• [supprimé]

ciceron8 Gavés par les libéralités "quoi qu'il en coûte" de la période Covid, les Français ont pris goût à la vie d'assistés. Tels des oisillons dans leur nid, ils attendent, bec ouvert, la pitance venant d'en haut.

Raison pour laquelle Macron a décidé que les enseignants seront augmentés dès cette année de 100 à 200€/mois, nets. Les enseignants ce sont environ un million de personnes. Et les oisillons, gavés d'argent public, en oublieront de gueuler. Après avoir acheté les routiers, les personnels aériens et d'autres professions, voilà Macron qui achète la paix sociale de l'EN.

Quoi qu'il en coûte, disais-tu ?

  • stm a répondu à ça.

    [supprimé] Quoi qu'il en coûte, disais-tu ?

    Milliards Covid, pour l'Ukraine, l'UE, l'Afrique du Sud, la Moldavie, les routiers, les enseignants, mais pas pour les retraites !

      Après le report de la visite d'Etat du prince Charles roi isé, voici que l'invitation faite à Tebboune (Président Algérien) est reportée à son tour.
      Ce devait être le 2 et 3 mai.

      Ces journées seront surement consacrées à nettoyer les conenries des tarés du 1er mai

      • stm a répondu à ça.

        Nymo
        La France est le centre du monde, mais personne ne veut y venir.

          • [supprimé]

          stm France est le centre du monde, mais personne ne veut y venir.

          Sauf l'Afrique.

          • stm a répondu à ça.

            ciceron8 Abstraction faite des maladresses de la com à la Macron, il faut bien constater que le pays traverse une phase particulièrement troublée. Gavés par les libéralités "quoi qu'il en coûte" de la période Covid, les Français ont pris goût à la vie d'assistés. Tels des oisillons dans leur nid, ils attendent, bec ouvert, la pitance venant d'en haut. Et ils ne manquent pas de piailler pour manifester leur impatience; certains plus violents s'en prennent rageusement à tout ce qu'ils trouvent sous le bec, y compris leur nid douillet.
            Les mêmes qui aujourd'hui ne veulent plus travailler se plaindront bientôt de leur pouvoir d'achat insuffisant ou de pensions insuffisantes.

            Le macronien de base a juste refoulé la période gilets jaunes pour qui le petit guichetier virtuose s’est fendu d’un gros chèque de plusieurs milliards...
            C’est vrai, une méthode faiblarde qui rend la posture présidentielle maladroite dès l’instant où il s’est déballonné devant les manifestants, après avoir tenté de les châtier, cependant qu’au bout du compte il s’est résolu à jouer à l’homme prodigue qui vient sauver une communauté de français qui a du mal à joindre les deux bouts...

            Le LBD, le 49.3 et la carotte ?

            Une drôle de façon de gouverner. En effet...

              • [supprimé]

              • Modifié

              Je te signale, mon cher brisdeglace, qu'il continue d'être très généreux en distribuant des milliards que la France emprunte sur les marchés. Tu crois que la rallonge qu'il vient de filer aux profs pour les calmer il les a pris sur ses deniers ?

              C'est le président du quoi-qu'il-en-coûte, ne pas l'oublier.

                • [supprimé]

                ça me fait toujours autant rire

                [supprimé]
                Et cela coûte cher aux français ! Le tout dans le but principal de redorer l'image du personnage Macron, et non pour investir dans l'avenir du pays.
                Sauf que redorer un personnage inconsistant, c'est jeter l'or et la finance dans le vide !
                Quel gâchis !

                  • [supprimé]

                  Frimaire

                  C'est très malin d'ailleurs d'augmenter les profs.
                  D'abord ils sont sous payés par rapport aux autres pays de l'Union européenne.
                  De plus il se les met dans la poche et ceux-ci calmeront sans doute les ardeurs des élèves qui veulent manifester

                  [supprimé] il continue d'être très généreux en distribuant des milliards que la France emprunte sur les marchés. Tu crois que la rallonge qu'il vient de filer aux profs pour les calmer il les a pris sur ses deniers ?

                  C'est le président du quoi-qu'il-en-coûte, ne pas l'oublier.

                  Il ne peut gérer que de cette manière...La méthode reste l’unique opportunité de le voir « régner » à coups de boutoir, si ce n’est que cette technique de management est la seule que Macron ait trouvé pour asseoir ce qu’il prétend détenir légalement . Son « autorité présidentielle »...
                  Mais comme sa vision personnelle de la chefferie vient parasiter le sens de la fonction suprême grâce à laquelle il se croit investi de toutes les privautés, il accepte l’augure de la contre-partie pécuniaire afin de calmer la détestation populaire à son endroit, et le charivari franco-français en passe, peut-être, de dépasser les bornes de la désobéissance civique bon enfant. Le bruit des casseroles ?

