candidus Bon ben nous sommes en phase.

Tu as pris aussi un call?
Moi je touche pas aux turbo, je préfère les warrants.
J'ai trop vu un copain se faire avoir avec ses barrières désactivantes_

par contre, je vise toujours des warrants pas trop chers, histoire d'en prendre un peu plus.
Du coup, j'essaie de taper sur une échéance pas trop lointaine, en général, je suis entre 3 et 6 mois
Et je vise souvent du hors la monnaie,
L'idéal (mais c'est rare, ou complètement à la rue en probabilités) c'est prendre des trucs à 0.02.
Dès que ça monte, c'est 50% tout de suite au premier cent.
(mais je ne conseille pas cette méthode, car les produits bougent peu, ou s'ils bougent fort, c'est lorsque les marchés vivent de forts mouvements)

    Nymo Oh moi je regarde je suis un expert phlegmatique.
    Pour l'instant je suis sur une stratégie de long terme, 10-30 ans, c'est cool. C'est le domaine du forgeron de retraite par capitalisation.
    Surtout pas s'affoler, n'importe quel tsunami, phénomène volcanique ou guerre bideno-poutinique peut réduire les efforts d'une vie à néant. (Borne et le sauvetage des retraites à la française hahahahahaha).

    Les gains de court terme c'est marrant, ça revient à pomper un peu de fric aux institutions qui sont obligées d'en dépenser pour se faire des couvertures.
    D'une analyse en stricte théorie des jeux, je dirai que c'est à somme nulle mais une catégorie de joueurs (vous) dispose d'un avantage sur l'autre catégorie (les institutionnels) qui tient à la dissymétrie des enjeux (gagner contre ne pas perdre) ainsi qu'à celle des mises (350 € contre 350 M€). Continuez, la théorie dit qu'en moyenne vous gagnez - sous réserve que ça soit pas annihilé par les frais de bourse et la fiscalité.

    • Nymo a répondu à ça.

      candidus

      Ben là, nouveauté, sur les warrants SG et G Sachs, pas de frais de courtage.

      Plutôt agréable, ça.
      Sinon, je mise toujours ce que je peux perdre. Pas envie d'être à la rue, juste pour avoir voulu faire mumuse.

      J'aime bien le casino, aussi, mais ça fait un bail (que la roulette)
      J'ai remarqué que les barrière et partouche n'aiment pas du tout les joueurs qui partent avec des sous. Ils sont tout gentils et vous invitent à leur resto, pour que vous leur rendiez le fric.
      Là encore, prière de ne pas se monter la tête et rester serein de bout en bout. Et quand un serveur vous offre à boire, toujours réclamer un jus d'abricot, plutot qu'un jack daniels.

        Nymo Le casino c'est pas pareil, en moyenne vous perdez. Alors qu'un boursicoteur avisé, en moyenne il gagne, c'est mathématique comme j''ai résumé.

        • Nymo a répondu à ça.

          candidus Le casino c'est pas pareil, en moyenne vous perdez.

          Y a quand même des méthodes, un peu longues, pour gagner souvent.

          Assez fier, j'ai réussi (mais ça remonte a qq décennies) à faire 9 soirées payantes d'affilée.
          Puis 3000 francs perdus, en voulant chercher la 10 eme d'affilée.

          Entendons nous bien, il n'y a évidemment aucune recette miracle, pour gagner à chaque fois.
          Mais déjà, être dans un bon rush et ne pas s'exciter à couvrir toute la table, avec ses jetons, parce qu'on commence à gagner beaucoup, ça permet de gérer et de sortir très bien à la fermeture.

          Au casino, il faut à tout prix s'obliger d'être sage. Commencer doucement, puis gérer son tas de jetons ensuite, sagement.

          La bourse, évidemment, c'est un peu différent, il parait que "ce n'est pas un jeu de hasard", Sauf qu'au final, avec la psychologie moutonnière des opérateurs de marchés, tout peut se viander, par effet psychologique, sans raison réelle, et tout peut s'enflammer en frénésie, sans aucun motif sérieux non plus.

          Le tout est de s'abstenir de jouer "contre le marché" (même si c'est ce que je viens de faire, lol)

          Aujourd'hui, ce qui a fait trembler tout le monde (et tout le secteur bancaire, c'est ni plus ni moins que Crédit Suisse - chute de - 25% - laché par son actionnaire principal (saoudien) préfigurant peut être une faillite, de ce monstre bancaire helvète.

