La parole des politiques étant devenue sujette à caution, elle ne résiste à la contestation citoyenne que parce que ceux qui la portent sont néanmoins reconnus comme des gens consacrés à la seule activité principale dont l’utilité et la légitimité sont admises au sein de la république. La politique....Même si celle-ci ressemble souvent à de la démagogie que des tribunitiens ont le talent de faire passer pour un courant de pensée digne d’être défendu par l’ensemble d’une nation, aussi clivée qu’elle soit.
Quid de Bouhafs ?.... Un boute-en-train de cour d’école qui s’est pris pour le représentant d’une classe de potaches subversifs rassemblés sur les réseaux sociaux.
Petit avocaillon de ses seules aigreurs existentielles, flatté par « des like » faisant de la libre expression une partie de rigolade, dont on constate, pour le coup, qu’elle est suivie d’effet seulement lorsqu’elle reste dans le domaine de la bouffonnerie.
Preuve en est que la récupération politicarde a fait un flop.
Bouhafs, porte-étendard de l’islamo-gauchisme mélenchonien ?
Eh bien, non. Sur ces mêmes réseaux sociaux, certains n’ont pas goûté à cette plaisanterie de mauvais goût. Et ils l’ont fait également savoir. Un monde cruel...😇
Eh oui, Taha, ta gueule à la récré ...
La question est de savoir aujourd’hui, si le chérubin est encore en capacité d’être aussi facétieux et factieux au coeur de cette foire d’empoigne qu’est devenu Internet.