@"themis-301"
«Tout ce qui se passe dans l'économie russe n'est pas le tribut de l'affaire de Crimée, c'est le prix de notre État, de notre civilisation. Après la chute du mur de Berlin, nous étions très ouverts envers nos partenaires occidentaux, mais nous avons vu ces partenaires soutenir des terroristes. Il y a toujours des gens en Occident qui sont contre nous, il y a eu des tentatives de discréditer les JO. Qui a besoin de ça? C'est sans fin. Je vous ai déjà parlé [...] d'un ours russe qui vit dans sa taïga, moi-même parfois je me dis que, comme lui, il faudrait se calmer, et manger des baies et du miel, peut-être qu'alors on va le laisser tranquille? Mais non. On va lui mettre une chaîne, l'attacher à une chaise et lui arracher ses griffes. Il ne s'agit pas de la Crimée, il s'agit de notre souveraineté. Vous savez, ils vont l'empailler cet ours! Sur l'ensemble des problèmes de notre économie, 25% viennent des sanctions : soit nous franchissons cet obstacle, soit il ne nous reste plus qu'à accrocher la peau de l'ours sur le mur.»
La conférence de presse de Poutine en décembre 2014 expliquera (à ceux que la version officielle déversée par les USA n'aura pas totalement éteints) quelle est la position de la Russie, quelle a été l'attitude de l'OTAN depuis la chute du Mur.
Est-ce le discours d'un fou, sanguinaire, assoiffé de sang et de victoires, d'un impérialiste sans foi ni loi, dont le seul but est d'anéantir le monde libre, c-à-dire NOUS, pour mieux diffuser en colonisateurs ses esclaves frigorifiés par delà les frontières ?
Mais c'est vrai qu'il ment et qu'il ment parce qu'il est russe, fils de soviétiques : la lie de l'humanité.
Une question intéressante posée par Poutine : et si l'on rendait le Texas et son pétrole au Mexique, qui en a été dépouillé par voie de colonisation ?