James Ce qui est inacceptable, c'est la faute d'orthographe dans "on va violé ta mère".
Outre la faute d'orthographe, je pense que l'auteur des tags, à défaut de pouvoir obtenir une relation sexuelle consentante avec une fille valable en est réduit à fantasmer un viol.
Allah n'interdit pas de provoquer des bouchons sur l'autoroute pour faire le kéké, semble-t-il.
Vu l'état de la voiture louée pour l'occasion, ça va leur coûter bonbon. 
C'est ce qu'on appelle un happy end !
Quelle idée d'avoir donné le volant à la mariée!!!
Le fin mot de la triste histoire de Mouloud au volant de sa Lamborghini en location.
Il avait bloqué l’autoroute pour un mariage, le conducteur abîme sa Lamborghini et finit en prison.
Selon les précisions d'Actu.fr, alors qu'il approchait le centre hospitalier de Lens, le conducteur du bolide affichait déjà une vitesse de 230 kilomètres/heure. Cela n'a pas empêché les policiers à moto de le prendre en chasse. Alors que l'homme a continué d'accélérer, atteignant les 256 kilomètres/heure, les policiers se sont fait assister de la brigade anti-criminalité, et ont même déployé des herses pour tenter de l'arrêter. Sans succès. Ce n'est que lorsque le chauffard est sorti de l'autoroute qu'il a percuté un feu tricolore avant de finir sur un terre-plein.
[...]
Pour ce mariage, plusieurs invités étaient visiblement au volant de gros bolides, loués pour l'occasion. La Lamborghini Huracán Evo accidentée serait la propriété d’une société de location belge, selon La Voix du Nord. Sorti en 2019, le bolide de 640 chevaux coûte environ 250.000 euros. Sa location pour un week-end avoisinerait les 4.000 euros, sans compter la caution estimée à plusieurs dizaines de milliers d'euros.
Selon le quotidien régional, le contrat de location belge prévoyait le remboursement total du véhicule en cas d'accident.
En plus sobre. La Zoubida en scooter doré.
De toute façon, toutes les voitures et les motos devraient être bridées à 130km/h pour commencer et celui qui s'amuserait à les débrider, ce serait prison direct, ça en ferait réfléchir certains.
[supprimé]
Je suis étonnée que des sociétés de location louent des bagnoles pareilles à des tarés dont on sait ce qu'ils vont en faire lors de mariages!
La société ne récupèrera jamais son fric et je ne les plains pas!
La société de location belge s'empressera assurément d'encaisser la caution de plusieurs dizaines de milliers d'euros.
[supprimé]
Oui mais c'est une bagnole qui coûte 250000€!
C'est simple, pour le remboursement de la somme restante, Mouloud et sa smala se serreront la ceinture en se privant de kebabs et de voyages au bled jusqu'à la fin de leurs jours.
Et je pense qu'ils doivent être assurés.
Même pas un aller simple au bled ?
Je ne pense pas. Si le gars n'est pas solvable (l'argent de trafics de came ne compte pas), il ne paiera rien du tout. Les assureurs vont s'entendre entre-eux, plus ou moins, et l'honnête citoyen verra le montant de sa prime augmenter.
Les honnêtes citoyens, comme tu dis, pour beaucoup, défendent ce genre de racaille à cause des droits de l'homme et de l'antiracisme.
Si ils veulent payer, qu'ils le fassent.
Le problème c'est qu'ils veulent, ces bobogogo, que tous les citoyens honnêtes payent.
En Allemagne il y a des portions d'autoroute "No limit".
Deux autres voitures du cortège ont eu à légèrement souffrir de la conduite sportive de nos champions du jour.
Défense de rire.
ps : je ne parviens pas à dissocier les deux tweets.
Encore un fait divers où des racailles veulent mettre les femmes au pas dans la rue!! Ils les insultent mais si une d'entre elles a le malheur de ne pas baisser la tête et de répondre ils la tabassent! Voilà la société future française!La soumission selon Houellebecq va être la règle!
Les truffes ! Des Gaulois réfractaires à la géographie. Quel fou-rire !
Alors qu'ils avaient atterri le matin du match sur le sol roumain, ils n'ont pas pu faire machine arrière une fois leur erreur réalisée.
Ils ont en effet pensé que les couleurs jaune et bleu de l'Ukraine étaient celles de la Hongrie, et n'ont réalisé leur erreur qu'au moment où un journaliste roumain est venu les interviewer, s'étonnant de les voir présents. (Le Progrès)
