Bonjour, Avec l'augmentation du cout des énergies en grande partie insufflée par les écolos, tout ce qui est dérivé du pétrole va fortement augmenter. Cette augmentation des prix fait déjà ses effets avec l'obligation d'augmenter les salaires pour l'instant de manière sectorielle. L' objectif de la Banque Centrale d'une inflation à 2% est largement dépassé cependant les taux sont maintenus bas. A votre avis l'inflation en France peut-elle générer des troubles sociaux, une sorte de remake des gilets jaunes ? Aurons-nous droit à des grèves de la pénurie comme dans les pays pauvres ? Cordialement.

Bien sûr que nous allons avoir une pénurie d'électricité puisqu'aucun gouvernement n'a eu le courage de lancer une nouvelle vague de centrales nucléaires. Apparemment, il n'y a pas eu assez de vent cette été...c'est ballot, je vais de ce pas détruire un temple dédicacé à Eole!

Jiminy Bonjour, Ce que j'observe est que l'inflation s'installe et que le projet écolo de changer le climat ajoute à cela un risque de pénurie. Il faut bien comprendre qui si les dirigeants abondent dans le sens d'une réduction de la consommation d'énergie les producteurs d'énergie en profitent pour augmenter fortement les tarifs afin de parer à la baisse de recettes. De plus il est guère possible de concevoir de la croissance avec une baisse de la consommation d'énergie. Ce qui arrive va être ce à quoi ont contribué tous les faiseurs de verdure c'est à dire de l'inflation et de la paupérisation. Si une décroissance devient un objectif stratégique il s'agit alors de provoquer le plus gros krach boursier que l'on redoutait. Je ne pense pas que ce genre de situation soit à ce point acceptable pour éviter les caprices de la météo. Cordialement.

[supprimé] je ne pense pas que le prix du pétrole et du gaz soit lié à la vitesse du vent. Votre Linux buggé sérieux, changez de logiciel.

[supprimé] Bonjour, Si vous dîtes aux producteurs d'énergie que vous allez réduire votre consommation ces derniers augmenteront les prix pour compenser les pertes et ce qui va vous conforter dans votre réduction de consommation. Le problème est que dans ce jeu de l'offre et la demande, c'est le manque d'élasticité. Face à ces hausses la seule chose que l'on entend c'est serrer vous la ceinture. Je pense qu'au bout d'un moment les gens en auront ras le bol. Il aurait fallu soumettre au Peuple deux orientations possibles : -soit vous acceptez les contraintes futures avec ce qu'elles impliquent pour lutter contre le climat sans garantie de résultat. -soit vous acceptez le risque climatique avec tous ses aléas mais sans contraintes ajoutées. Seulement comme les nations sont dirigées par des institutions internationales il n'y a aucune possibilité de soumettre les grandes décisions au peuple. Ceux qui pensent que c'est l'Allemagne ou l'UE qui dirigent se trompent par rapport au poids écrasant des organisations et des institutions internationales réunies ( BCE, FED, OMC, FMI, ONG , G7, G20 etc ...) Tous ces organismes accouchent finalement d'un chef d'oeuvre qui est l'inflation écologique. Cordialement.

[supprimé] Bonjour , je ne suis pas d'accord quand vous affirmez que l'Allemagne et l'UE n'y sont pour rien . Bien au contraire . https://www.lesechos.fr/industrie-services/energie-environnement/prix-de-lelectricite-le-maire-juge-le-systeme-europeen-obsolete-1349509 https://www.contrepoints.org/2021/06/17/399712-energie-lallemagne-attaque-la-france-et-menace-lunion-europeenne Les autres organisations que vous citez , bien sur , font partie du problème . Mais ces 2 là nous l'accentue encore , le nucléaire Français était destinée a éviter ce genre de situation , mais ca ne sert plus à rien tant qu'on restera avec eux. Avez vous remarqué au passage qu'aucun candidat déclaré a la présidentielle ne s'émeut de la situation actuelle ? Ou même en parle ? Pour moi , c'est la preuve ultime qu'ils en ont mais rien à faire des gens

