katou
C'est une bonne éducation qui limite la casse, quelles que soient les pulsions initiales. J'ai connu la période des années 50, plutôt machiste et patriarcale, mais peu violente car les enfants étaient "bien élevés", par des familles unies, ou faisant semblant de l'être, mais soucieuses de l'éducation des enfants. Les familles d'aujourd'hui ont baissé les bras, faute de temps disponible ou de motivation. Sur que' les gosses qui traînent dans la rue à 11 h du soir, parmi les dealers et les voleurs, ont peu de chances de devenir des braves gars.