Que la charité ait ses limites, peut-être. C'est un sujet de réflexion en soi qui mérite mieux que quelques phrases de commentaire.
Dans cette affaire criminelle il me semble que c'est la faillite, déjà observée bien des fois ces temps-ci, de notre système judiciaire qui est en cause. Et en particulier le traitement de l'immigration clandestine et du détournement du droit d'asile.
Ni la charité ni la bonté d'un prêtre, ni les principes essentiels du catholicisme ne sont la cause de ce crime.
Ou alors il faudrait admettre que les victimes de criminels sont responsables de ce qui leur arrive. Singulière perversion de la pensée.
Le titre de ce post est-il simplement maladroit- je l'espère- ou s'agit-il d'une énième critique malveillante et sournoise des catholiques?
Je ne tranche pas.