Bonjour Zenon, l'inflation actuelle n'est pas spécifique à la zone euro, le Brésil semble particulièrement impacté également. Il semble bien que l'ogre chinois, avec son redémarrage en trombe, comparé aux pays occidentaux crée une tension énorme sur le marché énergétique. Il faut dire que rien qu'en 15 ans, ils ont plus que doublé leur consommation d'énergie par habitants, et on parle d'un pays de 1,4 milliards d'habitants, ça ne peut pas ne pas déstabiliser le marché de l'énergie. Il est vrai en revanche que les contraintes écologiques en Chine atteigne l'industrie avec des pénuries d'électricité et un choc sur l'approvisionnement en charbon.

Le pétrole, et donc le gaz, avaient baissé du fait de l'exploitation des schistes. Mais la rentabilité de ces exploitations est en baisse. La reprise post covid a fait le reste, entre autre, en Chine, comme le souligne Tieum à juste titre. Pour ce qui est des tarifs d'EDF en France, il faut savoir que cette société est lourdement endettée. Elle est aussi contrainte de vendre à perte aux concurrents, tout en investissant dans le renouvelable, qui n'est pas rentable. EDF va aussi devoir payer la remise en état de ses vieilles centrales, la construction de nouveaux EPR, le démantèlement des réacteurs trop dangereux pour être réparés.

[supprimé] Bonjour, Oui c'est vrai l'Allemagne n'est pas si amicale avec la France sur cette question de l'énergie. Mais bon les grands acteurs de la mondialisation sont plutôt à rechercher dans les organisations et institutions internationales. Ces derniers dressent les pays occidentaux à l'écologie tout comme ils peuvent décider de bannir la Russie ou que sais-je encore la Syrie ou l'Iran des échanges internationaux. A elle seule une nation Européenne ne pèse pas lourd face à la gouvernance mondiale et on comprend facilement le rejet que cela suscite chez les nationaux. Cordialement.

[supprimé] Bonjour, Ce fameux redémarrage en trombe de la Chine que vous citez n'est pas vérifié sur les marchés financiers. Il y a une baisse de la croissance Chinoise même si elle dépasse de loin la morosité Européenne en dehors du phénomène repli / reprise de 2020-21. Bref de là à faire suer tous les Français avec cette lutte contre la météo c'est excessif. Et le pire c'est que cela aboutit à un surenchérissement des couts répercutés sur tous les domaines de production. A terme c'est une inflation terrible qui ponctue cette politique de resserrement énergétique sans parler de la grogne sociale qui cherchera son salut dans les partis extrêmes. Cordialement.

Les banques centrale ont émis des tombereaux de monnaies mais en face de cette argent les biens et ressources physiques sont limitées, donc pour chaque ressource réelle il faut mettre en face de plus en plus de monnaie.

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L'inflation s'installe

[supprimé]

Bonjour,

Il n'y aura pas de relève des taux d'intérêts. On en parle mais ça reste de la parole. Les avantages acquis des taux bas voir négatifs sont tels qu'il est impossible d'y renoncer au profit d'un resserrement du crédit. Il y aura toujours un prétexte pour maintenir les taux au plus bas. Si ce n'était pas le cas la BCE aurait du remonter les taux vu que selon ses propres estimations les objectifs d'inflation sont largement dépassés.

Cordialement.

bianchi51

[supprimé]
Au contraire, j'avais cru comprendre que les taux ne pourraient pas être aussi bas éternellement.

[supprimé]

bianchi51 Bonjour,

La BCE va laisser courir l'inflation pour éviter la chute des cours en bourse. Seuls les Américains remonteront leurs taux car aux Etats-Unis le marché obligataire est plus préservé. Les dettes souveraines Américaines sont obligés de conserver leur valeur aux yeux des investisseurs étrangers. Par contre ce n'est pas ainsi en Europe où les investisseurs dans les dettes souveraines sont spoliés. Pour les fonds de pension étrangers il faut à tout prix éviter d'investir en Europe mais aux Etats-Unis.

Cordialement.

