Le nerf de la guerre reste la surcharge hospitalière et elle est encore élevée.
Cependant nous commençons à connaître cette maladie dans le sens où elle est mieux traitée.
Nous avons des mesures très restrictives (couvre feu sévère à 18H, généralisation du télétravail et fermeture de l'ensemble des lieux récréatifs) permettant de contrôler les brassages de population.
Nous sommes globalement dans une relative stabilité (même si tendance à la hausse) et les choses semblent plutôt sous contrôle pour le moment.
Je vois pas l'intérêt de confiner à l'heure actuelle.
Et encore une fois la situation économique est catastrophique, nous risquons la faillite in fine si nous continuons comme ça. Il faut réussir à repartir sinon nous allons droit dans l'abîme économique et sociale et cela m'inquiète beaucoup plus.
Et évidemment pour finir, l'avenir de la jeunesse tant sur le plan social, économique et surtout professionnel.