Bonjour Constance,
moi, si j'étais président, je prendrais le ministère de l'information et des réseaux sociaux, en cumul, le ministère de l'intérieur, et le ministère de la Justice.
Je rétablirai la peine de mort, pour les opposants politiques et j'interdirai cette tradition française qui veut pardonner le mensonge.
Je trouve que liberté d'expression, et liberté, s'est confondu avec les mots, exaction, sédition, émeutes, tentatives de putsch, désinformation, fake news.
Les gens qui hurlent n'ont rien d'apolitique.
Par provocation, je dirais qu'ils sont fondamentalement, fascistes, catholiques fondamentalistes, zemmouriens et pétainistes.
Je ne vois pas l'utilité qu'ont ces assistés à venir pourrir le quotidien des honnêtes gens, responsables parce que vaccinés, et travailleurs et réfléchis.
Si, la démocratie, signifie, ne laisser la parole qu'à des putschistes enragés, je ne veux plus de cette démocratie.
Avoir fermé les bagnes de l'ILE DE CAYENNE, c'est une grosse erreur.
Les moustiques, comme le virus couronné, avaient au moins le mérite d'apprendre la politesse à de méchants opposants.
Malheureusement, le bagne a été aussi la résidence de beaucoup d'innocents, comme Dreyfus, n'en déplaise à Zemmour.
Mon seul regret, dans le magnifique premier Quinquennat de Macron, est qu'il n'a jamais été fait usage de la force, pour réprimer les terroristes à peau blanche.
Il va de soi que je ne fais aucune différence entre un terroriste islamiste, issu des quartiers immigrés, et un enragé souchien, ne sachant même pas écrire le français correctement, aviné, violent et frustré par la défaite de la super intelligente Le Pen en 2017