[supprimé]
Ils recevront des amendes ? La belle affaire !
Ils savent très bien que l’U. E. ne prendra aucune mesure contre eux. Et qu’ils continueront à toucher les subventions européennes.
« La pauvreté augmente de plus en plus » dis-tu. Mais tu oublies que cette pauvreté ne frappe pas tout le monde de la même façon. Si les plus défavorisés le sont un peu plus, les très favorisés le sont eux-aussi beaucoup plus. Les statistiques du nombre de millionnaires et leurs gains permanents dus à la seule rente, n’ont jamais été aussi favorables aux plus riches.
Et à quoi peut-on juger de l’état financier d’un pays, sinon au classement de ces entreprises sur le plan international ? L’on ne juge pas de l’économie d’un pays à l’aune de sa quantité de pauvres, mais bien au contraire en fonction de sa quantité de riches.
C’est immoral ? Évidemment ! Mais c’est la volonté populaire qui grâce à la démocratie en vigueur permet cette situation, le plus légalement du monde. Si le système économique en vigueur sur la majorité de la planète, du moins dans sa partie occidentale, s’appelle « le Capitalisme », et en outre « Libéral », ce n’est pas pour rien. La situation actuelle en est la conséquence directe.
Et il se trouve qu’il n’est inscrit nulle part que le Capitalisme doive avoir comme but et comme justification de diminuer la pauvreté dans le pays. Ce n’est pas demain que « le loup paîtra avec l’agneau ». Mais c’est demain, que grâce à l’aide permanente des gens qui se prétendent de gauche, et qui plus est certains d’extrême gauche (mais en réalité ils ne savent plus ce que cela veut dire), l’état financier du pays ira au mieux pour les riches.
Ce n’est pas au nombre de très pauvres dans un pays que l’étranger juge des qualités de ce pays. Et en tire des conséquences.
C’est dommage ? Probablement ! L’on connaît très bien l’effet de la situation générale, en France et ailleurs, des politiques financières pratiquées ici. En connaissant l’effet, l’on ne peut qu’en constater la cause. Mais il faut croire que le savoir ne nous aide pas à corriger les choses.
La situation est irrémédiable et irréversible, ou sommes-nous trop cons pour agir en conséquence ?