blobfish
Ton obsession victimaire qui proclame qu’un homo ne sent bien que dans l’affirmation d’une particularité sexuelle qui lui sert de bannière, semble t’amener vers des raisonnements étranges.
Le premier article de la Déclaration des Droits de l’Homme que tu évoques, dit deux choses.
La première est que tous les hommes naissent et demeurent libres et égaux en Droit. Quel est le Droit qui serait refusé aux homos ? Aucun. Et lorsqu’il y avait des points non encore résolus sous l’angle règlementaire, en matière de succession ou d’héritage par exemple, il y avait nombre de possibilités de contourner l’obstacle. C’est la spécialité des notaires.
La seconde est que les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune. En quoi les mœurs et la règlementation française actuelles, contreviennent-elles à cet article ?
Dans nombre de professions, le nombre d’homos par rapport à la population générale est nettement plus élevé que les pourcentages d’homos pourraient le laisser supposer. Le contraire de ce que tu prétends.