Il y a de grosses disparités comportementales entre les deux genres.
Ces disparités sont en partie comblées dans l'évolution des moeurs du genre féminin.
Bien plus aptes aujourd'hui à "consommer" que jadis, du fait qu'elles travaillent et s'assument, sans avoir à passer par la case Mariage.
Toutefois, chez la femme, le processus de sélection, répondra à des critères plus stricts que le principe de sélection sauce masculine.
En effet, l'effet "coq" chez l'homme reste toujours assez systématique. "moi, c'est juste pour un coup que je veux celle là". Mais, attention car cette tendance est aussi présente, maintenant, chez la femme.
Dans les villes de célibataires, comme peut l'être Paris, les femmes sont munies de télécommandes comme pour zapper des chaines de télé. "mec 1/ mec 2 / etc…" et le mec numéro tant, comme attendu, se sentira honoré d'avoir été sélectionné en télécommande, même si ce n'est que pour une soirée.
Par ailleurs, le mécanisme qui consiste à se dire "moi je ne couche que si je ressens quelque chose ou une attirance" subsiste toujours et encore, chez la femme, bien que les choses se soient brassées davantage.
Pour finir, le Covid, et ses conséquences, ainsi que ses confinements en annexe, ont eux aussi influencé considérablement, les moeurs du moment.
Dans bien des cas, se retrouver H24, confinés ensemble, a eu des conséquences très lourdes pour certains couples (une saturation manifeste) parfois exacerbées par la présence des enfants en continu, lors des fermetures d'école.
En parallèle, les confinements et les couvre feu, ont limité drastiquement le lien social d'avant, et a incité bon nombre d'éléments isolés à faire exploser le succès des sites de rencontres, avec une certaine effervescence très claire, dans le foisonnement des rencontres.
Il se peut que 2021/2022 soient de très bons millésimes sur les taux de natalité/fécondité.
En tout cas, l'homme en général devra s'adapter au nouveau modèle que propose la femme, bien plus indépendante qu'avant et surtout bien plus déterminée.
Il lui faudra, à l'homme, associer une parure de macho assez affirmé, tout en ayant présent à l'esprit, la notion de devoir respecter sa partenaire, sur beaucoup de plans.
Sans cette adaptation, les hommes risquent de plonger dans une ère de castration, et pourraient se retrouver réduits au statut de "canard" (le petit animal qui fait coincoin) en espérant trouver une partenaire en se montrant docile et gentil, chose que ne cherche plus vraiment la femelle, qui poursuit effectivement sa démarche darwinienne, de tri sélectif.