Ce qui saoulant avec le Covid-19, c'est les chiffres balancés tous les jours : 22666 cas et 311 décès, 21444 cas et 199 décès, etc.
Dans mon entourage direct (famille, amis) et indirect (collègues, connaissances), on compte 1 décès Covid (âgée de 88 ans) et quelques cas avérés (deux "longs" avec séquelles et une demi-douzaine avec juste des symptômes pendant 2 jours à 3 semaines et en pleine forme après).
Pour rappel le tabac tue environ 75000 personnes par an en France, soit une moyenne de 205 par jour. Pourtant on ne nous balance pas des courbes au jour le jour avec le nombre de morts. Et ça se vend librement, j'ai encore acheté un paquet de Dunhill tout-à-l'heure.
Tout ce bordel c'est surtout évidemment car le nombre de lits en hôpital n'est pas suffisant et donc qu'il faut à tout prix juguler les flux de patients. Mais effectivement comme dit plus haut par un autre contributeur il y a eu sur-natalité entre 1945 et 1950 ("baby-boom") et ces personnes ne sont pas éternelles. À tout moment quand on a 75 ans, 80 ans, 90 ans, on peut décéder d'une crise cardiaque, d'une chute dans les escaliers, d'une grippe saisonnière et désormais du Covid. Avec une vie saine, la probabilité diminue. Et encore, parmi les cas dans mon entourage indirect, il y avait une trentenaire sportive et un quinquagénaire végétarien et sportif.
Les libertés publiques sont bafouées depuis un an (fermeture des lieux de culture et de convivialité, port obligatoire du masque-muselière, confinement et couvre-feu,...) et quand on perd des libertés il faut savoir qu'on ne les récupère jamais vraiment. Tout cela a été plus ou moins accepté par le bon peuple docile. A moyen terme, ceux qui n'accepteront pas l'injection en mode cobaye risquent de devoir renoncer à toute vie sociale. Le Covid est bien pratique pour les gouvernements. Pas mal de lois dégueulasses sont votées en catimini et passent inaperçues car tous les jours les chaînes de désinformation nous tambourinent les décès, les cas détectés, les solutions, les interdictions, les restrictions. Ils ne parlent pas des dépressions, des suicides, des commerces de proximité qui ne se relèveront pas, des gens qui vont crever à cause d'opérations reportées parce que les hôpitaux se réservent pour le Covid.
Tout ça pour ça. À savoir un "virus" qui tue principalement les vieillards et accessoirement les obèses. Et qui pour la majorité des personnes atteintes entraîne juste quelques jours ou quelques semaines de cauchemar et de souffrance variables. La souffrance ça n'est jamais drôle, mais ça ne justifie pas (alors que ce que je vais indiquer n'a jamais prouvé son efficacité) d'interdire de sortir après 18h, de fermer les cinémas et les théâtres, de fermer les restaurants et les brasseries, d'être obligés de s'étouffer dans un morceau de papier, etc.