherché par les opérateurs, surtout lorsque le marché actions n'excite plus personne.
Sauf erreur de ma part, 2021, année covid finissant, les marchés actions étaient en encéphalogramme complètement plat, et à cette époque, le marché obligataire attirait le gros des placements (et pourtant, zéro inflation dans le même temps)
Donc l'obligataire ne booste pas nécessairement par une inflation forte.
En 2021, la plupart des salles marché laissaient complètement le marché actions de côté, il ne s'y passait rien.
Il n'y avait ni perspective de chute, ni perspective de rebond.
Puis, tout à coup, vers fin septembre 2022 , tout s'est réveillé. Notamment par des perspectives pas terribles à cause de l'inflation. Après un très gros creux, les marchés ont ressorti la tête de l'eau, pour foncer vers le haut.
Bref.
Maintenant, c'est tout le secteur bancaire qui est sous surveillance, et la news avec Crédit suisse, c'est une autre claque que la faillite d'une petite banque de start up californienne