bien fait, la pendaison ne fait pas gigoter, les vertèbres se brisant à l impact..

s ils représentent un danger mortel pour la société : OUI sans aucun problèle

si tes envies de mourir sont grandes tu n as qu à filer tes gosses à des pédophiles repentis..

tu me donneras tes sentiments après

De nouveau la justice n'est pas une question de sentiments ....

c est une question de quoi alors?

Protection de la société par exemple...

donc retablissons la peine de mort c est la methode la plus efficace pour eviter recidive

donc retablissons la peine de mort c est la methode la plus efficace pour eviter recidive
Si la peine de mort était une méthode efficace pour protéger la société, les pays qui l'appliquent le plus seraient les plus sûr. Or ce n'est pas le cas.

  • [supprimé]

les lois des châtiments corporels de la Shariah islamique seraient adoptées en majorité par les français, à coup sûr

c'est bien beau un séjour en prison mais elle n'est plus dissuasive. Il faut faire mal maintenant. C'est le seul moyen.

Rectification.

Seraient adoptées en majorité par les français ED divers et variés, ceux-là mêmes qui dénoncent l'islam et sa charia.

Mais serait refusée par les gochiottes avariés ce qui rétablit l'équilibre avec les fachos confirmés.

si le japon est l un des pays le plus sur au monde
Et la peine de mort y est beaucoup moins appliquée qu'aux États-Unis, qui n'est pas l'un des plus sûr. Donc il n'y a pas de lien direct entre peine de mort et sécurité.

donc retablissons la peine de mort c est la methode la plus efficace pour eviter recidive

Et aussi celle de tuer des innocents ...

De nouveau la justice n'est pas une question de sentiments ....

Tu sais qu'à la base, mettre un criminel en prison est issu de la même motivation et justification que son exécution ?

Que dit-on dans ce cas : " il faut l'isoler de la société ". " Il est dangereux pour la société, il faut l'en éloigner". Pour la peine de mort c'est le même principe. Mais plus définitif, car considéré comme le crime de non-retour.

La peine de réclusion à perpétuité part du même principe, à savoir l'éloigner de la société définitivement. Fondamentalement, il n'y a pas plus d'émotions dans la motivation de la sanction capitale, que dans la sanction d'enfermement. Après t'as toujours les lambdas, la foule, qui elle est effectivement dans les sentiments et les exprime (tu notes d'ailleurs que pour eux seul le meurtre d'un enfant est grave, comme s'il n'y avait que ça qui devait être sanctionné le plus sévèrement possible), mais la sanction judiciaire, qu'elle soit mortelle ou liberticide, part de la même motivation rationnelle, et froide.

Enfermer un criminel à vie, c'est prendre le risque qu'il récidive, y compris en prison : contre un gardien, une infirmière, un autre prisonnier. En cas d'évasion, contre un citoyen lambda en dehors de l'enceinte carcérale. Si on prend le risque (même minoritaire) dans ce cas, je ne comprends pas l'objection dans le cas inverse, de refuser de prendre le risque (minoritaire aussi) de procéder à l’exécution d'un innocent, tout en accomplissant majoritairement le même but que l'enfermement.

si le japon est l un des pays le plus sur au monde
Et la peine de mort y est beaucoup moins appliquée qu'aux États-Unis, qui n'est pas l'un des plus sûr. Donc il n'y a pas de lien direct entre peine de mort et sécurité.

comparons ce qui est comparable le japon avec ou sans peine de mort

les usa avec peine ou sans peine de mort

et la on pourra voir si la peine de mort fait chuter ou pas la recidive

De nouveau la justice n'est pas une question de sentiments ....

Tu sais qu'à la base, mettre un criminel en prison est issu de la même motivation et justification que son exécution ?

Que dit-on dans ce cas : " il faut l'isoler de la société ". " Il est dangereux pour la société, il faut l'en éloigner". Pour la peine de mort c'est le même principe. Mais plus définitif, car considéré comme le crime de non-retour.

La peine de réclusion à perpétuité part du même principe, à savoir l'éloigner de la société définitivement. Fondamentalement, il n'y a pas plus d'émotions dans la motivation de la sanction capitale, que dans la sanction d'enfermement. Après t'as toujours les lambdas, la foule, qui elle est effectivement dans les sentiments et les exprime (tu notes d'ailleurs que pour eux seul le meurtre d'un enfant est grave, comme s'il n'y avait que ça qui devait être sanctionné le plus sévèrement possible), mais la sanction judiciaire, qu'elle soit mortelle ou liberticide, part de la même motivation rationnelle, et froide.

Enfermer un criminel à vie, c'est prendre le risque qu'il récidive, y compris en prison : contre un gardien, une infirmière, un autre prisonnier. En cas d'évasion, contre un citoyen lambda en dehors de l'enceinte carcérale. Si on prend le risque (même minoritaire) dans ce cas, je ne comprends pas l'objection dans le cas inverse, de refuser de prendre le risque (minoritaire aussi) de procéder à l’exécution d'un innocent, tout en accomplissant majoritairement le même but que l'enfermement.

