hubert "quand je me regarde je me désole, quand je me compare je me console", ce truisme ou cet adage est de pure composition macronesque, car en vérité, peu de gaillards lui arrivent à la cheville, alors, a fortiori, au nombril, à notre grand chef, alias le nombril du monde autoproclamé (je rigole hein) !
Je ne sais point si vous êtes sincère, mais pour ma part, sincèrement, je comprends les choses comme ça.
Sarkozy, voulait bruler les bibliothèques, un anti culture, suffisant et surexcité et complexé.
Seule son énergie le sauva, en pleine chiraquie sclérosée.
Hollande? faut il en parler?
Jospin? avec Aubry, qui ne s'excusera jamais de sa ******** avec les 35 heures, et blocage des salaires pendant 5 ans, en pleine arrivée de l'Euro? Chapeau la perspicacité.
Doit on parler de Mitterrand? l'homme du chômage et de la faillite économique?
Allons. Qui a mouillé sa chemise? et "son costard" ?
Qui, disait, à New York, en 2017, "si on veut être populaire, en france, il vaut mieux ne rien faire, ça évite les critiques "
Bon.
Encore une fois, si je défends macron ici, c'est parce qu'on traite sa pauvre femme de singe vieillissant, de vieille peau, qu'on traite Macron de cocaïnomane et d'homosexuel, c'est réactif, ma position.
Après, on est ok, je préfère Louis XI, Charlemagne, Napoléon, De Gaulle. Ok.
Mais j'ai essayé de les appeler, chacun, apparemment, ils ont tous résilié leur abonnement chez Orange.
Voilà, donc un peu de realpolitik, de pragmatisme ça fait pas de mal, non plus.
Quant à Talleyrand, c'est pour moi un des esprits qui ne souffre d'aucun complexe envers Sun Tzu, Macchiavelle, ou encore Clausewitz.
Et nommons Thiers, pour les fans.
Vous connaissez le parcours de Talleyrand?
Mort à 88 ans, à une époque, ou nos têtes se décollaient à la trentaine, grâce à Guillotin, qui échappa à la mise à mort par deux fois, qui vendit plusieurs fois ses bibliothèques pour éponger ses dettes de jeux, et qui fila en Amérique, pour échapper encore une fois à la mort, et bien que boiteux, le diablotin passa par la fenêtre, pour échapper aux forces de la terreur.
55 ans de politique.
Il a tout connu.
La rédaction des droits de l'homme, les ordres ecclésiastiques, aristocrate et révolutionnaire, et le précurseur de Paris Match.
C'est lui qui monta de toute pièce le mythe Napoléon, lorsqu'il n'était pas encore général, et qui défit l'empereur, lorsqu'il ne put plus le gérer.
Napoléon ressentit beaucoup d'amertume envers son ex fidèle "de la merde, dans un bas de soie"
Talleyrand, c'est la France.
Tout comme Macron, c'est la France, avec toutes ses imperfections.