Prendre au pied de la lettre le désir de changer de sexe d'un enfant risque de l'enfermer dans sa démarche, avertit le pédopsychiatre et psychanalyste Christian Flavigny, membre du groupe de travail famille de l'Institut Thomas-More. Tribune. ...
Les pratiques anglo-saxonnes et nordiques importées en France
Il en résulte la réponse des pays anglo-saxons et nordiques au vœu de changer de sexe émis par un enfant ou un adolescent ; il est géré par une adaptation du corps au ressenti plutôt que par le soulagement des déchirures de celui-ci ; autrement dit le leurre qui fascine à la place de l'aide. La notion de “dysphorie de genre”, terme aux allures savantes plus descriptif qu'explicatif, valide de changer la réalité corporelle, médicalisant une “transition” vers l'autre sexe en engageant des traitements invalidants, bloqueurs de puberté et hormones sexuelles d'effet parfois irréversible, qui enferment l'enfant dans sa démarche et comportent le risque majeur de l'entraîner dans une impasse aux issues dramatiques.
https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/lincorrect/tribune-lenfant-peut-il-choisir-son-genre-126525

Charlize Theron maman d’une enfant transgenre explique pourquoi elle a choisi d’en parler.
Je pensais que c’était un garçon moi aussi, avait-elle alors confié au tabloïd britannique. Jusqu’au jour où elle m’a regardée quand elle avait 3 ans et m’a dit : 'Je ne suis pas un garçon !' Alors voilà ! J’ai deux jolies filles que je veux protéger, comme le feraient tous les parents. Elles sont nées telles qu’elles sont, et peu importe la façon dont elles décident de grandir, qui elles veulent devenir, ce n’est pas à moi de le choisir", déclarait-elle alors dans une interview accordée au Daily Mail. Une situation qu'elle accepte et qu'elle respecte parfaitement, avec tout l'amour qu'elle porte à son petit bout de chou - elle qui a toujours œuvré pour que les LGBTQ (lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres) soient représentés avec bienveillance, dans le cinéma. Par exemple, en 2018, elle jouait dans le film Tully de Jason Reitman, qui met en scène la bisexualité de Marlo, personnage à qui elle prête ses traits.

Les parents qui relèvent de la psychiatrie devraient normalement se voir priver de l'autorité parentale.

    tiresias Les parents qui relèvent de la psychiatrie devraient normalement se voir priver de l'autorité parentale.

    Un enfant doit être guidé ce n'est pas à lui de s'élever tout seul en prenant des décisions. Un enfant ne peut pas décider de changer de sexe et les parents ne doivent pas le suivre sur ce chemin. Ce genre de décision ne peut être prise qu'une fois adulte. Quand un jeune garçon dit qu'il est une fille et une fille qu'elle est un garçon, c'est parce qu'il y a un problème dans la construction de la personnalité. Un petit garçon peut vouloir être une fille parce qu'il trouve qu'être une fille cela amène plus d'attention sur elle et une petite fille peut vouloir être un garçon car elle trouve que l'on donne plus d'autonomie aux garçons. La fille garçon manqué et le garçon ayant une grande sensibilité cela ne veut pas dire que la fille serait mieux dans la peau d'un garçon et le garçon dans la peau d'une fille.
    L'irréversibilité est trop grave.

    • Pene a répondu à ça.

      katou Ce genre de décision ne peut être prise qu'une fois adulte.

      Genre le baptême ?

        Ce n'est pas irréversible comme une circoncision, par exemple...

          Pene Genre le baptême ?

          Toujours à comparer ce qui ne peut pas l'être.

          • Pene a répondu à ça.

            tiresias Ce n'est pas irréversible comme une circoncision, par exemple...

            le pene ne le sait pas.

            Vu le fort impact psychologique de ces interventions, chirurgiens et psychiatres se réunissent afin d’évaluer le ou la patient-e. S’engager dans un processus de changement de sexe représente un long parcours, qui implique un traitement lourd, ne se résumant pas uniquement à l’opération. Nos spécialistes doivent donc s’assurer de la réelle motivation du ou de la patient-e.
            https://www.chuv.ch/fr/cpr/cpr-home/patients-et-familles/chirurgie-transgenre/

              katou Toujours à comparer ce qui ne peut pas l'être.

              Tu as fait baptiser tes enfants sans leur consentement ?
              ////////////////Inutile G

                Pene Tu as baptisé tes enfants sans leur consentement ?

                On parle de transgenre mais peut-être ne sais-tu pas ce que c'est.
                En quoi un baptême change fondamentalement un enfant physiquement et psychologiquement ?

                Réponds sur/pour la forme.

                Transgenre c'est irréversible, le changement est fondamental. Il faut être très fort physiquement et psychologiquement et un enfant n'a pas la maturité et pour un adulte c'est très difficile de faire ce choix. Il est courant qu'il ait besoin d'un suivi psy après intervention. Il n'est pas forcément mieux dans sa nouvelle peau, c'est un leurre de faire croire le contraire.

