Les christiano-fascistes ont à leur grand regret moins de succès.

«L’entrisme de l’islamo-gauchisme à l’université est une réalité»
ENTRETIEN - Le philosophe Pierre-Henri Tavoillot, qui a créé à la Sorbonne une formation de «référent laïcité», appelle à prendre des mesures contre l’activisme islamiste, soutenu par l’extrême gauche, que l’on constate à l’université.
Partagez-vous l’inquiétude du ministre de l’Éducation nationale?

Pierre-Henri TAVOILLOT. - Je suis surtout sidéré que le monde académique ne mobilise pas aujourd’hui toute son énergie pour éviter qu’advienne dans l’université ce qui est tragiquement arrivé dans le secondaire. Au lieu de cela, le premier réflexe est d’accuser de chasse aux sorcières et de maccarthysme ceux qui tentent de proposer des instruments permettant de lutter contre l’islamisme et contre le terreau qui lui est favorable. C’est ahurissant! Par quoi la liberté académique est-elle le plus menacée aujourd’hui? Est-ce vraiment par une Grande Inquisition d’État ou par la montée des idéologies hostiles aux valeurs de la République?
Pour moi la réponse est claire, mais je suis surpris de voir que ceux-là mêmes qui dénoncent le «laisser-faire» et le «laisser-passer» dans l’économique et le social n’hésitent pas une seconde à tout laisser faire et tout laisser passer dans l’enseignement supérieur, y compris ce qui menace le plus directement les piliers de notre vie démocratique. Est-ce vraiment porter atteinte à la liberté académique que de proposer, je cite ici le «manifeste des 100» que j’ai signé, «de mettre en place des mesures de détection des dérives islamistes, de prendre clairement position contre les idéologies qui les sous-tendent, et d’engager nos universités dans ce combat pour la laïcité et la République en créant une instance chargée de faire remonter directement les cas d’atteintes aux principes républicains et à la liberté académique, et d’élaborer un guide de réponses adaptées, comme cela a été fait pour l’Éducation nationale»? ...
https://www.lefigaro.fr/vox/societe/pierre-henri-tavoillot-l-entrisme-de-l-islamo-gauchisme-a-l-universite-est-une-realite-20201119

katou faut commencer par le début. Ce qui manque toujours c'est la chute finale ( à travers la trappe du gibet).

ça part d'une bonne intention mais demander aux gauchistes du CNRS d’enquêter sur l'islamo-gauchisme c'est comme de demander à SOS Méditerranée d’enquêter sur l'immigration clandestine.

    katou Frédérique Vidal la ministre de l'Enseignement supérieur a déclaré que « l'islamo-gauchisme gangrène la société

    Réaction de la CPU ( Conférence des Présidents d'Université ), càd les premiers concernés et en 1ière ligne du monde universitaire, à la suite de cet interview de leur ministre sur la chaine CNews.

    La CPU fait part de sa stupeur face à une nouvelle polémique stérile sur le sujet de l’« islamo-gauchisme » à l’université. « L’islamo-gauchisme » n’est pas un concept. C’est une pseudo-notion dont on chercherait en vain un commencement de définition scientifique, et qu’il conviendrait de laisser, sinon aux animateurs de Cnews, plus largement, à l’extrême droite qui l’a popularisé. Utiliser leurs mots, c’est faire le lit des traditionnels procureurs prompts à condamner par principe les universitaires et les universités.
    Dans « Islamo-gauchisme » : stopper la confusion et les polémiques stériles

    Vidal qui s'aligne sur Blanquer, ça manque pas de piquant.

    Si @MLH passe par là, peut-être, peut-il nous en dire plus sur sur cette CPU...

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      Maryam Pougetoux, porte-parole de l’UNEF (Union nationale des étudiants de France)
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      Selon une enquête du journal Le Monde, l'UNEF a ouvert en 2015 une salle de prière lors d’un collectif national à la demande de quelques militants musulmans.