[supprimé]

D'ordinaire, les banques centrales font grimper les taux lorsque l'économie s'échauffe.

Or depuis que le COVID nous joue des tours, des sketch et des variants, l'économie '(et le futur de l'économie) peine, non seulement à y voir clair, mais ensuite à redémarrer sereinement.

On a vu également le baril s'enflammer puis retomber dès la nouvelle de l'apparition du variant Omicron.

Les taux remonteront, oui, mais une fois que l'économie sera stabilisée ou suffisamment rassurée quant à une sortie réelle de la pandémie de Damoclès.

l'entité "Madame Economie " a très très mal pris, l'arrêt net soudain et planétaire que la virulence de Monsieur Covid a projeté comme un gros glaçon sur l'économie mondiale

[supprimé]

[supprimé] Bonjour,

Le maintien des taux bas en Europe ne dépend pas de la pandémie, c'est naïf de le croire. Cette politique des taux écrasés date de bien avant le Covid depuis la dernière crise de 2008. Donc il n'y aura jamais une "économie suffisamment rassurée" c'est à dire un prétexte permanent pour maintenir des taux qui facilitent les marchés boursiers au détriment des populations et de l'épargne. La mauvaise foi est de rigueur à la BCE sur cette installation de l'inflation. Mais pas aux Etats-Unis.

Cordialement.

[supprimé]

Eh bah les taux bas , c'est fini aussi en Europe ! La BCE va suivre la FED , 3 hausse de taux pour 2022 . L'Allemagne jubile , elle va pouvoir imposer la fameuse politique des 3% de déficit à toute l'Europe , à commencer par la France et l'Italie , et de manière direct et immédiate .

Préparez vos ceintures , ca va secouer dès Janvier

[supprimé]

[supprimé] Bonjour,

Suite au relèvement des taux de la Fed pour 2022 2023 la BCE par contre garde ses taux inchangés malgré l'inflation. Les Anglais et les Canadiens ont aussi prix des mesures de relève des taux face à l'inflation. Mais en Europe la BCE n'arrive pas à prendre ces mesures. Donc l'inflation à terme sera plus forte en Europe que dans les autres pays. L'Europe sera la lieu de la spoliation des épargnants mais pas les Etats-Unis ou l'Angleterre. Lagarde n'arrive pas à se détacher de la planche à billets à taux négatifs. Le Quoi qu'il en Coute ne gonflera pas la charge de la dette publique si il a été financé à taux négatif.

Cordialement.

Sboube

Je crains aussi qu'avec la reprise de l'inflation les taux remontent et avec nos presque 2800 milliards de dette ça va se compliquer !
Pour donner des ordres de grandeur : un taux à 5% nous obligerait à payer 140 milliards d'intérêt par an... soit plus que les plus gros budgets des ministères...

Et bien sûr sans rembourser un centime de la dette elle-même... pas réjouissant tout ça dont les conséquences dont du "quoi qu'il en coûte..."

[supprimé]

Je suis totalement d'accord avec votre analyse . Mais cette décision de la BCE de rien changer met Olaf et ses sbires multi couleurs dans une situation très délicate . Eux qui voulaient exiger des autres pays une rigueur budgétaire , c'est raté . L'option d'un Deutschexit n'est pas à exclure

[supprimé]

[supprimé] Bonjour,

C'est possible un Deutschexit car la situation financière en Allemagne est très pénalisante avec des taux courts et longs en négatif sur une période de 50 ans. Dans une telle situation la possibilité d'endettement est telle qu'elle dépasse tout ce que l'on peut escompter comme retour de croissance. C'est la situation inflationniste pilotée par la BCE qui devrait alerter au moins les Allemands. La poursuite des taux négatifs sur les dettes souveraines Européennes décourage tous les fonds de pension qui auront plus d'intérêt sur la dette Américaine. La FED ne veut pas d'obligations d'état qui ne valent rien afin d'attirer des investisseurs comme les Chinois par exemple.

