[supprimé]
Cela, c’est une légende urbaine. Dans la majorité des couples homos, les deux partenaires sont à la fois actifs et passifs. Du moins chez les homos « vrais ».
Une partie non négligeable d’entre les individus qui ont des pratiques sexuelles homos ne présente pas d’anomalies génétiques. Autant chez les hommes que chez les femmes. Mais la pratique homosexuelle par eux, obéit à des caractéristiques particulières qui ne trouvent pas leur source dans la génétique. Parfois dans l’inconscient, mais sous réserves importantes, chaque cas étant un cas particulier, même si un schéma « classique » se retrouve à peu près chaque fois.