          Ce qui est curieux, dans cette histoire, c'est que les deux petites faillites californiennes (SVB et FIrst) mettent un gros coup de projecteur, sur tout le secteur bancaire, qui se serait sacrément relâché, lorsque l'argent ne coutait rien (taux d'intérêts proches de Zéro, aux US)

          Il semble que bcp de banques auraient très très mal pondéré leurs actifs à risque.

          Maintenant, regardons ce qui se passe du coté de la prochaine réunion de la FED, avant tout ce brouillis bancaire, tout le monde actait pour une hausse de 50 points de base.

          Désormais, personne ne croit plus à cette hausse.
          Si les prochains indicateurs éco (Inflations, stocks, ventes, etc...) concourent à laisser présager d'un véritable atterrissage, la FED sera forcément plus cool.
          Enfin, je mise dessus. A suivre

          Edit, Idem pour la BCE. La hausse de taux de 50 pts, semble déjà oubliée. verdict demain...
          Allez Christine, fais plaisir à nymo STP 🙂

            Nymo Moi j'ai un peu un oeil sur Xi. On ne sait pas où est Macron mais on s'en fout. C'est Le Maire qui bosse pour la France il est sérieux et ça ne compte que pour des clopinettes. Cest pas comme en 2008 où Sarko s'était démené comme un dingue.
            Comme je suis complotiste par construction, j'observe que la Suisse veut pas aider Zélenski et paf, sa banque

            • Nymo a répondu à ça.

              candidus Comme je suis complotiste par construction, j'observe que la Suisse veut pas aider Zélenski et paf, sa banque

              Hihi,

              bon feeling extralucide.

              Ce pourrait bien être la dernière trouvaille sur le Net, ouais.
              (Apparemment, Credit Suisse ça fait un bout de temps que ça déconne pas mal)

              fixing Cac du soir, plutot moyen..

              Allez BCE, sois accomodante demain

              Nymo
              C'est surtout que la valeur des obligations est affectée par l'inflation. Or l'inflation demeure la grande question, surtout si les banques centrales doivent désormais renoncer à relever les taux pour ne pas affecter la solvabilité des banques.

              • Nymo a répondu à ça.

                france2100 C'est surtout que la valeur des obligations est affectée par l'inflation. Or l'inflation demeure la grande question, surtout si les banques centrales doivent désormais renoncer à relever les taux pour ne pas affecter la solvabilité des banques.

                Mouais.

                Sauf que l'inflation ne risque pas de continuer à flamber, si l'économie mondiale part en plongeon.

                Même les stock US de pétrole sont en hausse inattendue (au lieu d'une baisse prévue)

                Ce que je voulais dire, pour le marché obligataire, c'est que c'est un marché qui est recherché par les opérateurs, surtout lorsque le marché actions n'excite plus personne.

                Sauf erreur de ma part, 2021, année covid finissant, les marchés actions étaient en encéphalogramme complètement plat, et à cette époque, le marché obligataire attirait le gros des placements (et pourtant, zéro inflation dans le même temps)

                Donc l'obligataire ne booste pas nécessairement par une inflation forte.

                En 2021, la plupart des salles marché laissaient complètement le marché actions de côté, il ne s'y passait rien.
                Il n'y avait ni perspective de chute, ni perspective de rebond.
                Puis, tout à coup, vers fin septembre 2022 , tout s'est réveillé. Notamment par des perspectives pas terribles à cause de l'inflation. Après un très gros creux, les marchés ont ressorti la tête de l'eau, pour foncer vers le haut.

                Bref.

                Maintenant, c'est tout le secteur bancaire qui est sous surveillance, et la news avec Crédit suisse, c'est une autre claque que la faillite d'une petite banque de start up californienne

                  Nymo J'ai appris à l'école (au siècle dernier) qu'en terme de volume, les actions et les obligations ne jouaient pas dans la même cour. Le phénomène de vases communicants ne peut fonctionner que très à la marge.

                  En tout cas, au bilan d'une entreprise, c'est bien rare que les fonds propres soient supérieurs aux dettes à long terme. C'est le privilège de l'actionnaire de ne pas partager le pouvoir avec les créanciers, et la tragédie du débiteur de ne posséder que du papier.