Pour les Allemands la situation est dure puisqu'il y a abandon du critère budgétaire de 3% plus une situation financière où l'Etat Allemand ne vaut plus rien par le jeu de la BCE depuis la faillite Grecque. Cette faillite Grecque a par ailleurs précipité le Brexit, les Anglais ne voulaient pas payer les dettes Grecques. Pour les Allemands ça va être encore plus dur avec Macron qui va diriger à son tour l'UE donc plaider pour toujours plus d'assouplissement monétaire vu l'endettement Français.

Cordialement.

[supprimé]

J'aurais pas mieux fait comme analyse . Ya même des détails que je connaissait pas du tout . Donc au final , ca va quand meme secouer , parce que le Olaf il va se suicider politiquement si il fait rien et perdre toute crédibilité , même pas 1 mois après son accession au pouvoir . L'Allemagne , ca a toujours été un piège , et la France joue gros : Si elle sort de l'UE et de l'Euro avant nous , alors on coulera à pic , si c'est l'inverse , c'est eux .

[supprimé]

[supprimé] Bonjour,

Ce qui surprend est l'exagération faite au sujet d'une remontée des taux. On peut raisonnablement penser que des taux à 1% par rapport à 0% ou -x % ne constitueraient pas une menace sérieuse sur les placements en bourse. Les marchés pourraient très bien bien supporter une faible augmentation des taux afin de ne pas se laisser dépasser par l'inflation. Mais ce blocage traduit en fait une volonté d'inflation que je pense inutile et socialement nuisible. Je ne vois pas où est le triomphe à ruiner les épargnants et à précipiter une forte hausse des prix tous secteurs confondus. Peut=être pour amortir le quoi qu'il en coute ?

Cordialement.

[supprimé]

Bonjour,

Visiblement la BCE a dépassé ses objectifs d'inflation sans réaction appropriée. La FED aux USA s'est montrée plus courageuse. Cette forte augmentation des prix qui va déferler n'est pas que la conséquence du prix du pétrole qui a bon dos mais surtout le résultat d'une décennie d'injections de liquidités sur les marchés. Cela a fait le bonheur des investisseurs seulement les catégories modestes en payent le prix. On n'aime pas l'austérité mais l'inflation est-ce plus avantageux ? Dans l'austérité ce sont les dépenses de l'état qui sont réduites tandis que dans l'inflation c'est le pouvoir d'achat qui est réduit. Ensuite peut-on soutenir que la réduction du pouvoir d'achat est une aubaine pour la lutte contre le CO2 ?

Cordialement.

[supprimé]

[supprimé] Visiblement la BCE a dépassé ses objectifs d'inflation sans réaction appropriée. La FED aux USA s'est montrée plus courageuse. Cette forte augmentation des prix qui va déferler n'est pas que la conséquence du prix du pétrole qui a bon dos mais surtout le résultat d'une décennie d'injections de liquidités sur les marchés.

Absolument pas!

Mais bon...
donc, durant la pandémie... et les confinements, nos chers français ont thésaurisé 170 milliards d'EUros

Maintenant que les portes se ré ouvrent, ça consomme à tout va.
De plus, l'économie repart, globalement
De plus, les différents contextes font grimper les prix du gaz à des niveaux inattendus.
On parle même de choc gazier.
Or, lorsque les prix de l'énergie grimpent, les prix des légumes aussi, parce qu'il faut les transporter les légumes, à coup de carbone.

Bref..
votre histoire d'injection de liquidité n'est en rien responsable de la hausse soudaine de l'inflation.
Comme vous le dites, ça fait plus de 10 ans que ça injecte à tout va (rappelez vous l'ère Greenspan.)

En revanche, la reprise violente de l'inflation, c'est maintenant, ça ne fait pas une inflation galopante depuis 10 ans.

Pardon pour cette rectification, l'ami.

[supprimé]

[supprimé] Bonjour,

Vous êtes un sacré plaisantin. La BCE a injecté des milliards de liquidités pendant 10 ans avec comme but affiché de produire de l'inflation et vous vous soutenez que cette démarche n'a aucune incidence sur l'inflation. Vous devez penser qu'à la BCE ce sont des menteurs ! Au bout de 10 ans d'injection de liquidités on peut raisonnablement pensé que cela ne reste pas sans conséquence. Il y a des limites aux supercheries.