                  Dans cette histoire, le plus révélateur est bien que tout le monde accepte le changement de sexe comme une possibilité.

                  Les scientifiques matérialistes s'estiment très intelligents parce qu'ils ont supprimé l'idée de cause finale, la possibilité que la loi naturelle soit aussi une loi morale. Nous risquons simplement d'en payer le prix. S'il n'y a pas de loi morale comme réalité existante, qui d'ailleurs n'est de toute façon pas l'objet des sciences naturelles, le bien soit n'existe pas, soit est une idée qui naît de l'imagination des hommes, qui lui est alors relative, qui n'est qu'opinion.

                  Il en résulte que si les désirs de l'homme peuvent rester contre - nature comme on aurait dit jadis, ils ne sont plus mauvais. Tout est envisageable. Ne reste qu'une seule question : a-t-on les moyens de le faire ? Oui, on le fait alors, que sous certaines conditions pour les plus prudents ; non, on trouve alors le moyen de le faire, si c'est possible.

                  Ces scientifiques risquent de devenir, s'ils ne le sont pas déjà, les esclaves de l'homme : ils s'exposent à la possibilité de devoir servir ses moindres désirs, de les satisfaire d'autant plus facilement à mesure qu'ils perdent la faculté de distinguer le bien du mal, quitte à ce que nos sociétés, dans le sillage des plus insensés ou pervertis, sombrent dans l'hybris ou l'absurde.

                  Le scientifique matérialiste a le choix : accepter qu'il n'est que dans le vrai, lorsqu'il défend sa conception du monde, qu'il n'est question dans cet article que d'une chose ni bien ni mal ; ou s'interroger à nouveau sur sa conception du monde, ses limites éventuelles, comme nous devrions tous le faire. Qu'il soit cohérent, cela me suffit : je le précise, afin de ménager les susceptibilités.

                  La politique moderne ne se préoccupe en effet plus de la morale (mais elle est en revanche tiraillée par différentes morales) si bien qu'il ne reste que la question des moyens. Tout ce qui est possible sera réalisé, dirait-on, malgré les différentes loi bioéthiques qui se succèdent.
                  Ce qui est dommageable aussi c'est d'opposer la science et la morale (le plus souvent sous son expression religieuse), aboutissant à une autonomisation de la science alors qu'elle ne répond pas aux questions métaphysiques (bien qu'elle y amène).

                    • [supprimé]

                    Rem100 Tout ce qui est possible sera réalisé

                    ... Et par delà les frontières, si tout est mondialisé sans frontières.

                    katou Vu le fort impact psychologique de ces interventions, chirurgiens et psychiatres se réunissent afin d’évaluer le ou la patient-e. S’engager dans un processus de changement de sexe représente un long parcours, qui implique un traitement lourd, ne se résumant pas uniquement à l’opération. Nos spécialistes doivent donc s’assurer de la réelle motivation du ou de la patient-e.
                    https://www.chuv.ch/fr/cpr/cpr-home/patients-et-familles/chirurgie-transgenre/

                    Essayons de voir la logique qui a prévalu dans la décision qui a été prise pour cet (cette ?) enfant.
                    Du point de vue médical, il a du être considéré que la réassignation de genre sera plus réussie en y procédant tôt, en effet il.elle aura la morphologie, la voix du sexe auquel il... aura été assigné et ne sera donc pas repérable contrairement a ceux opérés plus tard, il suffira d'un traitement hormonal.
                    Par contre pour, les parties génitales, le résultat ne sera pas très satisfaisant et pour la reproduction, zéro.

                    Mais ce n'est pas qu'une question médicale, a-t-on sérieusement considéré des alternatives ? On a du considérer que cette "dysphorie de genre" était définitive, mais les petits enfants ont parfois des lubies ...
                    Il y a clairement dans l'exemple cité un aspect idéologique qui a conduit à privilégier une logique, une décision plutôt qu'une autre.

                    Lorsque l'on a pas de problème psychologique on ne se pose pas la question du genre, nos chromosomes déterminent parfaitement cela sans avoir à le remettre en cause !

                      Esscobar Lorsque l'on a pas de problème psychologique on ne se pose pas la question du genre, nos chromosomes déterminent parfaitement cela sans avoir à le remettre en cause !

                      Voilà une assertion parfaitement transphobe. Et la transphobie, c'est mal.

                      Les trans sont des hommes comme les autres ! (suis même pas sûr qu'on puisse dire cela sans tomber sous le coup de la loi)

                        tiresias Voilà une assertion parfaitement transphobe. Et la transphobie, c'est mal.

                        Quand on se sent mal dans son corps au point de changer de sexe ... C'est bien à la base un problème psychologique, rien de transphobe là-dedans 😉