paulau
Tu mélanges un peu. Cette expression n’étant là qu’un délicat euphémisme de ma part. Ta pensée est-elle là dans ta phrase : « Marie et à la fois D.ieu », donc les deux personnages qui « seraient conçus du Saint Esprit ». Ou Marie est (du verbe être) à la fois Marie et D.ieu » ?
Marie, dis-tu, « est à la foi D.ieu » … « parce qu’elle est conçue du Saint Esprit ». Intéressant. Mais en langage vernaculaire, en français, cela veut dire quoi, d’être « « conçu du Saint Esprit ? D’autant qu’il est question d’après toi qu’elle a été conçue « DU » Saint Esprit et pas conçue « PAR » le Saint Esprit. Être conçue en Terre Glaise a un sens. Être conçu DE la terre glaise n’en a pas. Ou cela signifie-t-il que c’est le Saint Esprit qui l’a conçue ? Dans l’arbre généalogique de Marie, est-il indiqué que ses parents sont le Saint Esprit ? Dans lequel des Évangiles ? Dans ce cas, « ses parents » c’est son père ou c’est sa mère ? Ou ce sont les deux ? Pas simple à suivre. C’est peut-être dans Bibi Fricotin, mais pas dans les Évangiles.
En outre, en quoi cela implique-t-il que les hommes seraient conçus à l’image de D.ieu pour la simple raison que Marie était conçue du Saint Esprit ? Mais il y a eu d’autres hommes avant Marie. Ces hommes d’avant, eux, étaient-ils conçus à l’image de D.ieu puisque Marie qui a déclenché le phénomène n’était pas encore apparue sur la terre ? C’était à effet rétroactif ? Parce que Marie qui serait de l’espèce humaine était une copie de D.ieu, tous les hommes le seraient ?
Tu écris ensuite :
- « C ' est sur cette idée qu'a pu se développer les droits de l ' Homme, construction dont on trouve la source dans les pays chrétiens ».
Tu galèjes camarade ! En oubliant la conjugaison déficiente, et sans remonter à la Mésopotamie qui était parfaitement païenne, et au Code d’Hammurabi, les Droits de l’Homme, chronologiquement, se trouvent ailleurs. Dans les 10 Paroles, dans les 10 Commandements comme les appellent les chrétiens. « Tu ne tueras point ».
Et ils continuent par « œil pour œil », c’est-à-dire par la progression des peines en fonction de la nature et de l’importance de la faute commise. Pas par le réflexe épidermique de colère de celui qui est la victime. Et sauf erreur de ma part, ce n’est pas dans les pays chrétiens que l’on a inventé ces notions. Mais à Babylone durant l’Exil, au bord du Kinneret en Galilée, et à Samaria, lorsqu’elle était encore la capitale de la Samarie.
Les Droits de l’Homme dans les pays chrétiens, cela a été Les Bûchers, les Croisades, Torquemada et les Inquisitions dont Rome a toujours été friande.