yun_tao D'expérience, je peux dire qu'en pratique le mandat céleste fait du prince le paterfamilias de la nation.
Que ça soit en chien en Corée ou au Japon, cetet dérive fini toujours pas se concrétiser.
Voyez-vous, en occident l’empereur romain avant d'être le chouchou de Sol invictis, était juste le premier citoyen. l n'y avait pas de mandat céleste.
La dualité a ensuite existé, voir Charlemagne et le Pape. séparation du spirituel et temporel.
Sauf que le pape avait ses états pontificaux dont il était le souverain temporel, et que le pape cherchait à contrôler et guider le temporel. Tandis que le souverain temporel orienter le spirituel.
Vous faîtes bien pire que nous en somme.
Pour venir aux choses sérieuses :
Le constat sur la lutte des partis.
C'est un constat que je fais moi même. Certes beaucoup de temps est perdu dans de vaincs combats philosophiques et religieux donc beaucoup ne sont seulement là car des idéologies (idée + Logos = idéologie) car des groupes restraints d'individus riche et puissants se font les mécènes d'un discours qui prône un organisation de la vie politique qui les arrange au détriment de l'intérêt général.
Alors qu'en vrai le débat des partis devrai être sur la gestion de la cité, "est-ce qu'on construit une bibliothèque ou non? SI oui : Où ça?"
Seulement voilà. Les philosophies les religions dictent ce choix, et qui a légitimité pour valider ou invalider telle ou telles philosophies?
Dîtes-moi.
Si en occident il y a de l'abstention, une certaine caste s'est accaparé 95% des partis politique, pouvant se permettre de jouer au marionnettiste avec une opposition de façade en carton.
Et les véritables partis d'opposition "type UPR" n'ont pas voix au chapitre.
Pour venir au cœur du sujet.
yun_tao
Le matérialisme dialectique et historique est aussi une philosophie, et le PCC n'est que son avatar Chinois. Un avatar déjà très confucéens, beaucoup plus que vous ne le soupçonnez.
Tout comem macron et son aprti sont l'avatar du néoliébrlaisme et de la société ouverte de Karl Popper.
Il y aucune garanti pou que l'avatar du confucianisme que vous désirez ne soit pas corrompu, ou déformé par la réalité du monde extérieur distordu, comme l'est le PCC actuellement.
L'homme est très imparfait.
Ce principe du peuple en premier l'état en second, et le prince en 3° lieu, découle d'une vision paternaliste : "Ses enfant d’abord, le foyer en second et soi en dernier". Vu que ce conseil était donné aux princes.
En occident on a le principe chrétien qu'un bon roi est d’abord un bon serviteur et qu'il lave le pied de ses sujets, mais nous avons aussi des siècles d'expérience, prêcher ça au prince ne suffit pas. Vous aurez au mieux une monarchie éclairée.
Louis XVI a essayé, mais il était très mal conseillé. Son régime fut malgré lui tyrannique et despotique.
Il faut vraiment des institutions qui garantissent le pouvoir du peuple.
Nous parlons bien de Demos KRATOS et pas de demos archos.
France2100 pourra sans doute vous l’expliquer mieux que moi, car il soutient une démocratie directe à la Étienne Chouard.
Vous verrez que la démocratie c'est bien plus compliquez que vous ne le pensez. Bien plus que d’aquérir le vote d'un peuple à un instant T par des moyens plus ou moins douteux, Tels que le matraquage médiatique de promesses mensongères.
Pour ça il faut former des institutions pour concrétiser le principe que vous évoquez à 3:05 de la vidéo.
Hors niveau institutions...... C'est pas votre fort.
Et cocnernnat votre ordre du totalitarisme, si je demandais à un communiste Chinois il me ressortirait tous les zoli blahblah confucianiste que vous avez sorti auparavant dans la vidéo. Que le peuple arrive en premier lieu, tout ci tout ça, le peuple est comme l'eau qui peut faire chavirer le navire.
Et imaginez que vous prenez le pouvoir et que quelqu'un est pas content avec votre régime, je met ma main à coupez qu'il ressortirait le même discourt avec le peuple qui arrive en 4° lieu.
200 ans d'enfumerie ici. On connaît la chanson. On ne crois que des gens capables de proposer des solution concrètes pour concrétiser les zolis principe qu’on nous vend.