Nymo je ne sais pas s'il faut ranger le mot fascisme, en définition de 'nationalisme radical"

Le nationalisme français sous la IIIeme République d'avant 1914 était assez radical. C'était pas un fascisme.
Mais d'accord que le nationalisme radical fait partie des ingrédients du fascisme, aussi difficile soit il de l'admettre moi qui sui nationaliste et voudrait .. heu .. exige que nos élites le soient aussi.

Le nationalisme et conservatisme sont le complément indispensable au libéralisme chacun corrigeant les défauts de l'autre pour faire le cocktail idéal à une bonne gouvernance.

Définition de fascsisme de l'académie française:

Doctrine ou régime politique d’inspiration totalitaire et nationaliste, comparable au fascisme italien ou qui s’en inspire. Le fascisme espagnol, portugais, hongrois.

https://www.dictionnaire-academie.fr/article/A9F0262
Donc effectivement le totalitarisme et le nationalisme sont les ingrédients principaux.

liberté Commence-t-on à avoir une dictature de la pensée, en France ?

Pour moi la meilleure définition du régime français et occidental en général c'est "totalitarisme progressiste doux", ajoutons socialiste en ce qui concerne la France.
Totalitarisme progressiste parce que l'endoctrinement progressiste est total, depuis la maternelle jusqu'à l'université, dans les médias subventionnés (c'est à dire quasiment tous), la culture officielle subventionnés, la pub, les séries et la censure des réseaux sociaux (moins vrai depuis que Musk a repris Tweeter)
Soft parce que pas besoin d'interdire quand on tient l'éducation, la culture, les médias, les GAFAM, la justice et la haute administration.
Mais de moins en moins soft parce que sous le poids de la réalité, les erreurs et les échecs de nos élites progressistes commencent à devenir difficiles à cacher et le peuple commence à rebiffer. Et aussi parce qu'il commence à y avoir quelques voix discordantes qui portent venues de CNews ainsi que de la multitude incontrôlable des réseaux sociaux.
ça se durcit, sous Macron le système n'a jamais été autant liberticide que depuis Vichy.

filochard C'est une vision étriquée de la Liberté. Celle dont vous parlez, s'opposer, est une fausse liberté puisqu'elle est dirigée.

Il est plaisant d'observer que la démocratie prétend DONNER aux personnes la liberté de s'opposer à elle, occultant ainsi le fait qu'elle restreint toutes les autres. C'est l'empire de l'imposture intellectuelle.

En son temps, Voltaire était libre.

James Non, le socialisme a disparu, c'est le progressisme qui a pris la place à gauche.

Le progressisme peut être socialiste ou pas (ex USA)
En France on ne peut nier qu'il est socialiste : je rappelle les 57% du PIB en dépense publique et il n'y a qu'à regarder l'actualité du jour et ces manifs sur les retraites avec tous ces gens qui comptent sur l'Etat pour assurer leurs vieux jours.
Mais il est vrai que maintenant quand on dit "gauche" ou "gauchiste" ça concerne plus le sociétal que l'économie disons qu'il y a confusion.

"le multirécidiviste", c'est comme ça que les collabos appellent Zemmour.
Condamné deux fois et seulement à une époque ou il traitait par le mépris les roquets qui l'attaquaient et ne faisait pas appel. Jamais condamné depuis qu'il fait appel systématiquement, il a compris comment les condamnations bidons en première instance étaient utilisées par le totalitarisme et lesdits collabos.

Donc pour résumer: condamné par un État dégénéré et traitre qui utilise des associations grassement subventionnées par nos impôts pour faire taire ses opposants via des lois scélérates.
Parlez d'une infamie pour le "coupable multirécidiviste". Un brevet de résistance plutot.

Il faut bien reconnaitre que la justice n'est qu'à moitié vérolée, hors les cours suprêmes, cour de cassation, conseil d’État, conseil constitutionnel, et je ne parle même pas des cours européennes, toutes aux mains de la clique des tordus progressistes, il faut bien reconnaitre que les cours d'appel font encore leur boulot à peu près correctement, dans plus de 90% des cas les associations, c'est à dire cet Etat, sont déboutées.
Mais ça ne suffit pas, si les plaignants abusifs ne sont pas punis, la défense des liberté n'est pas assurée non plus. Même déboutées les plaintes sont une punition pour les innocents qui les subissent.