En France, il est possible d’être légalement reconnu comme femme tout en ayant un pénis. Des hommes se disant femmes remportent des compétitions sportives féminines. Des adultes perturbent des gamins avec des théories nuisibles à la formation de leur personnalité. Tout cela au nom d’un trouble psychique, la dysphorie de genre qui concerne selon les pays 0,005 à 0,014 % des personnes nées de sexe masculin et 0,002 à 0,003 % des personnes nées de sexe féminin. ( https://fr.wikipedia.org/wiki/Dysphorie_de_genre ).
Pour Dora et Marguerite, auteures du livre Transmania, c’est le plus gros casse conceptuel du XXIe siècle. L’idéologie transgenre s’est infiltrée dans toutes les sphères de la société. Elle se présente comme un mouvement pour les droits d’une minorité se disant opprimée, alors qu’elle fait pression pour modifier radicalement nos codes et nos institutions.
Le site «Paris Luttes Info» a publié un texte intitulé « trans ultraviolence », appelant explicitement à attaquer ces deux femmes. Ces militants d’ultragauche sont tellement sûrs de l’impunité pour eux-mêmes qu’ils écrivent :
« Nous ne combattons pas les transphobes fascistes dans le monde du débat des idées (…) Nous nous opposons physiquement et violemment à leur existence toute entière (…) Cela ne pourra se faire que par la force et la violence, et donc par l’éclatage des têtes en question. Dans cette optique, une matraque télescopique semble être un pas dans la bonne direction »
( https://paris-luttes.info/trans-ultra-violence-18736 ).
Face à cet appel explicite au meurtre, les deux cibles ont porté plainte.
Marguerite Stern confie par ailleurs au Figaro avoir ressenti pour la première fois de sa vie le sentiment pénible que des gens veulent vraiment la tuer. Par ailleurs l’adresse de Dora Moutot a été dévoilée sur Internet et des anonymes lui ont écrit pour lui annoncer qu’ils allaient venir lui régler son compte.
Le texte publié par « Paris Lutte Info » confirme que ses militants antifas et transactivistes étaient déterminées à l’action violente. « Nous sommes venus pour en découdre à l’arme blanche et aux explosifs » se vantent-ils.
Cette organisation dit avoir été à l' origine d 'autres attaques contre les deux auteures de Transmania.
« Nous sommes celles qui ont formé un black bloc le 6 mai dernier devant Assas, pour perturber la conférence de Stern et Moutot et en découdre avec leurs copains fachos. Nous sommes celles qui ont cramé le compteur électrique et fracassé les vitres de l’école de Marion Le Pen, contre la venue de Stern et Moutot en conférence le 19 septembre, et nous n’aurions pas hésité à en découdre avec ses copains fachos. » ( même source que supra : https://paris-luttes.info/trans-ultra-violence-18736 ).
Ils ont beau se dire « antifas », leurs méthodes d’intimidation pour faire taire ceux qui ne pensent pas comme eux sont fascistes.
( inspiré d' un texte de Riposte Laïque ).