      Concernant le port du voile, l’UNEF, syndicat historiquement féministe et laïc, se prononce en 2013 contre ce port dans l'enceinte de l'université. Il opère par la suite un volte-face, à mesure que son nombre d'adhérents chute et que des accords se nouent avec les "Étudiants musulmans de France" lors de plusieurs élections étudiantes.

      https://fr.wikipedia.org/wiki/Union_nationale_des_%C3%A9tudiants_de_France

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        Quand j'étais étudiant (2000-2003) l'UNEF c'était surtout des crasseuses petites bourgeoises. Aujourd'hui visiblement c'est devenu un repaire islamique.

          cadmos
          La Nation n'a pas à financer des élucubrations qui ne sont pas de son intérêt. Ne me semble pas que les études post-coloniales, études de genre LGBT et autre élucubrations racistes et progressistes soient dans l’intérêt de la France.
          On peut dire que les présidents d'université qui affectent des ressources disproportionnées aux recherches sociales militantes anti françaises ont échoués dans l'affectation des ressources dans l'intérêt de la France. Ils doivent être remplacés et leurs erreurs corrigées en fermant ces départements surnuméraires et nuisibles.

            La Nation n'a pas à nourrir les rats qui rongent sa coque.

            À l’université, différents courants dits progressistes peuvent agréger à eux des pro-islamistes de gauche qui vont puiser là, matière à détester l’Occident.
            Au milieu de cette bataille médiatique, une majorité silencieuse. Et quelques langues qui se délient. «Il ne faut pas se leurrer sur certains discours universitaires proches du Parti des indigènes de la République (PIR) ou du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF)», estime Annie Fourcaut, spécialiste de l’histoire des villes et des banlieues. «Une géographie radicale venue des États-Unis, qui réduit l’évolution des villes à l’exclusion des classes populaires, des articles où le militantisme remplace l’analyse scientifique… Voilà plusieurs années que j’observe les dérives de Métropolitiques (revue en ligne créée en 2010 autour des questions urbaines). J’ai demandé que mon nom soit retiré du Conseil scientifique. D’autres chercheurs s’en sont éloignés.» Si Annie Fourcaut est libre de sa parole, c’est parce qu’elle est retraitée. Ce n’est pas le cas de tous ses «jeunes collègues», avec qui l’ancienne professeur d’histoire contemporaine reste en contact. Pour suivre le débat intellectuel de près, elle constate «une approche compassionnelle aux malheurs des immigrés» et des dérives en sociologie, dans le domaine de l’urbanisme, «pas encore en histoire où les archives ne permettent pas de raconter n’importe quoi». «L’évolution des métropoles devient une lutte entre le Bien et le Mal» résume-t-elle. Elle décrit «quelques idéologues influents», mais surtout «beaucoup de jeunes chercheurs sensibles à ce nouveau conformisme et qui veulent obtenir un poste, s’insérer dans des réseaux ou être publiés». Et dans les instances de direction des universités, un «pas de vague» de rigueur, lié «à la peur de voir des amphis envahis par des groupuscules violents ou à l’empathie pour les victimes supposées des discriminations».
            Béatrice préfère garder l’anonymat. Après avoir travaillé sur les publications de femmes à la Renaissance, cette linguiste s’est tournée vers les études de genre, qui émergent en France dans les années 2000. «C’était plus contemporain. J’étais emballée. Mais aujourd’hui, j’ai l’impression de m’autocensurer, comme beaucoup de chercheurs. Je n’ai pas envie qu’on m’accuse de faire le jeu de l’extrême droite», résume-t-elle.
            https://www.lefigaro.fr/actualite-france/comment-l-islamo-gauchisme-gangrene-les-universites-20210211

              katou Si Annie Fourcaut est libre de sa parole, c’est parce qu’elle est retraitée.

              La vérité sort de la bouche des enfants, ou des retraités.

                [supprimé] La vérité sort de la bouche des enfants, ou des retraités.

                Ou ceux qui ont le courage d'alerter sachant qu'ils risquent d'être mis au ban.

                Va-t-elle rester longtemps en poste, Frédérique, après la bronca qu'elle lève ?

                1) Nicolas Offenstadt, histotien, maître de conférences à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, membre de l'Institut d'histoire moderne et contemporaine.

                2) Arnaud Saint-Martin, sociologue chargé de recherches au CNRS :

                3) LDH de l'Ecole des hautes études en sciences sociales : Diffamation à l’encontre d’une profession toute entière ? La Ministre doit partir. Communiqué de la LDH EHESS

                On a rarement vu un tel boxon.

                  cadmos histotien,

                  Un histotien, des histotiens.

                  Syndrome de la pionne en retraite... elle s'emmerde.

                  Mamie liloune, sors de ce corps 🤣

                  filochard La Nation n'a pas à financer des élucubrations qui ne sont pas de son intérêt.

                  Chuis assez d'acccord avec toi... pour une fois. 👍

                  Autant prendre ça à la rigolade 😆
                  D'un maitre de conférence Uni de Nantes.