courtial
Les écolos nous incitent à réformer nos mœurs en raison du danger que les actes de l'homme feraient peser sur la "planète", en nous assurant de divers maux pour les générations à venir, voire nous-mêmes, si nous ne le faisons pas, ce qui implique comme question : la place que l'homme y occupe, ne pas la sous-estimer certes, mais ne pas non plus la surestimer, et non l'existence de la terre, que personne à ma connaissance ne remet en doute.
Nos actes, dans leur discours, sont envisagés comme mauvais, des fautes, pour ne pas dire des péchés, et il serait visiblement urgent que nous nous en remettions à leurs taxes, si ce n'est pour plus tard des politiques de salut, je n'ose même pas dire public, planétaire conviendrait mieux, pour corriger la situation.
Nous pourrions aussi parler de ceux qui voudraient une politique de décroissance afin de vivre plus en "communion" avec notre environnement, et les divers autres êtres qui s'y trouvent, qui envisagent en conséquence notre technique, comme une sorte de transgression à "l'ordre naturel" tel qu'ils le conçoivent.
Concernant le lien, il est simple : affirmation, puis exemple 1 et 2. Je n'ai développé que le deuxième, ayant déjà eu l'occasion de parler du premier en d'autres occasions. Si vous trouvez mon propos obscur, ou même absurde, il est possible de demander des explications, et de les détruire par la suite, si elles sont fausses.