                  Quand il y a des milliards de liquidités à placer quelque part, l'acheteur d'uniquement des actions serait vite confronté au mur de la hausse, faute de suffisamment de titres disponibles, et ça se calme et on retourne aux pitoyables obligations, faute de meilleur arbitrage.

                  Bref, tout ça pour dire que vous avez raison.

                  Et que ça serait rigolo si l'action d'une banque tombait plus bas que son dividende.

                  • Nymo a répondu à ça.

                    candidus J'ai appris à l'école (au siècle dernier) qu'en terme de volume, les actions et les obligations ne jouaient pas dans la même cour.

                    Ca me parait plutôt logique oui.
                    Mais ça n'empêche pas ce que j'ai raconté pour 2021-2022.
                    Je dois préciser quand même une chose.
                    Lors des gros mouvements de début automne 2022, tous les marchés scrutaient avec la plus grande attention un indicateur (qui se basait sur une prévision de l'évolution du taux principal US, le 10 ans) et cet indicateur n'arrêtait pas de grimper au delà des pronostics, c'est surtout ça qui a fait valser les marchés (période fin septembre puis énorme hausse derrière, avec je crois notamment une hausse journée du CAC, assez rare, avec des volumes énormes (supérieure à +4% dans la journée

                    Perso, je n'ai jamais joué avec l'Obligataire, j'ai été tenté, sur une émission à 5 ans d'une petite boite française, mal en point à l'époque (Soitec) puis j'ai failli une autre fois m'y adonner, avec un emprunt obligataire de EDF.
                    Mais je connais trop peu, pour m'y amuser, et ça n'a pas l'air vraiment poilant.

                    candidus l'acheteur d'uniquement des actions serait vite confronté au mur de la hausse,

                    OUi, enfin, sur le titre papier, il y a tellement d'instruments pour miser... Si le papier se raréfie, les opérateurs ont toujours la possibilité de s'exciter sur une option à terme. (ce qui, en général, amplifie ce qu'on appelle la bulle sur un titre. Là dessus, les opérateurs ne sont vraiment pas sages. Comme l'a dit je sais plus qui, ici, tout le monde s'efforce d'avoir dans ses petits paniers, les actions phares de l'année, pour montrer à sa clientèle qu'ils n'ont pas raté le train.

                    D'ailleurs, hors des périodes des marchés flat... c'est toujours la gueguerre entre bullish et bearish.
                    Et les bullish aiment piéger les bearish, contraint de racheter leurs VAD, et ensuite, ce sont les bullish, qui sont contraints de vendre leurs lignes à perte, pour couper leur chute.

                    Bonjour,

                    Pas un mot sur la chute du Crédit Suisse sur TF1. Uniquement et encore les retraites.

                    Cordialement.

                      Vais surement essayer de vendre mon warrant ce jour.
                      le Dow a effacé toutes ses pertes, presque, en clôture, et la confédération helvétique fait une annonce rassurante pour son petit Crédit Suisse.

                      La pauvre Alstom a lourdement chuté hier (-10%) alors que son carnet de commandes est très beau.
                      Ces gros véhicules sont souvent chahutés quand les indices se sentent perdus.
                      Ensuite, j'irai chercher les dividendes de Nexity et Mercialys. (cours actuel 24 Eur le premier, et 10,5 le second, très bon rendement - Le meilleur c'est Eutelsat, mais ils versent en Novembre, un peu loin...)

                      Comme tout ça a l'air facile. (faut juste digérer la chute des cours dès le versement du coupon. lol)

                        Pour crédit suisse qui s'est gadiné hier de -25% est attendu à +21% en future, actuellement.

                        Soc Gen, qui a fait -12% devrait rebondir également.

                        Rien n'est sauvé pour autant. Les bilans des banques susciteront de grosses inquiétudes pendant un bout de temps.
                        De même si les banques centrales deviennent plus accommodantes qu'annoncé (hausse moindre des taux, ou arrêt des hausses) ça signifiera que l'économie doit encore être sauvée (en l'occurence, secteur bancaire)

                        zenon Pas un mot sur la chute du Crédit Suisse sur TF1.

                        vous pensez encore que le 20h, c'est de l'information ?