Cordialement.

[supprimé]

[supprimé] Vous êtes un sacré plaisantin. La BCE a injecté des milliards de liquidités pendant 10 ans avec comme but affiché de produire de l'inflation et vous vous soutenez que cette démarche n'a aucune incidence sur l'inflation.

nan nan nan...
Je dis juste que votre inflation galopante, c'est maintenant! récemment

Ne tentez pas de me dire que l'inflation vit un rebond depuis 10 ans.

L'inflation actuelle est la résultante de plusieurs facteurs.
Un facteur essentiel, y a eu 170 milliards d'épargne en France pendant les années Covid, et ça se lâche maintenant.
Ce qui est très bon pour la consommation, mais ça donne de la fièvre à l'inflation.

les autres incidences que j'ai évoquées.(conjoncture géopolitique et hausse du gaz, reprise économique mondiale, et bonheur de sortir du covid...)

Bonne soirée

[supprimé]

[supprimé] Bonjour,

Vous ne connaissez rien du tout de la macro-économie financière, en donnant des explications simplistes de l'inflation. Ca ne m'étonne pas :arriver à voir les erreurs des institutions financières c'est pas à la portée d'un petit macroniste. On a beau rappeler à la crise de 1929 suite à l'explosion du crédit des années folles, rien n'y fait. A fond les manettes.

Cordialement.

[supprimé]

[supprimé] pas à la portée d'un petit macroniste

okaay, donc avec vos brillantes démonstrations, vous allez parvenir à me soutenir que l'inflation galopante nous frappe depuis une dizaine d'années, en conséquence de la politique monétaire de la Banque centrale Européenne?
Et ben bravo monsieur.
Fortiche, là..
Pardon, mais vous dites n'importe quoi.

De même, je n'ai pas infirmé ce que vous avez dit concernant cette fameuse politique monétaire BCE, j'ai simplement dit, qu'avant cette phase récente inflationniste, nous n'avions pas rencontré d'inflation particulièrement marquée.

Celle que l'on vit actuellement est une incidence de plusieurs facteurs.
Mais si ça vous plait d'insulter (petit macroniste, explications simplistes,...) à votre guise. Ce que vous disiez est soit incomplet, soit à coté de la plaque.
Le fait que les français aient épargné durant deux ans une quantité très importante d'argent, combinée à une situation géopolitique et un marché gazier spécifique (besoins d'énergie en pleine phase de politique décarbonée) ce sont les facteurs qui ont fait bondir cette inflation.
Clamer sans arrêt "c'est à cause de la politique de la BCE" ne changera pas grand chose à cette réalité.

[supprimé]

L'inflation lorsque les taux sont faibles, ça donne des taux réels négatifs, qui font diminuer le poids de la dette publique comme par enchantement.
Il ne faut sans doute pas chercher beaucoup plus loin les raisons de la politique monétaire actuelle...

[supprimé]

[supprimé] Bonjour,

Le problème c'est l'effet pervers de cette diminution du poids de la dette publique par des taux négatifs qui finit par encourager l'endettement public. Dans un autre registre l'augmentation des recettes fiscales peut pourvoir au désendettement mais là encore avoir l'effet inverse en présentant une garantie pour emprunter plus, c'est à dire s'endetter plus.

Cordialement.

[supprimé]

[supprimé] Bonjour,

Vous racontez n'importe quoi. Je n'ai pas dit qu'il avait eu une inflation galopante pendant 10 ans mais que pendant 10 ans la BCE a poussé pour que l'on atteigne un objectif de 2% d'inflation. Et que maintenant avec 5,1% d'inflation aucune mesure correctrice n'est prise par la BCE ce qui se répercute de plein fouet sur le pouvoir d'achat des ménages. Macron est dépassé dans cette situation qui dépend des institutions financières internationales. Il fait ce qu'il peut avec des chèques inflation.

Cordialement.

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