                  La morgue de Macron n’est pas feinte. Tout comme la colère des Français.
                  Et la mise en scène relevant plutôt d’un mépris de classe pour l’un, et consécutivement d’un affront fait à l’autre, ce spectacle du désordre ambiant pourra se poursuivre si les deux parties veulent seulement ne pas perdre de vue les avantages que ce jeu de mimiques démocratiques leur propose respectivement en terme de légitimités politique et sociale.

                  Finalement, c’est du gagnant/gagnant.
                  Macron ne reste un souverain chez lui que s’il paie la note salée des primes à une citoyenneté contrainte au respect de la solidarité nationale et des intérêts corporatifs dont le lien étroit est conditionné à la confiance que les marchés financiers ont de la dette française.

                  Et le passage forcé aux 64 ans en est l’illustration parfaite...

                  La finance est d'ores et déjà rassurée quant à la dégradation du ratio de solvabilité de l’état français, et l’effet de levier de l’endettement, en dépit des milliards supplémentaires qui obèreront davantage la société en 2027, facilite le ruissellement artificiel affecté au combat contre la précarité sociale et en faveur de la revalorisation du travail sans chercher ailleurs d’autre mécanisme de production de richesse nationale plus pertinent.
                  Cet état est condamné à acquérir, au jour le jour, de l’argent magique avec toujours un minimum de fonds propres .

                  Sans compter la démagogie de circonstance sortie du chapeau de l’illusionniste qui a décidé de faire cadeau de points aux automobilistes pris en flagrant délit de petits excès de vitesse...

                  Le cynisme étant, de part et d’autre, devenu une seconde nature pour faire valoir ses prétentions à exister dès lors qu’un échange de bons procédés délimitent le rapport de force entre celui qui détient les clés de l'éxécutif et de concitoyens susceptibles de le fragiliser, voire de lui confisquer son pouvoir.
                  L’illusion de la toute-puissance présidentielle et la fantasmagorie de la souveraineté populaire...Sachant que nul n’est plus dupe de cette bouffonnade...

                  On ne prête qu’aux riches ?...
                  Alors, pourquoi en être sevré puisque, de toute manière, ce cycle de l’endettement initié par Macron, compte tenu de sa politique de la demande, ne pourra qu’augmenter davantage le découvert astronomique dont le pays est comptable.

                  La dette est passive....Comme la France, s’agissant de son futur.
                  Et ses projets pour les 4 années à venir ? La nation est en chantier...comme une litote pour montrer la photo d’un désordre assumé où chacun devient responsable de son destin...

                  Demain, il fera jour...Mais pour l’instant, il suffit de rester dans la performativité et les mensonges pour se flatter d’avoir voulu semer la ruine chez les prétendus ennemis du progressisme dans un pays qu’un nouveau monde se targuait de repeindre aux couleurs de la concorde nationale.

                  Conséquence de cette course à l’échalote entre le roitelet et les Gaulois réfractaires ?...Les extrêmes ont une meilleure audience, et recueillent aujourd'hui les faveurs des Français.

                    hubert il faut aussi retrouver de la croissance, et donc la confiance,

                    c'est mal parti !

                    • [supprimé]

                    • Modifié

                    Frimaire Le tout dans le but principal de redorer l'image du personnage Macron, et non pour investir dans l'avenir du pays.

                    Je n'aime pas Macron, mais pas au point de croire qu'il ne pense qu'à son image.

                    brisdeglace La finance est d'ores et déjà rassurée quant à la dégradation du ratio de solvabilité de l’état français, et l’effet de levier de l’endettement, en dépit des milliards supplémentaires qui obèreront davantage la société en 2027

                    Il parait qu'il est très attentif à la valeur qu'accordent à la France les agences de notation. Et comme les notes ne devraient pas tarder à tomber, on va pouvoir mesurer l'impact de sa réforme des retraites et du sacrifice qu'il a imposé aux Français.

                    • Nymo a répondu à ça.

                      [supprimé] Il parait qu'il est très attentif à la valeur qu'accordent à la France les agences de notation. Et comme les notes ne devraient pas tarder à tomber, on va pouvoir mesurer l'impact de sa réforme des retraites et du sacrifice qu'il a imposé aux Français.

                      Moody's, c'était le 21 avril
                      Note confirmée

                      la lèche aux gauchistes dans les médias et par quelques chèques suffit.... tant qu'ils seront 50.01% minimum

                      Comme le dit Norbert2, pour la croissance et l'avenir de la France, c'est mal parti !
                      Cela d'autant que Macron, à qui la constitution donne beaucoup de pouvoir, continue de bouder dans son déni des réalités et son mépris des français. Sa crédibilité et sa légitimité sont trop sévèrement écornées pour entreprendre quelques actions que ce soit et restaurer un peu de confiance.
                      A ce stade, en dépit d'une âpre concurrence de la part de ses prédécesseurs, il est en passe de devenir le plus mauvais président de la cinquième république.

                        Frimaire Le plus mauvais a été Mitterrand. Personne ne pourra plus le dépasser il n'y a plus assez d'argent.