Ce n'est qu'une question de choix philosophique et moral :

- Si on tue un coupable on est certain qu'il ne récidivera pas

- Si on tue un innocent on est certain de commettre un meurtre.

Une société de droit peut difficilement assumer le risque de commettre un meurtre alors elle préfère prendre celui de la récidive.

Ce n'est qu'une question de choix philosophique et moral :

C'est donc toi qui est plus proche des sentiments, dans ta vision de la Justice. Tu ne veux pas te sentir coupable, alors tu ne prends pas les risques. Prendre un risque ou pas, relève aussi des sentiments (et des émotions) : peur / regret / appréhension.

Quand on prend un risque, on le prend complètement. Quand on ne le prend pas complètement, c'est parce qu'on est bloqué par des sentiments.

Ce n'est qu'une question de choix philosophique et moral :

C'est donc toi qui est plus proche des sentiments, dans ta vision de la Justice. Tu ne veux pas te sentir coupable, alors tu ne prends pas les risques. Prendre un risque ou pas, relève aussi des sentiments (et des émotions) : peur / regret / appréhension.

Quand on prend un risque, on le prend complètement. Quand on ne le prend pas complètement, c'est parce qu'on est bloqué par des sentiments.

Ce n'est pas une question de sentiments mais de cohérence, une société de droit ne peut pas prendre le risque de commettre un meurtre.

La culpabilité n'a rien à voir la dedans, d'autant que l'on pourrait aussi se sentir coupable de n'avoir pas tout fait pour empécher la récidive. ;)

Ce n'est pas une question de sentiments mais de cohérence, une société de droit ne peut pas prendre le risque de commettre un meurtre.

Si ce "meurtre" est effectué dans un cadre légal, c'est qu'on est dans une société de droit. Ce n'est donc pas un meurtre.

Autrement on peut considérer qu'on prend trop de risques avec la chirurgie, et si une dérape, c'est que la société se rend coupable de mise en danger d'autrui, non assistance à personne en danger, puisque la société de droit encadre l'hospitalisation.

De même la société de droit se rend coupable d'enlèvement et de séquestration, si elle enferme pendant 20 ans un innocent en prison.

Tu vois bien que la société et la Justice ne peuvent pas être accusées de la même manière qu'un individu, c'est insensé. L'organisation de la société implique obligatoirement de prendre des risques vu la couverture globale de son organisation.

donc retablissons la peine de mort c est la methode la plus efficace pour eviter recidive
Si la peine de mort était une méthode efficace pour protéger la société, les pays qui l'appliquent le plus seraient les plus sûr. Or ce n'est pas le cas.

***On se calme! Hans***

Il ne faut pas comparer les pays entre eux, mais un même pays avec et sans la peine capitale.

Ce n'est pas une question de sentiments mais de cohérence, une société de droit ne peut pas prendre le risque de commettre un meurtre.

Si ce "meurtre" est effectué dans un cadre légal, c'est qu'on est dans une société de droit. Ce n'est donc pas un meurtre.

Autrement on peut considérer qu'on prend trop de risques avec la chirurgie, et si une dérape, c'est que la société se rend coupable de mise en danger d'autrui, non assistance à personne en danger, puisque la société de droit encadre l'hospitalisation.

De même la société de droit se rend coupable d'enlèvement et de séquestration, si elle enferme pendant 20 ans un innocent en prison.

Tu vois bien que la société et la Justice ne peuvent pas être accusées de la même manière qu'un individu, c'est insensé. L'organisation de la société implique obligatoirement de prendre des risques vu la couverture globale de son organisation.

Une exécution a pour objectif de tuer un coupable pas un innocent.

Une chirurgie n'a pas pour objectif de tuer mais au contraire de sauver, tu ne peux pas comparer les deux.

Bien sur que la société se rend coupable de séquestration dans le cas d'un innocent, mais le "délit" est moins grave car il peut être "réparé", c'est donc plus facile à assumer pour la société.

Il ne s'agit d'accuser de la même manière une société et un individu mais de tendre vers plus de cohérence même si on n'atteindra jamais un résultat parfait.

si le japon est l un des pays le plus sur au monde
Et la peine de mort y est beaucoup moins appliquée qu'aux États-Unis, qui n'est pas l'un des plus sûr. Donc il n'y a pas de lien direct entre peine de mort et sécurité.

*** On a dit: ON SE CALME - D.R. ***

Les japonais aux USA ont des comportements criminogènes faibles.

donc retablissons la peine de mort c est la methode la plus efficace pour eviter recidive
Si la peine de mort était une méthode efficace pour protéger la société, les pays qui l'appliquent le plus seraient les plus sûr. Or ce n'est pas le cas.

***

Il ne faut pas comparer les pays entre eux, mais un même pays avec et sans la peine capitale.

Ce qui est débile aussi dans la mesure ou il faudrait, pour pouvoir comparer honêtement, que la peine de mort soit le seul et unique paramètre qui ait été modifié.

Ce n'est évidement jamais le cas...

Donc, il est impossible de comparer et par conséquence de conclure quoi que ce soit à ce sujet.